1000 Québécois pour le changement: déjà le tiers de l’objectif atteint

1000 Québécois pour le changement

En une semaine, plus de 333 Québécois ont répondu à mon appel et ont accepté de contribuer au moins une heure de leur temps à notre équipe de campagne à la direction du Parti québécois.

C est nettement au-delà de nos attentes. Beaucoup de membres du PQ, mais également d’ex-membres ou de gens qui décident de s’engager, pour la première fois, en politique.

Plusieurs ont choisi de participer à la définition du contenu de la campagne (et ont déjà été sollicités sur plusieurs thèmes), d’autres ont choisi de s’investir dans l’équipe web, l’organisation ou le recrutement.

De nouveaux bénévoles s’inscrivent pendant ma tournée, qui m’a conduit de Rimouski à Val-d’Or ces derniers jours, et qui me conduira notamment à Chicoutimi vendredi prochain.

On n’attend plus que vous !

Jean-François

2 avis sur « 1000 Québécois pour le changement: déjà le tiers de l’objectif atteint »

  1. Je suis en accord avec M. Lisée de préparer le terrain avant de faire un référendum.

    Je suis membre du Parti Québécois dans Nelligan.

    200510117675

  2. Monsieur

    Le coût d’aucun service gouvernemental ne devrait être modulé selon les revenus. Quel politicien, par contre, affirmera qu’il serait tout à fait normal d’envisager de taxer une plus grande proportion que 50% des gains de capital. C’est là que s’obtient trop facilement la richesse sans véritablement de rapport avec l’économie réelle. Pourquoi la classe politique tient-elle tant à maintenir cette anomalie fiscale?

    GARDERIES
    MODULER LES TARIFS: OUI MAIS PAS SELON LES REVENUS

    C’est par l’impôt lourdement progressif que, dans notre système fiscal, se répartit la richesse. Taxer le luxe peut, à la rigueur, être acceptable. Mais le coût des services offerts par l’État doit être le même pour tous les contribuables. C’est là, il me semble, un principe fondamental. Il n’existe, sauf erreur, que deux précédents odieux : le FSS (Fonds des services de santé) introduit dans les années ‘70 et la modulation de la contribution-santé décrétée par le gouvernement Marois.

    Si les tarifs des garderies doivent être modifiés, on pourrait explorer d’autres avenues que la modulation en fonction des revenus. Un des objectifs du programme étant de faciliter aux femmes l’accès au marché du travail, pourquoi ne pas introduire, par exemple, un tarif suffisamment élevé pour être dissuasif quand l’un des deux parents ne travaille pas. Est-il acceptable qu’un parent fasse garder ses enfants à un tarif réduit pour s’adonner à ses loisirs préférés en toute liberté comme on peut le constater bien souvent? Une telle mesure pourrait même libérer des places pour ceux qui en ont réellement besoin. Un autre objectif du programme étant d’aider au développement des enfants de milieux défavorisés, pourquoi ne pas offrir le service presque gratuitement à l’intention des mères de familles monoparentales qui font très souvent le choix de demeurer à la maison pour élever leurs enfants avec le support de l’aide sociale. Une autre objectif du programme enfin étant de permettre une augmentation de la natalité, pourquoi ne pas envisager des tarifs régressifs en fonction du nombre d’enfants de la famille bénéficiant du service.

    Louis Dion

    450-436-5479

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