Le crépuscule des crapules

Quelques journalistes ont été étonnés que j’utilise le mot « crapules » pour parler des corrupteurs qui ont gangréné notre société ces dernières années.

Comme si on devait se gêner. Le tort qu’ils nous ont causé est considérable. Les outils que nous déployons — la nomination de Jacques Léonard au comité conseil de Montréal n’était que la dernière en date — doit faire en sorte de faire du Québec, et de Montréal, un endroit particulièrement hostile… aux crapules !

Voici comment j’ai résumé la chose dans un discours le mois dernier:

18 avis sur « Le crépuscule des crapules »

  1. Je ne comprends pas très bien le mot « crapule » mais je ne pourrais jamais être en désaccord. Nous avons perdu confiance en le gouvernement à cause de la corruption.

    Pourtant, je crois que ceux et celles qui voudraient diviser notre pays qu’est le Canada, avancer une langue au dépens d’un autre, ou éliminer la reconnaissance de Dieu dans l’état, viennent du même étable que ces accepteurs d’enveloppes brunes.

    • Il manque les mots : Libéral et Conservateur dans votre regard sur les gouvernements. Les électeurs n’ont pas besoin d’autre chose que des politiques rétrogrades d’un Harper pour diviser le Canada. La séparation du Québec est une démarche démocratique d’un peuple qui exerce ses droits fondamentaux. Le Canada et le Québec sont des sociétés laïques où la religion relève de la vie privée. Quand à l’étable et aux enveloppes brunes, vous pouvez y ranger vos conceptions dépassées et méprisantes de la société.

  2. En fait ces crapules sont les mêmes menteurs du comité du NON ces les voleurs de référendums , des malfrats , des voyous déguisés en cravates libérales , des assassins de peuples , des colonisés collaborateurs , des détrousseurs de fonds publics , des commandités, de purs hypocrites qui ont envahirent le domaine des municipalités pour contrer le Parti Québecois au pouvoir à Québec. Et ceci dure depuis 1976 pour ne pas dire depuis 1763, ces visages à deux faces nous mènent une guerre à finir pour empêcher notre décolonisation et pour nous fermer le monde.
    MICHEL GUAY

  3. On ne parle plus de larcins ou de lascars dans ce Québec pourri jusqu’à l’os. Les mafieux travaillent en marge du système et ils sont faciles à reconnaître. Mais les petits mafieux à cravate travaillent à l’intérieur de la pomme et ils n’en sont que les vers, puisqu’ils parasitent toute la société à visage couvert.

    Des hypocrites, des lâches, des voleurs de tous et de chacun sans aucun scrupule ni repentance. Puisqu’une fois acculés au pied du mur, ils tentent encore d’édulcorer leurs forfaits : vendre leur maison à un dollar, jouer au casino pour redonner… et quoi d’autre d’aussi minable.

  4. J’approuve a 100 pour cent. Je ne crois plus a l’integrite de ces personnes. J’ai vecu longtemps a Montreal. Les gens etaient plus ordinaires , donc plus
    Sinceres et surtout plus honnetes. Mais. En Dieu on croyait. On disait LA. ViE EST BELLE. On etait heureux ! Tout etait beau

  5. Cessez d’avoir peur de nommer un chat, un chat. Ce sont des BANDITS. Quand on s’approprie le bien d’autrui de façons illégales (collusion, conspiration, extorsion, commission etc.) c’est du banditisme…

  6. Et tout çet argent dépensé en trop par nos taxes, permis et justifications à la chère administration crapuleuse de Montréal, quand allons avoir un retour d’ascenseur, retour à la justice, possibilité d’offrir des loyers à prix raisonnables et que ça paye au moins des taxes raisonnables.
    Vont-ils êtres jugés ces crapules? Bien non ils sont trop riches et se cachent dans leurs Outremont douillet….

