12 avis sur « Respect des frontières, dignité pour les migrants: notre position »

  1. «Monsieur Lisée laisse entendre qu’un Québec indépendant, contrôlant ses frontières, refoulerait les demandeurs d’asile. Par conséquent un Québec indépendant, sous un régime péquiste, ne respecterait pas les conventions internationales en ce qui a trait aux demandeurs d’asile qu’il considère, depuis aujourd’hui, comme des immigrants illégaux», a affirmé M. Couillard.

    «C’est de la malhonnêteté intellectuelle pure », dites-vous avec raison.

    Le PQ a l’énorme chance d’avoir un chef de votre stature intellectuelle, parce que Philippe Couillard pourrait sans aucun scrupule continuer de balader et enfumer les Québécois. Heureusement, vous êtes là, pour mettre ses mensonges au jour et les déconstruire.

    Philippe Couillard, qui est un psycho-rigide, ne reculera devant rien pour déformer vos propos et travestir la réalité. Or « le travestissement, la dénégation, le déni et l’annulation sont considérés précisément comme des mécanismes de défense de travestissement de la réalité. » L’actuel Premier Ministre se débat avec ses fantasmes de destruction du PQ, vu qu’il n’a et n’a jamais eu aucun autre projet politique que d’empêcher l’indépendance et pour cela enfoncer le Québec afin de l’affaiblir le plus possible.

    Votre tâche la plus ardue, pendant la période électorale qui s’en vient, sera de contester pied à pied les fantasmagories dangereuses de Couillard, et sa novlangue orwellienne, tel un titre du roman « 1984 » : « La guerre, c’est la paix/La liberté, c’est l’esclavage/L’ignorance, c’est la force ».

    Trudeau et Couillard sont indéniablement figés dans leur rigidité, sachant qu’une toute petite étincelle, une seule, pourrait embraser le Québec et mettre fin à leur construction idéologique d’un Canada idéal.

    Bien sûr le P. M. Couillard refusera toujours de vous affronter, car il sait qu’il ment et ne peut sortir gagnant d’un tel débat. C’est pourquoi il vous faut continuer de le provoquer et faire apparaître sa couardise et sa malhonnêteté.

    • De Québec, je suis en accord avec vous Mme Marie Y.L. . Votre analyse est parfaite !

  2. Bonjour Monsieur Lisée – Voici ce que j’ai mis sur votre Facebook hier soir. Ce matin, les commentaires sont disparus. Peut-être que je me trompe ?

    Bruno Deshaies La défense des frontières est une chose; la défense de l’indépendance politique une autre. Comme nous ne sommes pas indépendants, il faut concevoir un programme d’éducation à l’indépendance. Ce travail est sur le carreau. Vous n’y pensez même pas. N’imaginez pas l’IRAI venir à un tel programme. J’aimerais vous parlez, mais vous éviter de rencontrer ceux ou celles qui pourraient faire re-découvrir un PQ renouvelé sur la fin visée : l’indépendance politique du Québec. Alors, ouvrez les portes de votre comté pour rencontrer des indépendantistes.

    Bruno Deshaies Continuité de mon message qui a quitté trop vite. «…pour rencontrer des indépendantistes sincères et fervents.» J’ai laissé mes coordonnées dans votre comté (parler à Olivier ou à Alain Lupien). J’attends de voir si vous respectez les citoyens. Sortez… allez voir le monde. J’attends de voir le degré de votre ouverture aux indépendantistes. Consulter : «Le devoir d’histoire : pourquoi pas ?» http://www.vigile.net/Le-devoir-d-histoire-pourquoi-pas Aussi Le Rond-Point des sciences humaines http://www.rond-point.qc.ca

    XXXXXXXXX

    Pour comprendre la réaction des indépendantistes, je vous suggérerais de consulter le site de la Fondation Pierre Elliott Trudeau. Une fondation qui a reçu 125 millions du gouvernement Harper pour démarrer le site fédéraliste dédié à la canadianisation dans le libéralisme absolu et les vasleurs de la famille libérale canadian du Canada-Anglais (bilingue!).

    Le dialogue avec les indépendantistes est urgent. Il ne s’agit pas de se combattre mais de s’unir. Nous pourrions en parler si vous accepter qu’on se rencontre. Je vous le demande.

    Cordialement.

