L’été du déclin, de la culpabilisation et du déni

Il y a des étés où il ne se passe rien. Il y a des étés qui nous envoient des messages forts. L’été 2017 est parmi les plus bavards. Il nous dit que la nation québécoise vit de plus en plus dangereusement, dans ce qu’elle a de plus profond : l’avenir de sa langue et de sa culture, de ses choix.

Il nous dit surtout qu’il faut riposter avec force aux courants qui affaiblissent le Québec, puis opérer un redressement qui nécessite le retour d’une volonté nationale réelle et structurante aux commandes à Québec, à l’élection de 2018. Le Parti Québécois va incarner cette riposte et cette volonté au pouvoir.

Un printemps inquiétant

Il y avait des signes avant-coureurs. Au printemps, des juges fédéraux avaient scié une autre branche de la loi 101, celle qui balisait clairement les cas où des employeurs pouvaient exiger la connaissance de l’anglais pour l’obtention d’un travail. Sous René Lévesque et après des décennies de luttes parfois épiques, la nation avait tranché : le droit de travailler en français allait désormais être la norme. Mais les juges trudeauistes ont décidé que l’exception peut désormais devenir la règle.

Informé de ce recul historique, le premier ministre Philippe Couillard répondit en juin que soulever cette question, c’était brandir un « chiffon linguistique ». Il faut dire que le chef du gouvernement avait donné le ton, juste avant son élection, en 2014, en affirmant que chaque travailleur d’une chaîne de montage devait connaître l’anglais au cas où un acheteur anglophone passerait par là. Les tribunaux canadiens viennent donc simplement d’instaurer la « doctrine Couillard » dans la jurisprudence.

À ce recul historique sur la langue de travail s’est ajoutée la décision d’un organisme fédéral (le CRTC) de réduire les exigences de production d’émissions de télévision francophones et de vidéoclips de chansons francophones. Ces mesures structurantes qui, pendant des décennies, ont permis de nourrir et de renouveler la culture québécoise populaire sont aujourd’hui affaiblies. Au Canada anglais, où les téléspectateurs écoutent majoritairement des émissions américaines, c’est un non-sujet. Mais les Québécois écoutent, eux, majoritairement leur propre production. Encore faut-il qu’elle existe.

On a aussi appris en début d’été que le gouvernement canadien n’avait aucunement l’intention d’intervenir pour encadrer ou réclamer du contenu local chez les nouveaux vecteurs étrangers qui pèsent sur notre vie culturelle : les Netflix, iTunes, Spotify et autres. « Cela prend une solution internationale », a déclaré la ministre responsable, comme si les Américains allaient, un jour, accepter de s’y plier. Le Québec, lui, avait naguère tenu tête à Hollywood et à Microsoft pour obtenir la version française des films et des logiciels en même temps que les versions originales anglaises. Il faut constater que cette volonté politique n’existe en ce moment ni à Québec, ni à Ottawa.

Temps pluvieux sur le français

Ces décisions qui, toutes, affaiblissent le français au Québec, auront demain des effets néfastes sur les niveaux d’utilisation du français. Mais l’été 2017 nous a montré combien, avant même ces mesures, le temps linguistique était pluvieux.

Les chiffres de recensement dévoilés en pleines vacances par un autre organisme fédéral, Statistique Canada, indiquent clairement où va le français : vers le bas. Certes, en comptant le français langue seconde, le français est toujours parlé par 94 % de nos citoyens. Un réel exploit. Mais une nation et une culture se définissent par la proportion de sa population qui utilise le français comme langue première, au petit-déjeuner, avec les enfants. Dans un arbre, la langue seconde, ce sont les feuilles. La langue première, les racines.

Or, le recensement confirme ce qu’on sait depuis maintenant 20 ans : sur l’île de Montréal, lieu essentiel de l’intégration, il n’y a guère plus que la moitié de la population qui transmet le français à ses enfants à la maison. Les chiffres nous indiquent désormais que la proportion de ces francophones-racines est en chute spectaculaire à Laval, en déclin significatif à Longueuil et à Brossard.

Évidemment, l’État ne peut ni ne doit légiférer sur la langue parlée à la maison. Aucune des personnes qui parlent une autre langue que le français à la maison n’est en faute ou ne doit se sentir responsable de cette situation. C’est l’État québécois qui a le devoir absolu de créer des conditions qui font en sorte que cette proportion reste assez élevée pour assurer l’avenir d’une nation francophone au Québec, de génération en génération.

Les chiffres de l’été démontrent que ces conditions s’affaiblissent dangereusement. Et, si on doit pointer un coupable principal, il faut revenir à un terrible rapport du Vérificateur général (VG) datant de 2011. Il affirmait après enquête être incapable de confirmer l’affirmation libérale selon laquelle 50 % des nouveaux immigrants québécois avaient une connaissance du français au point d’entrée. Dans la moitié des dossiers étudiés par le VG, il ne trouvait nulle preuve de cette affirmation. Donc, pendant de nombreuses années, le PLQ a à la fois augmenté le nombre d’immigrés (de 35 000 à plus de 50 000 par an) et fait en sorte que plus de la moitié d’entre eux ne peut même pas commander un café en français.

C’est là, d’abord et avant tout, dans une politique au mieux imprudente et au pire sciemment néfaste, qu’on trouve la cause principale du déclin du français dans la métropole. La faute, il convient de le répéter, n’incombe nullement aux néo-Québécois qui ont suivi toutes les règles qui leur ont été présentées. Elle incombe au gouvernement libéral québécois, qui a agi au détriment de l’avenir de la nation et de sa langue.

Quarante ans après l’adoption de la Charte de la langue française, on vit dans la métropole une situation de cohabitation croissante de deux « langues communes », le français et l’anglais. Une situation applaudie, il faut le dire, par le gouvernement libéral québécois actuel et par la politique linguistique trudeauiste.

Faire des Québécois des coupables permanents

L’été 2017 fut aussi celui de la montée du procès pour racisme organisé contre les Québécois. Le défilé même de la fête nationale, moment de célébration de notre existence, fut une victime à fort potentiel symbolique.

Tous ceux qui ont assisté au défilé de la fête nationale du Québec 2017 y ont vu une ode à l’identité québécoise partagée. Particulièrement touchant était l’hommage rendu à feu Leonard Cohen. Mais un militant personnellement convaincu que le Québec est profondément raciste, a volontairement diffusé sur le Web l’image de quatre jeunes Noirs poussant un char allégorique. Il a voulu en faire un symbole de ce qu’il croit être le racisme intrinsèque du Québec.

Les jeunes Noirs, volontaires de l’équipe des Patriotes d’une école du quartier Saint-Michel, voulaient ainsi participer à la fête commune. D’autres chars étaient poussés par des Blancs. Personne, parmi eux, ne s’est plaint de discrimination ou de mauvais traitement. Tous ces bénévoles ont été traités également, en Québécois fiers de l’être et d’être là.

L’internaute antiraciste a le droit de voir du racisme partout. Ce qui est plus grave est la validation de cette accusation par des personnalités politiques québécoises.

Première à dégainer, la porte-parole de Québec solidaire, Manon Massé. Elle a indiqué sur Twitter le jour même (donc sans effectuer la moindre vérification factuelle) : « La fête nationale, c’est une question de symbole. Là, on vient d’envoyer un très mauvais message. »

Le premier ministre libéral Philippe Couillard, lui, a eu deux jours pour vérifier les faits, avant de déclarer, en entrevue : « [Les organisateurs] nous ont expliqué que le concept derrière n’était pas celui qu’on pense. Tant mieux, mais c’est ce qui a été perçu et, l’important, c’est ce qui est perçu. »

Non, Monsieur le Premier Ministre. L’important n’est pas ce qui est perçu, car la perception peut être sciemment construite pour trahir la réalité. L’important est la réalité. Et un premier ministre du Québec qui constate qu’on tente de salir délibérément, et sans fondement, la réputation du défilé de la fête nationale devrait défendre clairement la réalité. Il a failli à cette tâche.

