Dernières nouvelles des Kebs

Les Kebs étaient une équipe de basketbal de Québec, puis de Laval sous le nom des Kébekwa de 2006 à 2012.

C’était couru, ma chronique de samedi (Identité anti-québécoise), n’a laissé personne indifférent. Et a fait chauffer ma boîte courriel. D’abord par une série de témoignages confirmant ce que j’ai décrit – présence de l’anglais, mépris des Kebs – au Collège Régina Assumpta et ailleurs.

Le remède imaginaire

Il a fait son apparition dans le débat public en 2011, cosignant un ouvrage choquant. Le malotru utilisait des chiffres probants pour crever un dogme. Le livre s’intitulait Le remède imaginaire (Boréal). Le dogme qu’il trucidait était celui de l’immigration comme solution à la pénurie de main-d’oeuvre et au vieillissement de la population et comme levier pour l’enrichissement. Les études existantes, osait-il affirmer contre l’avis unanime des gouvernements, du patronat et d’associations de gauche, démontrent que ce n’est tout simplement pas le cas. L’immigration peut avoir d’autres vertus, mais pas celles-là.

La loi de la gravité

Le saviez-vous ? Avant qu’Isaac Newton ne découvre la gravité, tout le monde prenait les choses à la légère. La boutade s’applique superbement à la soudaine épiphanie de membres du gouvernement Trudeau face à l’immigration.

« Je crois que personne n’a besoin d’un briefing pour comprendre que, s’il y a plus de gens qui ont besoin de se loger, cela va avoir un impact sur la situation du logement », affirmait cette semaine l’un des architectes de l’immigration massive trudeauiste, car jusqu’à récemment titulaire de ce portefeuille, Sean Fraser, mais qui, depuis l’été, est puni par là où il a péché, car il est désormais ministre du Logement.

Les expulsions barbares (+ échanges avec le député solidaire Guillaume Cliche-Rivard)

De mauvaises langues accusent le député Sol Zanetti d’avoir atteint le summum de l’exagération en gonflant, puis dégonflant, une balloune depuis son siège de l’Assemblée nationale jeudi dernier. Je ne suis pas d’accord. Juste avant, en point de presse, un autre député solidaire avait fait pire.