Qu’est-ce qu’on nous rebat les oreilles, ces temps-ci, avec la péréquation! Un argument partiel et partial.
Je l’ai pris de front dans mon bouquin La droite K.O. et j’en résume l’argument ici:
Denis Lebel et consorts affirment que le Québec est la plus pauvre au Canada, donc elle reçoit le plus gros montant de péréquation. Mais lorsqu’on calcule tous les robinets des transferts (sans parler du déséquilibre des budgets défense, salariés fédéraux, crédits d’impôts pétroliers, investissements dans le nucléaire et l’automobile ontariens) alors pourquoi reçoit-on moins que la moyenne des provinces ?