Dans la foulée, il a annoncé la création d’une consultation sur la discrimination systémique et le racisme qui sillonnera le Québec cet automne pour accumuler des pièces à conviction. Une proposition d’autant plus louche que le Parti libéral a rejeté, en juin, une motion du Parti Québécois proposant deux mesures concrètes de lutte contre la discrimination à l’embauche. Il s’agit donc d’une opération politique préélectorale de culpabilisation des Québécois, chaudement appuyée par Québec solidaire.

À travers cette commission, c’est le consensus québécois favorable à la laïcité qui subit un feu nourri d’accusations de racisme et de discrimination. Les procureurs autoproclamés font sciemment l’amalgame entre religion et race, comme si ces réalités étaient interchangeables. Comme si tous ceux qui, depuis le siècle des Lumières, ont voulu séparer l’Église et l’État, affirmer la prédominance de la norme sociale commune sur les préceptes religieux dans l’État et l’espace public, tout en défendant la liberté de conscience et de culte, étaient par nature intolérants.

Ce qui est visé par ce procès n’est donc pas l’acteur principalement responsable des problèmes réels d’intégration des néo-Québécois – le parti qui a gonflé l’immigration sans créer les conditions de son succès, donc le PLQ. La véritable cible est la volonté très majoritaire des Québécois, et présente dans la diversité, d’affirmer clairement, face aux religions, la laïcité de l’État et le primat de l’égalité des hommes et des femmes.

Les Québécois ont forgé cette conviction dans leur combat d’un demi-siècle pour se libérer d’une emprise considérable de la religion catholique dans leur vie, comme dans leurs services publics et leur État. Ils souhaitent rester fidèles à eux-mêmes et, somme toute, désirent vivre dans une société qui, tout en respectant les croyances de chacun, valorise la laïcité et la liberté des femmes. C’est leur droit et ils n’ont pas à devoir s’en justifier constamment. Ils méritent un gouvernement qui sera à leurs côtés. Pour l’instant, au gouvernement à Québec, à Ottawa comme dans l’opposition solidaire, ils n’ont que des adversaires.

Il est vrai que pour beaucoup de Québécois, et plus encore pour nos concitoyens religieux d’origine récente, la tension est irréconciliable entre, d’une part, une société québécoise qui croit à ces valeurs laïques et, d’autre part, un gouvernement canadien et une société canadienne anglaise qui valorisent, au contraire, l’expression désinhibée de toutes les différences religieuses, faisant même du droit de porter le voile intégral lors d’une célébration officielle la nouvelle frontière de la défense de la Constitution canadienne.

Cette tension ne peut se résoudre que par l’indépendance du Québec et l’adoption, ici, d’une constitution qui exprime la version québécoise du vivre-ensemble, qui n’est ni canadienne, ni américaine, ni européenne, ni meilleure, ni pire que celle des autres démocraties avancées. Elle est, simplement, québécoise. Elle mérite le respect.

L’été du déni national

S’il fallait un symbole encore plus fort de l’affaiblissement de la nation québécoise à l’été 2017, on l’a trouvé dans les tout derniers épisodes des relations entre notre gouvernement et celui de nos voisins.

D’abord, Philippe Couillard est allé raconter son plan d’affirmation nationale à ses collègues du reste du Canada. Lui qui représente une nation exclue de la loi fondamentale du pays depuis un tiers de siècle, et qui a laissé écrire dans son document-phare que les Québécois étaient ainsi des « exilés dans leur propre pays », a rassuré ses voisins. Pas question de leur demander à court ou à moyen terme autre chose que de nouer des relations amicales, de faire jaser nos universitaires, de signer des ententes. Bref, il a continué à faire ce que les gouvernements québécois font depuis des décennies. Comme Couillard ne demandait rien, il fut applaudi. Un Québécois comme on les aime outre-Outaouais.

La comparaison avec les nations autochtones n’est pas à l’honneur de notre premier ministre. Celles-là réclament rien de moins que d’être traitées de nation à nation par le gouvernement du Canada, en direct et sans intermédiaire. Elles souhaitent former leur propre ordre de gouvernement.

Sortant de sa timidité habituelle, Philippe Couillard a pensé pouvoir prendre le train des nations autochtones. Si Ottawa change la Constitution pour les reconnaître, elles, pourquoi ne pas y ajouter la reconnaissance de la nation québécoise?

Il n’en fallut pas plus pour que Justin Trudeau rabroue encore le premier ministre québécois. Pour la troisième fois en quelques mois. C’est non. La Constitution restera telle quelle, sans la signature du Québec. Il n’existe donc aucune façon pour la nation québécoise de faire valoir sa différence dans la Constitution du pays. Les Autochtones eux-mêmes devront se contenter d’une reconnaissance non constitutionnelle de la part d’Ottawa. Ils sont donc les victimes collatérales du refus, par le Canada, de la nation québécoise.

Le temps de la riposte

Ce n’est pas la première fois que s’accumulent les signes du déclin. Ce n’est pas la première fois que les Québécois sont accusés de racisme et de repli sur eux. C’était le cas dans les années 1970. Le Parti Québécois a su, à compter de 1976, renverser la vapeur. Adopter, contre une opposition féroce, des lois structurantes pour l’avenir linguistique, culturel du Québec, en plus de raffermir son économie, ses régions, sa solidarité.

Le Parti Québécois est aujourd’hui encore appelé à jouer ce rôle. D’ici l’élection d’octobre 2018, il défendra les Québécois, leur réputation, leurs choix, leurs besoins. Il préparera, à son congrès de septembre prochain puis dans les mois qui suivront, les gestes forts qui devront être faits, dès son élection en 2018, pour redonner à la nation québécoise la vigueur dont elle a absolument besoin.

Cela doit passer par une rupture avec les politiques d’anglicisation libérales. D’abord, en rétablissant le droit de travailler en français, en étendant la loi 101 aux entreprises de 25 à 50 employés – ce à quoi se refusent toujours le PLQ et la CAQ –, en faisant en sorte que 100 % des futurs immigrants et leur conjoint ne soient admis sur le territoire que s’ils démontrent une bonne connaissance du français. Cela passe par plusieurs autres mesures encore pour réaffirmer que la langue officielle et commune québécoise est le français et va le rester.

Il faut ajouter rapidement une affirmation claire et sereine de la différence québécoise en matière de laïcité de l’État dans une constitution québécoise et dans la loi, pour lui donner une légitimité maximale face à l’offensive multiculturaliste, d’ici l’indépendance que nous souhaitons réussir pendant notre second mandat.

Cela doit passer par une intégration réelle des néo-Québécois au travail, dans les régions, dans les professions, et par un recul de la discrimination qui soit également réel, et non une opération de relations publiques libérale.

Les défis du Québec de 2017 sont nombreux – santé, environnement, éducation, justice, régions. Le Parti Québécois, comme il l’a fait dans le passé, offrira des avenues novatrices et structurantes pour chacun de ces défis.

Les enseignements de l’été 2017 et les nuages qui s’accumulent au-dessus de l’identité nationale québécoise suscitent cependant un nouveau sentiment d’urgence. L’élection d’octobre 2018 sera celle où les Québécois choisiront, avec les libéraux soutenus en cela par les solidaires, d’amplifier le déclin du Québec, ou alors ils choisiront, avec le Parti Québécois, le gouvernement qui peut donner à la nation le regain de vigueur dont elle a besoin.

89 avis sur « L’été du déclin, de la culpabilisation et du déni »

  1. Que répondez-vous à cette objection de Sylvain Levesque dans le Journal de Montréal ?

    « Certes, le français est important et représente l’un des critères de sélection, mais ce n’est pas le seul. Outre la langue, le Québec doit impérativement favoriser l’immigration économique. Nous avons cruellement besoin d’investisseurs désireux de venir créer des emplois ici. Imaginez un américain qui voudrait s’établir au Québec avec quelques millions en poche et qu’on déciderait de le refuser parce que monsieur ne parle pas adéquatement le français.

