Message du ROC: « Ne parlons pas Qc! » (Ajout)

Depuis mardi matin, des éditorialistes du Canada-anglais ont plusieurs conseils à donner au nouveau gouvernement Harper et au nouveau chef de l’opposition, Jack Layton. En un mot: oubliez le Québec !

Je citerai le Globe, le National Post, un stratège NPD et, pour dessert, une surprise québécoise.

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Le Globe à Jack Layton: votre premier test ? Lâcher le Québec !

Des électeurs NPD cherchent la carte de la souveraineté

car-pq-cartes-de-membresVous avez lu la lettre de Kathleen Gurrie à Gilles Duceppe dans La Presse de ce vendredi ? Moi je l’avais vu sur Facebook dès mercredi.

Elle s’explique et s’excuse de son vote NPD auprès du chef bloquiste. Son dernier paragraphe m’a rendu curieux :

Pardonnez-moi donc, Monsieur Duceppe, je vous ai sacrifié, mais en ce moment je referais la même chose avec l’espoir de l’alouette en colère au cœur. Défendons-nous chez nous maintenant.

La candidate de Vegas trouvée… mais kidnappée par le NPD

ruth-lisee1-150x150Ce n’est pas une blague. Thomas Mulcair, chef adjoint du NPD, a confirmé ce midi à Pierre Maisonneuve que la candidate Ruth Ellen Brosseau, de Berthier-Maskinongé, est en vie, en santé, et à Ottawa.

Elle « est en train de prendre un cours intensif de français « . Mulcair:

On est en train de prendre le temps qu’il faut pour l’apprivoiser, la préparer. Et moi je l’exposerais pas seule dans les médias.

Virus NPD: À la recherche du patient zéro !

mike_ward_and_jack_laytonDans toute épidémie, il y a un patient zéro. Quelqu’un qui, le premier, est infecté, qui répand le virus autour de lui jusqu’à un effet boule-de-neige.

Qui est le patient zéro du virus orange ? (Qui est, donc « l’agent porteur orange ») ?

Plusieurs alertinternautes ont un coupable: Mike Ward. Son adhésion à Jack Layton lors du passage du chef NPD à TLMEP le 3 avril aurait ouvert les vannes. Un million et demi de Québécois étaient à l’écoute.

La grande évasion

evasionIls se sont évadés. Les électeurs québécois ont massivement tourné le dos au Bloc — puisqu’ils y étaient en plus grand nombre — tourné le dos aussi au Parti libéral et au Parti conservateur pour suivre la piste orange.

Évadés, oui, mais de quoi ? De la prison, justement. De la prison du statu quo.

Je m’explique. Pour l’électeur québécois moyen du début de 2011, l’avenir semblait bloqué. À Québec, un gouvernement libéral détesté. À Ottawa, un gouvernement conservateur tout aussi détesté. À Montréal, un maire dont on souhaite le départ.