  7. Bonjour M. Lisée, vous utilisez le mot crapule pour qui? La mafia? Il y a toujours eu des mafiosos. Mais qu’il y a dans nos institutions autant de gens qui ont fermé les yeux et les ferment encore c’ est dire comme c’est compliqué de mettre un frein au gaspillage de l’argent du peuple.
    Mon opinion est que je trouve encore plus criminel un politicien qui pour des préoccupations de se faire réélire s’agite autour de ces crapules pour remplir une caisse électorale, ça pour moi c’est du domaine de l’emprisonnement. Lorsque je vois M. Couillard se présenter partout pour demander aux gens de lui faire confiance pour devenir éventuellement chef du PLQ ça me vire à l’envers. Où encore d’entendre un Moreau dire qu’une constitution ça ne change rien pour les québécois, je colle au plafond. Et que dire de la complicité des médias, complices de tous ces arnaqueurs du peuple.
    Mais je dois tout de même vous félicitez pour votre travail sauf peut être notre home que je toruve futile si je considère l’histoire, comment ne pas m’y référer.

    • Comme tout le monde je constate que bien des élus ne méritent pas notre confiance. Il y a cependant des gens qui ont élu ces «crapules» et plusieurs fois plutôt qu’une. Ça fait pas mal de crapules!

  8. Très bonne nomination en Jacques Léonard et souhaitons un joyeux ménage dans ce Montréal qui en a bien besoin …..

  9. Le financement des partis politiques, est-ce que ça inclus le $75,000 de Johnny Charest?

    • Deux choses au sujet du salaire de 75 000 $ versé à l’ex-premier ministre pendant près de 10 ans à même les « donations » au Parti libéral.

      Primo. M John James Charest n’a jamais dit que c’était tout ce qu’il recevait. Des rumeurs veulent qu’il ait reçu plus d’un million pour venir faire la job au Québec.

      Secundo. Par le jeu des retours d’impôts que le Gouvernement du Québec retourne aux contributeurs à la caisse électorale du PLQ, c’est en réalité le gouvernement du Québec et donc tous les contribuables qui ont payé les 75 000 $ de M Charest.

      M. Charest n’était pas un salarié du PLQ!!! Le 75 000 $ qu’il recevaitt chaque année via le PLQ provient EN RÉALITÉ des poches de tous les contribuables québécois. En voici la preuve:

      Supposons que le 75 000 $ provient de 25 dons de 3000 $ chacun. Les contributeurs au parti politique en récupèrent les trois quarts en crédits d’impôt du Québec, soit 56 250 $ qui leur est versé par le Gouvernement du Québec. Les contributeurs ne déboursent en réalité que 18 750 $.

      Si le parti politique donne un salaire de 75 000 $ au chef de parti John James, ce dernier empochera un salaire net de 37 500 $, après avoir payé 18 750 $ d’impôt au Fédéral et 18 750 $ d’impôt au Provincial (en supposant un taux marginal d’imposition de 25 % à chaque palier de gouvernement).

      Le gouvernement du Québec aura donc déboursé un montant net de 37 500 $ (soit le 56 250 $ de crédits d’impôt accordés moins l’impôt provincial de 18 750 $ payé par le chef de parti) qui se retrouve intégalement, « au net » comme il aime si bien dire, dans les poches du chef de parti John James.

      Ce sont donc tous les payeurs de taxes québécois qui auront payé le salaire du chef de parti John James.

      Quant aux contributeurs, leur déboursé net de 18 750 $ sera allé au Fédéral !

  10. Merci d’être là, m. lisée!

    JEEE m’EE soou-vient… des 9 dernières années du libre marché et du courage que ça prend pour reculer afin de mieux avancer, c’est tellement Humain, Honnête, Sincère et vrai! Québécois, notre adversaire est (à mon humble avis) la division.

  11. Tout à fait d’accord avec vos propos. Cela donne encore plus de responsabilité au gouvernement et surtout interdit à ses membres la moindre prise d’avantage suspecte, sous peine de perdre le crédit que vous essayez courageusement de bâtir.
    Continuez à être vigilant.

  12. Je trouve le mot «crapule» plutôt faible. J’utilise pour décrire ces gens un mot qui commence par la lettre c et il est plus imagé et plus précis que crapule. Ça fait du bien!

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