    Aussi, avec le vieillissement de la population, nous vivons déjà des pénuries de mains d’œuvre dans des secteurs d’activités clés. Imaginez que l’on refuse une Britannique, un Allemand, un Japonais ayant des compétences en ingénierie, en médecine ou encore en recherche appliquée parce que madame ne parle pas adéquatement le français. […] Jean-François Lisée, avec sa proposition, veut créer un mur artificiel autour du Québec, celui de l’exclusion économique. »

    Votre idée de sélectionner les immigrants avant même leur arrivée au Québec est peut-être un peu radicale. Mais les franciser obligatoirement à leur arrivée
    me paraît une solution moins sujette à être contestée, tant à droite qu’à gauche.

    En tout cas, bien heureuse de vous savoir revenu, bien en vie, bien pensant, bien mordant. On se demandait où vous étiez passé…
    Et tout à fait enthousiaste de lire tous ces commentaires prouvant que les indépendantistes sont prêts à la bagarre qui nous attend pendant la prochaine campagne électorale.

    Vous êtes le seul à avoir l’étoffe du futur Premier Ministre. Je ne crois pas du tout à la nouvelle tendance d’élire de jeunes quadragénaires ou moins au pouvoir. Si de Gaulle a prononcé Vive le Québec libre, c’est justement parce qu’il l’a dit du haut de ses 77 ans. En haut de la montagne, on a une vision à 360°. Et on n’a plus rien à perdre puisque son œuvre est derrière soi. Plus d’ambition malsaine. Mais le sens de l’histoire…

    Et puis comme l’a également si bien dit J.L. Mélenchon : «« Je me présente devant vous avec le poids de l’expérience. Mieux vaut pour vous avoir des porte-parole rusés et malin plutôt que des poulets de l’année. »

  2. NOUS SOMMES EN GUERRE ET CELLE LÀ, NE SE GAGNERA PAS AVEC DES BISOUS-CALINS !

    Une seule et unique chose marchera pour que le peuple se lève et vous le savez M. le chef de l’opposition officielle, pour le moment !

    La charte des valeurs du Québec de Drainville doit être reprise ! Inventez une nouvelle formule pour la sortir mais elle doit ÊTRE !

    Nous en avons assez, assez de courber pour tout le monde et ramasser les claques de ceux que nous accueillons qu’on instrumentalise pour nous anéantir !
    M. Lisée vous êtes un grand intellectuel mais avez-vous assez de colonne pour diriger le Québec vers son indépendance !

    C’est un rôle difficile, dangereux, cela demande un sang froid et du front ! Lorsque les indépendantistes verront et sentiront votre volonté ils seront derrière vous ou un autre qui ira dans ce sens !

    Le PQ est infiltré à l’os et vous avez comme conseiller principal Paul St-Pierre Plamondon, je pense qu’il y a un problème !

    Autre petit rappel, de dénoncer la politique tordue au Québec ne veut pas dire d’être de l’extrême droite ! On se comprend, j’espère !

    Bonne rentrée et soyez celui que les indépendantistes souhaitent comme chef sinon nous sommes en danger !

  3. Très juste votre analyse. Pourquoi attendre si tard pour vous prononcer sur les problèmes et surtout pour utiliser les vrais mots. Je m’apprêtais à joindre le groupe de F.Legault qui lui dit haut et fort ce que beaucoup pensent tout bas. Je suis tannée des journalistes et des politiciens qui tentent de nous culpabiliser et pour ce faire doivent constamment modifier les faits rapportés. Crise des migrants haïtiens? Quelle crise??? Pourquoi le discours et l’inquiétude de Carole Poirier? Pourquoi ne pas dénoncer le fait qu’il n’y avait pas de situation de crise au sens de nos lois? Pourquoi attendre des semaines et des milliers d’entrées illégales avant de réagir? Selon M. Couillard, les Haïtiens aux USA sont en situation de détresse!!! Où ça??? Il pense vraiment que les Québécois sont trop « niaiseux » pour se rendre compte eux-mêmes que c’est un leurre? A ce compte-là, fermons Haïti…

    Les Québécois ne sont pas racistes…ils sont juste en train de quêter qu’on les respecte, eux et leurs lois.

    Je prends note de vos efforts des deux derniers jours pour essayer de récupérer l’inaction des derniers mois et de dire les vraies choses. Continuez.

  4. Cher Monsieur Lisée, lâchez-nous avec votre rectitude politique! Vous voulez un pays et en même temps vous encouragez le non-respect des frontières. Un Québec indépendant deviendra-t-il finalement un petit Canada en français? Vous proposez comme solution, des permis de travail accélérés à des illégaux avant même le traitement final de leur dossier! Ils ne fuient pas la guerre, une épidémie ou une catastrophe naturelle, un danger ou une persécution, ils sont tous et toutes pour le moment des immigrants économiques illégaux. Je suis indépendantiste et je voterai PQ, mais par moment vous me déprimez sérieusement! Pendant ce temps on omet de faire la promotion active de l’indépendance, j’ai dit active! L’indépendance c’est un combat, il faut avoir un esprit et un ton de combattant pour vaincre! Faire à chaque occasion l’énumération des inepties de nos adversaires ne suffit pas, c’est devenu un passe-temps à leurs yeux.

  5. On ne peut être en désaccord avec vos propos dénonçant l’hypocrisie de ceux qui n’ont rien à faire de la condition des minorités francophones ou autres. Seulement je crois que nos concitoyens de tous origines et de tous opinions ne peuvent seulement se rallier à qu’une idée qui les amènent à croire à l’amélioration de leur sort, idée porteuse d’un message positif. Je crois que la classe politique qui véhicule nos aspirations, doit cesser d’être sur la défensive dans les médias quand l’on parle de notre volonté de survivre comme culture et de continuellement blâmer que ceux qui ne partagent pas nos idées pour ce qui nous arrive au Québec. Désormais, ce n’est que l’image véhiculée par les médias et la perception (bien fondée ou non) des citoyens à nos propos qui dictent la réussite de notre projet politique. Le discours et les arguments motivant notre objectif sont connus et constants dans la communauté depuis toujours, sachons maintenant stratégiquement vendre notre produit. Procter & Gamble n’énumère pas la liste des ingrédients quand il veut me vendre son savon…

  6. Bravo à M. Lisée, un texte profond à la hauteur de l’homme d’état que vous êtes.

  7. Pour l’instant peut-on laisser de côté tout ce qui s’est déjà passé et s’attaquer à ce qui se passe présentement .Faudrait peut-être que l’opposition représente plus fortement ce que le peuple cri du fond de son âme .Vous savez tous que ce qui se passe présentement avec tous ces réfugiés est une propagande pour semer le cahot et est nullement un besoin existentiel pour tous ses arrivants car ce ne sont pas des migrants!!! Au-delà de 80% de ces personnes ne sont même pas Haïtiens alors M.Lisée vous voulez des votes aux prochaines élections tous les votes iront à ceux qui auront le courage de se lever et de dire au dirigeants actuels c’est assez et tout mettre en oeuvre pour que çà cesse au lieu de faire des sourire et d’essayer de paraitre politiquement correcte.plus de temps à perdre ce sera avec ou sans vous . Si vous manquez d’inspiration je suis sûr que M.Trump serait de bon conseils .Pensez-y sérieusement.

    • Mr. Lisée, celà devrait faire parti de votre programme aussi de règlementer l’ immigration par le choix des peuples qui peuvent immigrer ici et là quantité et la langue.🙏

  8. Profil: Jeune Papa Québécois (31 ans) de souche habitant en milieu rural, professionnel en TIC.

    Je me sens déconnecté du débat et du PQ. Suis-je le seul?
    Comment puis-je me ré-intéresser au sujet?

