Mon avis sur: Marine LePen, Bernie Sanders, l’UPAC et les seuils d’immigration

J’ai pris l’habitude de mettre directement sur ma page Facebook de courts textes pendant la semaine. Les voici:

Entrevue:

J’ai répondu aux excellentes questions de Guy Perkins

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Palmarès de mes coups de gueule 2015 !

Mon équipe a choisi pour nous un palmarès des coups de gueule 2015 du député de Rosemont.

Les voici, dans l’ordre qu’ils ont choisi:

# 1 : Le ministre Barrette promet d’abolir les frais accessoires, sauf une fois au chalet !


# 2 : Pénurie de seringues ? Le ministre de la santé est parti avec le cash !


# 3 : Quand Phillip Morris fait des clins d’œil aux dépanneurs

On est toujours le xénophobe de quelqu’un, M. Couillard

Voici le texte publié jeudi dernier par Le Devoir, le Journal de Montréal et de Québec et par le site du Soleil (Seul La Presse a décliné.) On peut entendre aussi l’entrevue que j’ai accordée à ce sujet à Richard Martineau.

Cher Premier Ministre,

Votre prédécesseur, Robert Bourassa, a déclaré un jour qu’« en politique, on dit parfois n’importe quoi ». C’est donc dans cette catégorie de déclarations que j’ai d’abord classé vos propos de dimanche dernier, quand vous affirmiez que le PQ et la CAQ avaient « soufflé sur les braises de l’intolérance » et portaient « un lourd passif en matière d’intégration ».

Comme le PQ, la Protectrice dit Non à une autre Taxe santé libérale

Ce matin, la Protectrice du citoyen fait entendre la voix de la raison en réclamant, comme on le fait au Parti québécois, l’interdiction des frais accessoires de santé,  imposés à des patients incrédules par certains (une minorité) de médecins spécialistes.

Pour l’instant, la décision de médecins de facturer quelques dizaines ou quelques centaines de dollars à des patients pour des services qui sont gratuits à l’hôpital (mais la plupart du temps qui demandent beaucoup d’attente) est réduite à un millier de médecins. La facture globale est estimée à au moins 50 millions de dollars par an.

Soins à domicile: l’ère du ministre du rationnement

La Protectrice du citoyen a mené l’enquête. Elle est formelle. Le gouvernement Couillard ne donne pas suffisamment de ressources au système de santé pour couvrir les besoins en soins en domicile. En fait, c’est au point où les soins sont rationnés.

Elle n’utilise pas le terme, m’a rétorqué à l’Assemblée le ministre Barrette. En effet. Mais voici ce qu’elle dit en citant des cas qui, précise-t-elle, « illustre le problème de l’insuffisance des ressources »: