La photo: le dilemme du Niquab résolu !

EXCLUSIF : l’industrie montréalaise de la confection vient de concevoir une solution à l’épineux problème du Niquab et de la Burqua. Cette innovation locale permettra de concilier : 1) la volonté des dévotes musulmanes d’être complètement couvertes, sauf pour les yeux ; 2) la volonté de l’État de pouvoir identifier ces femmes et d’interagir avec elles comme avec les autres personnes.

La solution trouvée permettra aux femmes portant le voile intégral de se présenter aux cours de francisation, de s’identifier pour la prise de photo, etc., sans enlever leur voile.

L’enthousiame est tel, dans les milieux gouvernementaux à Québec, que le premier ministre Charest entend faire une démonstration de la trouvaille à son ami Nicolas Sarkozy qui, en France, pourrait l’utiliser pour résoudre l’épineuse crise  provoquée par son intention de bannir le voile intégral même dans certains lieux publics.

Les fabricants montréalais, qui comptent baptiser leur voile NiquART ou BurquART — pour Accomodement Raisonnable Total — voient grand. « Après l’introduction dans le marché québécois puis français où le nombre d’acheteuse est restreint, a déclaré le jeune designer de Verdun, Richard Al Ayoub Tremblay-Bergeron, nous viserons l’Iran, l’Afghanistan et la péninsule arabique, là où les ventes seront vraiment intéressantes. »

Une illustration du vêtement, après le saut :

burka-transparent

 

 

 

 

 

 

 

Il suffisait d’y penser…

(PS. Avis à l’infime minorité de non alertinternautes. N’écrivez pas, de grâce, c’est une blague…)