    Aux dernières élections, j’ai annulé mon vote.

    – Le parti du lobby des médecins ne m’attire pas.
    – Le PQ en perdant son temps sur la burka, a démontré une intolérance inquiétante.
    – Legault, dangereusement incompétent.
    – QS, une utopie aux partisans trop jeunes ou trop à gauche pour être pragmatique.

    Pour terminé, je suis un souverainiste, modéré maintenant que j’ai traversé le pays d’Est en Ouest.

    En tout honnêteté et en prenant du recul, je n’arrive plus à être fier d’être Québécois. Les stratégies politiques du PQ y sont pour beaucoup. Et ne faisant pas partie de la base électorale de Lisée je doute que mon message soit entendu. J’annulerai fort probablement mon vote à la prochaine élection.

    • Nous avons besoin du vote de tous et toutes Monsieur Tremblay. Les Québécois désabusés doivent se resaisir et reprendre à nouveau le flambeau. Nous avons besoin de guerriers. L’heure est vraiment arrivée car l’élection de 2018 est tellement importante. Je vous salue.

  9. Enfin…un désir d’actions dans le sens où les Québécois.ses veulent aller.
    Vous ne sembliez pas nous écouter crier durant tout l’été mais je vois qu’il en est tout autre. Je vous suivrai jusqu’au bout Monsieur Lisée. Le Québec doit cesser d’agoniser, IL DOIT VIVRE et plus fort que jamais.

  10. Vous touchés des points essentiels , lors de votre analyse qui est juste et précise. Il va falloir retrousser nos manches pour se débarrasser de ce gouvernement , qui compte dans ses rangs , une machine prête à utiliser tout les moyens pour conserver son règne.
    Il faut éviter au PQ Les gué guerres interne , qui font très mal au vu de la population , facilement influençable, qui font reculer la cause à chaque faux pas.

    Il faut marteler le message d’aller voter, convaincre chaque électeur, chaque petite victoire est importante.
    Continuer Lisée , la qualité de votre français est un atout indispensable, vous avez mon appui, le Québec mon pays , je t’aime.

  11. Bravo monsieur Lisée ! Une analyse lucide de la situation, une lucidité qui rappelle un peu celle de René Lévesque lorsqu’il avait orchestré la nationalisation de l’électricité. Vivement des solutions structurées et visionnaires !

  12. Votre vision du Quêbec de demain est stimulante et emballante. J’embarque avec Vous. je suis membre de ce parti depuis fort longtemps et en Mai j’ai signé pour un autre 3 ans. VIvement un Quêbec indêpendant et Je nous souhaite que tout le monde mettre cette peur de côtė car elle paralyse le jugement. Pour une fois, essayons de faire confiance et d’oser un Quėbec indépendant.

  13. Texte fort pertinent qui démontre qu’un virage s’impose.

    Puisque que le temps et l’immigration ne jouent pas en notre faveur, si rien n’est fait nous nous réservons des lendemains surprenants.

  14. U*n programme bien articulé, audacieux ,pour battre François Legault en province et dans la grande région de Québec. Le succès du PQ est à ce prix.
    Il est à souhaiter que les multiculturalistes au sein du PQ sauront se rallier à la majorité qui est contre.

  15. Bonjour,
    Depuis un moment, je vois qu’un recours collectif pour diffamation de la nation québécoise faussement accusée de racisme se prépare, mais je n’ai rien vu d’autre que des écrits en expliquant le pourquoi, à quand de l’action ? À quand le dépôt de ce recours collectif ?
    Merci ! de bien vouloir me répondre.

    • Il faut y associer tous les PATRIOTES , car le mo tNATIONALISTE est tabou.

  16. Un texte pertinent et raisonné parlant des vrais enjeux d’avenir de la nation Québécoise comme de la constitution et d’une réelle politique d’immigration selon notre vision bien à nous. Il est grand temps de faire ravaler l’arrogance aux Massé, Couillard de ce monde en leur rappelant qu’ils n’ont pas le monopole de la vertu, mais semblent plutôt avoir le monopole de la démagogie et de la bêtise. Leur multiculturalisme comme ils le conçoivent, autant que celui à la Trudeau fils, est néfaste autant pour les Québécois que pour ceux venant s’établir dans notre pays. Je suis de tout cœur avec vous jusqu’à la fin monsieur Lisée. On se rebrousse les manches et on recommence de nouveau.

  17. M. Lisée,
    Sur tous les blogues je l’ai dis et redis.. La grande faiblesse de votre parti, c’est les communications. Je le répète encore une fois… le PQ souffre de ne pas être capable de faire passer son message. Mais encore… est-ce qu’il y a un message? Parce que vous louvoyez à gauche et à droite et les questions d’immigration apparaissent comme une patate chaude entre vos mains. Il va bien falloir que vous l’envoyiez paître cette aile gauche du parti pour que vous puissiez enfin prendre à bras le corps la question de l’immigration.

    • De Québec, en tout respect Dominique J., M. Lisée a bel et bien donné son avis clair et net sur la question de l’immigration. Je crois aussi que M. Lisée a le caucus bien en main.

  18. Monsieur Lisée,

    Votre vision de ce que devrait être le Québec est enthousiasmante. Il faut donc que le message porte loin. Le Parti Québécois doit trouver la manière d’être entendu par le plus grand nombre. On ne l’entend pas ce merveilleux discours. Il ne faut plus compter sur Radio-Canada et les médias parlés traditionnels, on le sait tous.
    Je ne suis pas un expert en communication. Je ne détiens pas la solution. Je vous en prie, trouvez ces gens et mettez-les au travail, le compte à rebours est commencé! Vous avez toute ma confiance,
    P. Lambert

  19. M. Lisée, Je vous félicite tout d’abord pour votre texte.
    Mais je vous invite à lire la chronique d’Alexandre Cormier-Denis qui s’intitule La naïveté des souverainistes concernant l’immigration doit cesser
    http://vigile.quebec/La-naivete-des-souverainistes
    Dans mon entourage, les gens en ont ras le bol du louvoiement du PQ, qui dit une chose et son contraire. Où se positionne le mouvement souverainiste face à l’immigration ? La cohérence étant une balise essentielle sur le chemin des victoires, vous devriez, comme chef du Parti québécois, apporter une attention particulière à la cohérence des messages et des actions.

    • De Québec, en tout respect Mme Chapdelaine, je ne vois pas où votre entourage voit du louvoiement dans le programme de M. Lisée et ses propositions et dans le Parti Québécois. Sur toutes les tribunes, notre chef a toujours gardé la même constance concernant l’immigration. Il faut être au pouvoir pour changer les choses c’est pourquoi il faut élire le P.Q. comme gouvernement en 2018 !

  20. Jean-François, je suis d’accord avec votre analyse et également avec les commentaires de plusieurs souhaitant que vous découpiez votre message en courts segments percutants pour marquer l’imaginaire des lecteurs ou des auditeurs. Les gens, du moins la majorité, ne prennent plus le temps, malheureusement, de lire des textes de plus de 2 paragraphes.

    • De Québec, tout à fait d’accord avec vous M. Lincourt. Plus souvent de courts textes et rendre ceux-ci plus percutants.

    • effectivement même si votre texte qui dépeint d’une manière réaliste l’été 2017; peu de gens lirons votre texte Monsieur Lisée car il est trop long nous vivons malheureusement dans la nouvelle Ère du nano;vos idées détaillées au couteau doivent être disséquées en nano messages pour réveiller le peuple Québécois pour la gestion de notre territoire au niveau économique,juridique et social.

  21. Un été difficile. Rien de facile pour le PQ; c’est pourtant le parti qui voit le mieux les besoins des québécois. Réussirons-nous à faire tourner la situation en notre faveur, avant l’automne 2018? C’est maintenant ou jamais; c’est notre dernière chance de survie en tant que peuple francophone. Merci, M. Lisée.

