L’image de 15 h 15 : Le nez du Vérif dans les garderies

Lu ce matin dans La Presse :

Le Vérificateur général du Québec doit « mettre son nez » dans le processus d’attribution des permis de garderie et de places subventionnées parce que « ça sent mauvais ». Ce n’est pas le Parti québécois qui le dit, cette fois, mais bien un donateur libéral, Ezio Carosielli, propriétaire de 10 garderies privées. Cet avocat dénonce même l’existence d’un «marché de revente secondaire» dans lequel un permis de garderie pourrait atteindre 250 000 $, voire un demi-million de dollars.

En exclusivité sur ce blogue, la photo de l’escouade spécialisée du Vérificateur général en mauvaises odeurs, en plein entrainement :

flair

 

 

 

 

 

 

 

Une équipe qui a du flair !