Intégrité et commerce extérieur québécois

Nous avons lancé cet automne un important plan de développement du Commerce extérieur. Et j’ai eu la chance, lors de missions en Afrique, en Chine, en Inde et en Europe, d’être accompagné d’un grand nombre d’entreprises.

Mais comment aider les entreprises du Québec à l’étranger tout en s’assurant que l’intégrité règne.

J’ai abordé la question devant les entreprises qui m’accompagnaient, au premier jour de notre mission en Afrique de l’Ouest, en septembre dernier. Voici un extrait du discours:

La Vraie révélation qui incrimine les Libéraux

On ne saura sans doute jamais ce que Eddy Brandone a glissé à l’oreille de son ami Jean, lors de sa rencontre « fortuite » avec lui dans un hôtel de Montréal. On ne saura sans doute jamais si le PM a ordonné que cesse la filature en cours de son ami Eddy.

Et cela n’a presque aucune importance.

Le Déserteur: La NON-croisade anti-corruption de François Legault

Ainsi, Jacques Duchesneau a pensé qu’en tant que futur vice-premier ministre d’un gouvernement de François Legault, il lui reviendrait de désigner les ministres impliqués dans les questions de corruption: transport, sécurité publique, quelques autres.

Son chef  l’a fait rentrer dans le rang, mais j’ai ma propre théorie sur la raison pour laquelle M. Duchesneau a pensé qu’il serait préférable que ce soit lui, plutôt que M. Legault, qui prenne les choses en main: parce que si on avait écouté François Legault depuis deux ans, il n’y aurait eu ni rapport Duchesneau, ni Commission d’enquête sur la corruption, ni… candidat vedette Duchesneau.

Le chiffre du jour: 2500 %

2500 %

c’est le rendement sur investissement qu’on pourrait calculer pour la Fondation Catania, s’il était un jour établi qu’il y a une relation de cause à effet entre les 40 000 $ donnés par les Catania au PLQ en 2008 et le million de dollars de profits réalisé dans une opération bénie par le gouvernement Charest.