  22. Bravo M Lisée. Analyse des plus pertinentes, La nation québécoise est attaquée de toute part, le français est en déclin. Les solutions politiques proposées par le Parti Québécois tracent la voie. Le temps est à l’action! Il faut faire circuler ce texte – je l’ai affiché sur ma page Facebook – en parler et surtout agir de façon conséquente.

  23. Bravo M Lisée. Analyse des plus pertinentes. La nation québécoise est attaquée de toute part, le français est en déclin. Les solutions politiques proposées par le Parti Québécois tracent la voie. Le temps est à l’action! IL faut réfléchir à tout cela et surtout, agir de façon conséquente.

  24. Je crois que la Loi 101 doit s’appliquer à la formation professionnelle, au cégep et à l’université. Je crois aussi que le référendum devrait être possible dans le prochain mandat advenant une augmentation de l’appui à l’indépendance dans les sondages, sinon on enlève tout rapport de force. Sans les deux mesures précédentes, le P.Q. sera un parti comme les autres. La CAQ et QS iront chercher encore plus de votes et les Libéraux resteront au pouvoir.

  25. Heureuse de vous revoir sur le petit écran déclinant des sujets pertinents: le français et l’immigration. J’ai trouvé l’été déplorable sur divers volets. Il était temps que j’entende parler du Québec, du Québec en français et maître de ses choix. Merci de garder le cap dans vos discours. Ça ravigote la flamme de l’espoir.

  26. Bonjour M. Lisée
    Je constate que je ne suis pas seul à trouver que le PQ est plutôt absent sur la place publique présentement.
    Si on veux gagner la prochaine élection et on a pas vraiment le choix pour ne pas être rayer définitivement de la carte politique va falloir faire quelque chose et vite.
    Il faut entre autre aller chercher le vote des jeunes parce que les vieux comme moi ne sont plus pour la pluspart à convaincre.
    Il faut marteler sans arrêt les vertus d’un Québec autonome…indépendant.
    Il faut que le BLOC soit plus présent sur la scène au fédéral.
    Trouver de bons stratèges des bons conseillers….
    Bref c’est facile de jouer au gérant d’estrades mais une chose est certaine si on est pas plus présent et actif pour la prochaine année je ne donne pas cher de notre survie comme parti politique…
    Retroussons nos manches…et vite

  27. Bravo ! Le français est le nerf de la guerre pour assurer le bien-être de tous les Québécois de toute origine.

    • Oui, entièrement d’accord!
      Sauf que si l’on tient compte des FAUTES DE FRANÇAIS qui parsèment les textes ci-haut… on ne peut que se demander COMBIEN DE TEMPS ENCORE pourra résister le dit ‘nerf de la guerre’!?!…

  28. Je crois toujours que Philippe Couillard va se faire mal avec sa Commission sur le racisme systémique et là où il veut amener le débat, qu’il voit chez les Québécois et qui croyances qui sont endossées globalement par les militants de QS de la Région de Montréal.

    Le PLQ et QS trouvent leurs supports sur l’Île de Montréal, une Ville qui est sous contrôle du PLQ, à Québec, du PLC à Ottawa et d’un Maire, monsieur Denis Coderre, ex-ministre fédéral de l’Immigration dans un gouvernement libéral. Ajoutons que l’élite économique est aussi derrière de PLQ.

    Pourquoi les immigrants installés à Montréal souffrent-ils plus du chômage, de l’accès au logement, surtout aux logements salubres, et pourquoi, les immigrants diplômés, n’arrivent pas à faire accepter ces diplômes.

    Je pense ici aux médecins. Quelle humiliation de se faire dire : Si dans ton pays tu étais médecin et que tes frères et soeurs qui sont installés au Québec, te faisaient confiance, ici au Québec, ce n’est plus le cas. Et tout ça, par un gouvernement dirigé au plus haut niveau par des médecins Québécois.

    Que je dis que Philippe Couillard va se faire mal, c’est la réalité qui va le rattraper.

    Comme je l’ai mentionné plus haut, en dehors de Montréal, les problèmes que vivent les immigrants sont le reflet de ce qui se passe à Montréal, mais qui fini par déranger tout le monde dans le reste du Québec, parce que la population en a marre de ce discours qui divise à Montréal, afin de garder captif le vote de l’immigration, au détriment de plus en plus visible de ces derniers.

    Le gouvernement Couillard compte pas moins de 12 ministres sur l’Île de Montréal. Qu’avez-vous fait au nom du logement social salubre, pas seulement pour les immigrants, mais aussi pour une bonne partie de l’électorat convoité par QS ?

    Le monde des Affaires de Montréal est lié au PLQ, au PLC et au Maire de Montréal, est ce que cela a donné des résultats sur l’ouverture à l’emploi des immigrants ?

    Ces questions sont simples, mais les réponses ne sont pas au rendez-vous, il suffit d’essayer de démoniser les Québécois de souche, alors que si vous consulter les offres d’emplois en dehors de Montréal, ces préjugés n’existent tout simplement pas.

    Je le répète depuis un bon moment déjà, Philippe Couillard va se faire mal, et souhaitons-nous toutes et tous que cela ne se répercute pas dans la capacité d’accueil des Québécois(e)s de souche.

    Et Philippe Couillard pourra se faire poser la question : Pourquoi vous avez décidé de travailler pour un Régime qui ne respecte pas les Droits humains fondamentaux, entre 1992 et 1996 ?

    Celles et ceux qui diront que l’Arabie Saoudite des Wahhabites respecte sa minorité Chiite, devront expliquer le pourquoi, madame Nathalie Morin et ses 4 enfants Canadiens sont toujours interdits de quitter l’Arabie saoudite, même si dans les valeurs de ce peuple, l’homme est dans l’obligation de voir au soutien de sa famille.

    Le Canada a vendu des véhicules blindés avec tourelle, munie d’un canon de fabrication Belge le plus performant du monde, à tirs rapides. The Globe & Mail a rapporté que, selon des experts militaires, Riyad s’en est pris à sa population à l’aide de blindés qui viennent de l,entreprise ontarienne Terradyne Armored Vehicules.

    Est-ce que les Québécois de toutes les communautés, de toutes les religions et de toutes les couleurs voudront d’un réel débat sur les racines du racisme systémique, au Québec, sans oublier le Canada ?

    Lorsque les Autochtones voit un billet de 10 dollars du Canada dans leurs mains, avec l’effigie de John A. Macdonald, ils ne peuvent pas croire que le Canada est sérieux dans la recherche de ce qui a coupé les ponts avec les Premières Nations.

    A suivre…………………….

  29. Très bonne mise au point ici de M. Lisée en cette période estivale de quoi donner bonne augure à la rentrée qui s’en vient….

  30. Notre pire ennemi est Québec solidaire avec ses déclarations à l’emporte-pièce et et erronnées. Ce parti n’est nullement intéressé par l’indépendance du Qc et ne fait qu’un jeu électoral avec l’espoir de prendre le pouvoir avant longtemps.

  31. Le PQ est un parti raisonnable, modéré, sérieux. Les médias aiment les éclats, ce qui est rapide : les déclarations à l’emporte-pièce des quéssistes ou des caquistes, par exemple. Il est difficile pour le PQ de se faire entendre dans ce contexte. D’autant plus que ces mêmes médias vont tout faire pour nuire au PQ, non pas parce qu’il s’agit du PQ, mais parce que ce parti est indépendantiste (quoiqu’en pensent les détracteurs onistes).

  32. Mr Jean- F je suis avec vous . mais avec beaucoup de force et de croyance que vous ,même on dirait que vous avez laisser la baraque se conduire toute seule maintenant que vous en êtes devenu le grand des Grands CHEFS allez-y galoper et nous vous suivrons, soyez -en . de plus en plus certain et oui nous vous suivrons…..pour en être certain il ne suffit que NOTRE GRAND des CHEFS en soit certain lui même, de bien conduire sa baraque avec force et aussi accrochée à une très grande croyance nous tous derrière vous nous vous suivrons voilà
    ….

  33. Bonjour M. Lisée,
    Vous avez raison d’écrire que nous vivons un été « chaud »
    Le débat fait rage autour de la langue.
    Nous pouvons lire de très nombreux commentaires de gens soucieux de protéger la langue française.
    Plusieurs autres, mentionnent que seule l’indépendance pourra nous permettre de progresser.
    Nous ne sommes pas seuls !

  34. Bonjour M. Lisée,
    Bien content de vous lire.
    Sauf erreur, vous êtes le premier chef à parler aux gens aussi régulièrement.
    Vous consolidez nos argumentaires.
    Il faut continuer.

  35. Jean-François, soyons réalistes : les gens lisent en diagonal, La majorité a peine à lire un éditorial de 6 paragraphes . Je me rappelle l’expression :  » maman, je t’écris lentement sachant que tu ne lis pas vite  » , Or donc, utilisons la formule de François Legault : HIT THE ROAD et frappons aux portes de Pierre, Jean , Jacques, surtout dans les comtés où le PQ est vulnérable.

    • Ton texte Jean-François est superbe. Il alimente notre réflexion Mais….il faut le traduire en phrases ¨ chocs ¨ qui pourraient être contenues dans une page pour une plus grande circulation.

  36. Bravo M. Lisée, votre texte est superbe. Je souhaite que nombre de personnes prennent le temps de le lire mais aussi faut-il qu’ils soient réceptifs à tout ce qui se passe en politique en ce moment.
    Effectivement vous et votre équipe doivent être très actifs sur le terrain, présenter plein de capsules web et j’en passe car votre message doit passer et se faire entendre car la machine libérale elle ne manque aucune occasion de nous abattre.
    Merci encore d’être là pour nous, de mettre toute votre énergie et votre temps pour nous sauver de la déchéance qui nous attend si on ne se prend pas en mais aux prochaines élections.

  37. Mme Millette, je regrette mais je ne suis pas d’accord quand vous citez que les +40ans ne sont pas sur le web, j’ai 71 ans et je suis très active sur le web depuis le tout début, je connais plein de gens de ma famille (je suis la plus jeune) de mes amies, de mes connaissances de près ou de loin dans la même barquette d’âge et + qui sont super actifs sur les réseaux sociaux. Mais vous semblez oublier que nombre de gens ne souhaitent pas y participer car ils considèrent ce genre de pratique comme une atteinte à leur vie privé et aussi trouvent que s’est s’ingérer dans la vie privé des gens qui publient tous leurs hauts et bas de tous les jours, donc je répète, ne mettes tous les oeufs dans votre même panier.

  38. Les pays qui ont obtenu leur indépendance doivent avoir une quantité intéressante d’image qui expriment le bonheur d’être devenu indépendant.

  39. Il faudrait aussi M. Lisée envoyer des messages clairs aux gazouilleurs et aux Péquistes sur face de bouc, d’arrêter avec leurs messages de remise en questions stériles , leur façon de démobiliser et de décourager tout l’monde avec leurs arguments philosophiques et stratégiques adolescents et qui crachent sans arrêt sur Lisée et le PQ !!! C’est insuportable ! Ils divisent et écœurent les gens qui autrement auraient peut-être voté PQ ! Ils sont dangereux , je prédis que si l’on perd , ce sera en grande partie à cause d’eux ! Et pourtant , ils sont indépendantistes et Péquistes! Il faut y voir et mettre un terme à ce genre de lynchage! Merci et bravo encore M Lisée pour votre courage et votre grande détermination ! Je suis entièrement avec vous, je ne vous lâcherai pas !

    • Tout à fait. Lise et moi intervenons souvent auprès de ces soi-disants souverainistes et même se disant péquistes jouer sans cesse les éteignoirs quand c’est le tmeps de se serrer les coudes et mettree tous l’épaule à la roue . Moi j’en suis ..

    • Je vous appuie entièrement madame Balcer et moi aussi je suis mon chef qui a été élu a majorité importante .
      Damien ruest Sainte -Flavie

    • Blâmer l’échec de Jean-François Lisée sur ces critiques est de l’enfantillage.

      Un Chef qui sait rêpondre au quotidien n’envoie pas un chapitre à lire pour s’excuser. Il prend le chapeau et il le porte …

  40. Bravo pour se texte très pertinents . Je crois malheuresement qu’on atteint un point de non retour et que 2018 est le moment d’instruire justement les jeunes au faits que depuis plus d’un 1/3 de siecle que se beau pays ne nous inclus meme pas ! Une autre de vos priorités devraient etre l’éducation, le nombres de fautes dans ces quelques phrases vous prouves bien. Vive le quebec vive le quebec libre

  41. Monsieur Lisée,
    Ce genre de discours est tout à fait pertinent et véridique, mais beaucoup trop long… les gens ordinaires ne prennent pas le temps de lire. À mon avis, en plus des petites capsules que vous activez sur les réseaux sociaux, il faut ABSOLUMENT que vous soyez sur le terrain à crier toutes ces inégalités politiques en temps réel, du tact au tact. Il faut plus que des beaux discours, dans lesquels vous excellez sans l’ombre d’un doute, les gens veulent vous voir dans l’arène pour riposter au fur et à mesure aux agressions, aux attaques mensongères largement nuisibles pour votre parti. Je vous sais assez intelligent pour ajuster votre stratégie vis-à-vis vos adversaires et c’est URGENT. Vous pouvez compter sur mon appui. Bon retour et à l’attaque! Les 13 prochains mois seront cruciaux… c’est une question de vie ou de mort, et vous le savez très bien. Il vous faut fouetter vos troupes! Courage!

    • Les , +de 40 ans ne vont pas sur les réseaux sociaux. il faut faire en sorte qu’ils y soient . Là est la solution. Massé.. PLQ , anglos et Allos y sont tous . Les Francos s’avouent même dinosore en le domaine, même qu’ils ont encore de passer pour des twitts s’ils vont sur twitter.. Désolé, mais le problème est vraiment là. J’ai travaillé au bureau de M.Breton, et il n’y avait aucune action sur les réseaux sociaux, idem pour Duceppe. Le terrain était libre pour des mensonges planifiés. Massé 10,000,env. sur twitter et elle a gagné par 10,000 voies env.Le sa lissage par vidéo de QS, fera toujours la balance si on ne règle pas ce problème. C’est comme un but sans gardien.

    • Merci Nicole pour vos propos ! C’est exactement cela que je veux dire! Bravo !
      Legault a le tour de faire ces sorties rapides, percutantes et aimées par le monde ordinaire! Il vient justement d’en faire une et le résultat c’est qu’il est invité à toutes les radios ! On l’entend !

    • Vous avez raison. Aux dernières élections, François Legault a sauvé son parti à coups de phrases choc de dix mots et il faisait tous les bulletins de nouvelles avec ses énoncés de 12 secondes sans voir des communications tronquées pour les besoins des topos.

    • Ya t’il une opposition à Québec ?
      On dit que le taux de chômage est plutôt bas ces temps-ci, comme si le gouvernement actuel y était pour quelque chose. Etc, etc, pas un mot de l’opposition sur cette réalité ou pseudo.

      Je me souviens lors du gouvernement Marois, il y a avait eu aussi une période d’une baisse du taux de chômage et l’opposition officielle et presque tous les députés libéraux avaient, à forte voix, dénoncer l’inertie du gouvernement, en la matière, soit l’économie et clamait que la baisse du taux de chômage n’était pas dû aux actions du gouvernement Marois, par exemple.

      Qu’en est-il de l’opposition péquiste sur cette question ? Silence, silence ! Le discours économique est-il vraiment l’affaire des libéraux ? Je sais bien que non mais il y a trop de silence, d’absence dans ce parti. À chaque instant il devrait y avoir réparties et sur tous les sujets qui touchent les citoyens.

    • En effet, tout est dans ce texte. Mais nous, les jeunes surtout, sont à l’heure du tweet. Je préférerais des tweets aussi percutants que celui d’un faucon pèlerin fondant comme l’éclair sur un pigeon libéral, quitte à vous reprendre autant de fois que nécessaire si vous ratez la cible. On ne peut tout dire en un mot, mais il sera au moins lu.

    • De Québec, je réponds à Mme Millette que les 40 ans et plus sont très présents sur les réseaux sociaux. Je ne sais pas où vous allez chercher cela ! Avec tout mon respect, merci.

  42. Enfin Monsieur Lisée……voilà ce nous attendions de vous en tant que chef du Parti Québécois .
    maintenant il est temps de montrer le chemin a ceux qui versent dans le racisme par ignorance ,manque de balises et influence indue causer par un vide .
    que dire de l’autre coté du spectre ,ces gens qui défendent les mauvaises politiques multiculturalistes en méprisent ce même peuple qui est a l’origine des lois qui célèbrent les droits individuel .
    pire encore en tordant la vérité pour servir des intérêts qui vont contre les droits de la majorité historique et de sa survie en Amérique .
    il est temps de montrer la voie a suivre loin de l’exclusion ,mais en se tenant debout avec fierté .
    nous aurons certainement a nous défendre encore d’accusations vicieuses dans cette joutes partisane que mènent Couillard et la fange fédéraliste ,mais nous devons nous élever au dessus de leurs turpitudes pour défendre cette société au delà de tout intérêts mesquins et égoïste .

  43. Bon commentaire M.Lisée. Moi je vais toujours appuyer le PQ je le fais depuis que j’ai le droit de voter.

    Nous devrons surtout convaincre les 65% qui ne veulent pas que le PLQ soit réélu, qu’un vote pour la CAQ ou QS est un vote direct pour le PLQ.

    Le Parti Québécois doit marteler dans son discours qu’il est le seul parti qui veut bloquer le projet Énergie-est. Les Québécois détestent en majorité ce projet qui risque de polluer quelque 830 cours d’eau (ce sont les chiffres de Trans-Canada) et rapportera 0,00$ en redevances au Québec (encore les chiffres de Trans-Canada) çà doit être fiable. Surtout à ce sujet utiliser souvent la vidéo montrant le refus du PLQ et de la CAQ d’appuyer le motion que le PQ a proposée a l’assemblé nationale.

    Le PQ doit continuer de faire valoir qu’il est le seul à défendre le français et la laïcité dans l’état et l’éducation sans pour autant insulter ceux qui veulent pratiquer leur religion ou qui n’ont pas encore acquis un français fonctionnel.

    Notre parti doit convaincre ceux qui croient que le PLQ est le seul parti générateur d’économie que cette économie pronnée par le PLQ en est une qui n’obéit qu’aux dictas des manipulateurs de capitaux de la bourse de Toronto, des pétrolières d’Alberta et du conseil du patronat qui ne rêve que de faire travailler les gens au salaire minimounoum le plus bas possible. Il faut aussi que la classe moyenne sache que le modèle Québécois avec ses avantages sociaux pour les familles est encore ce qu’il y a de mieux pour elle.

    Nous devons aussi être extrêmement vigilants sur les méthodes qui seront employées lors de cette commission sur le racisme (choix des commissaires, choix des intervenants, types des interventions) et dénoncer vivement tous les abus au jour le jour, puis faire comprendre que personne n’est parfait et que le racisme individuel n’est pas l’apanage des seuls francos-Québecois et que toutes les communautés culturelles peuvent faire un examen de conscience sur le racisme de certains membres de leurs communautés respectives.

    • Excellent! Merci pour cette réponse ! Je suis d’accord avec vous !
      Je trouve le texte de M. Lisée pertinent et juste mais le monde ordinaire ou jeune pressé ne le liront pas car il est trop long ! Il faudrait aussi parallèlement à ces textes ( très importants aussi) des commentaires simples, coup de poing et qui rejoignent facilement et rapidement les gens !

    • J’abonde dans le même sens que LIse Balcer, les jeunes réagissent à des messages courts et concis, des vidéos intelligents et pertinents…. il faudrait absolument développer ce côté de la communication d’idées…

  44. Continuez M. Lisée! Vous êtes le seul qui pouvez rassembler suffisamment de votes pour réaliser l’indépendance. Toutefois je pense que vous devriez revoir les discours de M. René Lévesque qui argumentait avec beaucoup d’émotions, qui y mettait tout son cœur et qui par le fait même touchait encore lus les personnes du peuple Québécois. C’est par cette fibre que nous saurons rejoindre les gens qui ne demandent qu’à vibrer conjointement vers notre affirmation de soi! C’est maintenant ou jamais et je suis convaincu que vous partagez… Je suis de tout cœur avec vous. Mobilisez votre caucus! Parlez encore avec plus de force, avec votre âme et mobilisez vos troupes à en faire autant!

  45. Bravo, pour ce texte fort et qui cerne l’essentiel de l’action nécessaire que nous devons entreprendre afin d’affirmer notre présence dans le concert des nations!

  46. Je trouve cette lettre très inspirante. Elle couvre beaucoup de sujets importants. Je trouve tellement déplorable, le fait que le taux d’analphabétisme au Québec soit tel, que cette belle lettre ne soit pas à la portée de tout le monde qui devraient la comprendre…
    Une petite chose, cependant, me fait un peu tiquer. Il serait temps de dire « nous », la nation québécoise, sommes ceci, cela. « Nous », la nation québécoise ferons ceci ou cela. On sait, que c’est le Parti Québécois qui nous représente. Le PQ, ça doit être NOUS : pour rassembler, pour donner le sens de l’appartenance à tous les Québécois dans l’âme. Tous les Québécois, qu’ils soient de la Gaspésie, du Lac-St-Jean, de l’Outaouais, de la Rive-Sud, de la Côte-Nord, de Québec ou de Montréal. Il faut faire un « paquet » de nous pour qu’on se sente tous ensemble dans une même dynamique…Comme c’est là, on manque de solidarité, de cohésion. Il y a trop de chacun pour soi…trop de désintérêt à la politique…trop de grogne mal orientée. Merci de m’avoir lue.

  47. Monsieur Lisée, vous écrivez très bien sur votre site internet, toutefois vos messages et répliques adressés aux Québécois ne sont malheureusement pas diffusés aux nouvelles télé et radio. Les Québécois ne sont plus informés, ils sont plutôt désinformés par les médias de masse.

    • En effet, les grands médias comme Radio-Canada n’approfondissent plus les sujets de l’heure … ils se contentent de slogans populaires. Il faut dire que le directeur de l’information est le mari de Hélène David, ministre libérale du Québec !!!

  48. Donné le pouvoir aux peuple demander de tranché pour un Québec plus harmonieux. J’ai rien contre les bla bla bla avant élection, alors dites-en moins et faites-en plus après

    • De Québec, en tout respect M.Bourdages, il faut quand même présenter le programme et le bla bla avant les élections si on veut gagner ! Cela ne se fera pas avec de la pesée magique.

  49. Merci Monsieur Lisée
    Message sur ma page Facebook au sujet des taxes scolaires en Outaouais.
    80% d’augmentation en 5 ans pour demeurer de langue française! Ça fait cher la règle de grammaire pas apprise dans notre système. Le Québec va-t-il un jour mettre de l’ordre dans les questions linguistiques? On le voit par le dernier sondage. Le Québec est la plus bilingue de toutes les provinces. Son bilinguisme permet aux unilingues de langue anglaise de le demeurer.

  50. L’heure est aux décisions pas aux hésitations. Le français au Québec est en danger, encore une génération et nous sommes sur la pente de l’assimilation. Cela doit passer par la loi 101 au cegep. Tout étudiant(e) qui a fréquenté une institution francophone du secondaire doit poursuivre ses études dans un cegep francophone, cela est un minimum vital. Cela doit passer par une constitution du Québec dès le premier mandat: enchâsser dans cette constitution, la charte de la langue française, la charte des droits et libertés de la personne, ainsi qu’une loi identifiant les valeurs québécoises et sur la laïcité. La façon la plus significative de nous donner, enfin, une véritable identité nationale et ainsi marquer véritablement notre différence.

  51. Il y a un sentiment d’urgence, il faut redonner à la langue française toute sa noblesse, la conservation de notre culture est immensément importante. Le P.M.Cuillard devra faire preuve de leadership. Nous, nous sentons méprisés, manipulés autant par le fédéral que provincial. Comme vous dites, les dêfis seront nombreux (2017-18) l’éducation, la langue, santé, environnement, redonner aux régions un certain pouvoir êconomique, etc. Nous comptons sur le parti Québécois pour le rappeler à l’ordre et bien sûr la population Quėbécoise qui devra être vigilante et qui saura être assez fière pour réaliser qu’elle se fait manipuler. IL ne faut pas régresser, au contraire le Québec devra retrouver son dynamisme et s’épanouir à nouveau comme ce fut le cas avec le P.Q. VIvement un Québec indépendant capable de faire ses choix selon ses besoins et non les besoins d’un gouvernement centralisateur de plus le Quêbec avec son indépendance pourra être présent sur les scènes mondiales afin de signer ses propres ententes ėconomiques. Je dis toujours qu’il faut être fière du gouvernement qui nous représente et j’avoue que depuis presque 15 années ce n’est pas le cas. IL vous faudra intéresser le peuple Québêcois à son indėpendance, en parler de façon à sécuriser les gens qui ont encore cette peur qui paralyse le jugement. BRAVO! À cette équipe du P.Q. Talentueuse, dynamique, qui prêche l’éthique, et qui a du leadership. Merci! Pour votre bon travail.

  52. Bonjour M. Lisée,
    Je vous respecte beaucoup et j’ai hâte que vous voir premier ministre et ensuite président du Québec. Mais permettez-moi un commentaire qui me tourne en tête depuis des semaines. M. Lisée, il me semble que vous devriez commencer à produire des textes plus courts et ainsi plus conformes aux usages des médias sociaux. Je sais que vous pouvez argumenter longuement pour me dire le contraire. Mais, toutes les idées et projets du PQ pour un Québec souverain devraient être diffusés dans des formules plus courtes. Plus souvent et moins longs. Un peu pour tenir l’auditoire dans un suspense de ce que serait le prochain message. Tout dire en un texte qui se déroule à l’infini n’est pas une bonne idée. J’espère que celui-ci n’a pas été trop long et que vous l’aurez lu jusqu’au bout. Cordialement!

    • Je suis d’accord pour des textes plus courts et qui expliquent bien clairement en peu de mots Je crois que c’est un détail très important qui pèse dans la balance 🙂

  53. Il y a un sentiment d’urgence, il faut redonner à la langue française toute sa noblesse, la conservation de notre culture est immensément importante. Le P.M.Cuillard devra faire preuve de leadership. Nous, nous sentons méprisés, manipulés autant par le fédéral que provincial. Comme vous dites, les dêfis seront nombreux (2017-18) l’éducation, la langue, santé, environnement, redonner aux régions un certain pouvoir êconomique, etc. Nous comptons sur le parti Québécois pour le rappeler à l’ordre et bien sûr la population Quėbécoise qui devra être vigilante et qui saura être assez fière pour réaliser qu’elle se fait manipuler. IL ne faut pas régresser, au contraire le Québec devra retrouver son dynamisme et s’épanouir à nouveau comme ce fut le cas avec le P.Q. VIvement un Québec indépendant capable de faire ses choix selon ses besoins et non les besoins d’un gouvernement centralisateur de plus le Quêbec avec son indépendance pourra être présent sur les scènes mondiales afin de signer ses propres ententes ėconomiques. Je dis toujours qu’il faut être fière du gouvernement qui nous représente et j’avoue que depuis presque 15 années ce n’est pas le cas. IL vous faudra intéresser le peuple Québêcois à son indėpendance, en parler de façon à sécuriser les gens qui ont encore cette peur qui paralyse le jugement. BRAVO! À cette équipe du P.Q. Talentueuse, dynamique, qui prêche l’éthique, et qui a du leadership. Merci! Pour votre bon travail.

  54. De Québec, bonjour. Vous avez absolument raison M. Lisée que seule l’indépendance réglera un tas de problème. Je veux cependant faire une distinction entre Montréal et ses banlieues du reste de la province incluant Québec et la région de la Capitale Nationale. La majorité de la population vit à Montréal et le 450 autour. C’est de là que vient la majorité des problèmes. Je ne blâme personne, ça se passe aussi ailleurs en province. Mais vivant à Québec où je suis née c’est plus difficile de voir le déclin, la culpabilisation et le déni. Quoique pour le déni ça se voit comme le nez au milieu du visage. Je suis  » tannée  » d’entendre caquistes et libéraux s’accrocher au Canada comme si c’était vital. Ils ne voit donc pas que le fédéral rit et se moque bien du Québec ? Couillard et Legault préfèrent tendre l’autre joue !
    C’est à nous péquistes d’y voir et de convaincre les indécis(es) de se joindre à nous pour se tenir debout devant Ottawa pour dire assez, c’est assez. Il ne reste qu’à faire du Québec un pays fort de sa langue et de ses droits. Pour terminer nous sommes peut-être un peu raciste parfois mais au moins on essaye de se corriger ce qui n’est pas chose aisée. Nous n’avons pas besoin de commission ou autre pour perdre du temps là-dessus. Encore du gaspillage d’argent !

  55. Merci M. Lisée, votre vision du Québec est lucide et me donne espoir en l’avenir. Comme par le passé, je suis convaincu que les Québécois choisiront le parti québécois afin de pérenniser notre culture et notre langue. Merci pour votre implication politique.

  56. Monsieur Lisée j’estime que vous faites fausse route avec vos stratégie de copinage afin de défaire le PLQ. Vous devriez plutôt nous expliquez comment vous et le PQ feriez mieux pour le chômage (qui est au plus bas un reccord) et les enjeux économiques du Québec. C’est bien beau de dire nous serions mieux séparé mais comment, avec quoi et combien cela coûterais. Vous devriez écouter les Québécois qui en majorité ne veulent plus rien enttendre de référendum et de séparation.

    • Je crois que comme plusieurs , il faut commenter tous les propos de Mr.Couillard sur le champs ,quitte à en faire une liste à présenter avant les élections.Il faut être très terre à terre et arrêter de se faire passer des sapins .Il faut que les Québécois prennent conscience de ce que Mr. Couillard dit pendant son mandat, pas seulement les jours de campagne électoral. Les gouvernements libéral nous enfonce dans la dette pour nous enlever la chance de devenir un pays indépendant.
      Il faut se détaché de la Trudeau manie. J’ai connu le père qui en a fait baver aux Québécois ,le fils s’inspire des méthodes de son père
      et répète le même scénario ,

    • En réponse à votre question, rappelez-vous le message d’un fédéraliste libéral Robert Bourassa  » Le Canada anglais doit comprendre d’une façon très claire que, quoi qu’on dise et quoi qu’on fasse, le Québec est, aujourd’hui et pour toujours, une société distincte, libre et capable d’assumer son destin et son développement.»

    • De Québec, en tout respect M.Tessier, le but premier du P.Q. est de faire du Québec un pays. Cela se fera dans un 2e mandat et non dans le 1er. . Les péquistes, dont je fais partie avec fierté, s’en tireront très bien économiquement parlant. Merci.

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