    Bruno Deshaies
    Tél.: (514) 351-1430

  3. Le congrès du PQ aura lieu bientôt. Suite à sa tenue, nous espérons que le PQ aura des politiques bien tranchées au regard de l’immigration, du français, du rejet du multiculturalisme, de l’indépendance.
    Il devra être très clair que le PQ veut un Québec francophone laique.Et des militants, surtout ses élus, qui rpônent ces politiques bien haut et fort. Pour le moment, les représentants du PQ sont un groupe de muets. C’est à se demander s’ils ne sont pas sourds aussi.

    • De Québec, M. Ricard , chaque chose en son temps. Personne n’est sourd et muet au P.Q. croyez-moi ! Merci.

  4. Pour moi, je vois les problèmes dénoncés par les immigrants eux-mêmes :

    1) L’Accès au logement;
    2) L’Accès à l’Emploi;
    3) La reconnaissance des diplômes

    Comme des demandes qui sont incluses dans le titre du ministère de madame Kaltleen Weil, à savoir : Ministère de l’Immigration, de la Diversité et de l’INCLUSION.

    Les 3 petits problèmes dénoncés par les immigrants ne sont pas exagérés et seuls ceux et celles qui détiennent le ou les pouvoirs peuvent répondre à ces demandes parfaitement sensées.

    Avec 12 ministre sur l’Île de Montréal, un Maire ex-ministre de l’Immigration à Ottawa et le premier ministre du Canada représenté dans un comté montréalais, ces dossiers devraient être très loin derrière nous, sinon, on les maintient afin de laisser croire aux immigrants, que ce sont les francophones qui sont fautifs, pas les libéraux.

    Montréal est une Ville libérale, et lorsqu’un médecin algérien arrive au Québec avec 20/25 ans de pratique dans son pays et que le Collège des médecins lui dit : Dommage, cher Docteur, vous ne pourrez même pas soigner les immigrants fort nombreux qui viennent de l’Algérie. Peut-il se sentit inclus, alors que les 3 hommes les plus important du gouvernement sont 3 médecins, le premier ministre, le ministre de la Santé et d=le Secrétaire du Conseil exécutif.

    Si vous ne pouvez pas respecter ces 3 petits problèmes dans la Ville libérale de Montréal, il y a de la paresse dans l’air ou une forme de racisme inconscient.

    J’invite les immigrants qui ne trouvent pas de logements salubres, ni d’Emploi, de quitter Montréal, mais avant de partir, vérifiez avec les municipalités du Québec, partout vous serez accueilli avec chaleur.

  5. Ces réfugiés qui sont déjà pour la très grande majorité déjà dans une situation d’illégalité aux États-Unis, n’ayant aucun statut et se trouvant sérieusement terrifiés sous l’actuel gouvernement républicain, se voient poussés à un exil forcé. Ils vivent dans un état d’insécurité permanent et sont prêt à tout pour tenter d’échapper à cette menace d’être renvoyé manu militari vers un pays d’origine où tous les dangers sont probants. Ils ne peuvent malheureusement que compter sur une brèche comme celle qu’il y a actuellement et qui est tacitement toléré par le gouvernement fédéral. Entrer par un poste frontalier pour des réfugiés qui ne possèdent aucun passeport américain s’avérerait une aventure fort périlleuse. Comme risquer d’être remis directement aux douaniers américains et ipso facto vers la déportation immédiate vers le pays d’origine. Ce qui serait une catastrophe non seulement pour ces migrants désespérés mais aussi pour tous ceux pour lesquels ils contribuent à la survie dans leur pays d’origine. Je crois que tout ce débat autour des brèches frontalières ne vaut pas le vrai débat qu’il faut mener contre la cruauté phénoménale de Trump et sur la servilité du gouvernement Trudeau à en ramasser les dommages collatéraux. Un Québec souverain est encore très loin d’exister et le gouvernement Couillard, servile envers le fédéral comme fiers provinciaux qu’ils sont, savent aussi fort bien qu’ils peuvent se faire là un capital politique important auprès des communautés culturelles. Le Parti Québécois gagnerait davantage à soutenir ces réfugiés illégaux, francophones pour une grande part et qui savent avoir mis les pieds sur une terre protectrice et bienveillante, le Québec. Pire est la frontière qui doit être absolument respecté.

  6. Une chance que nous vous avons pour clarifier le débat et apporter des solutions forts raisonnables…Nous sommes avec vous, ne lâchez pas!

  7. Bonsoir de Québec, M. Lisée. Moi non plus je n’en reviens pas de la manière que cela se fait. Et il en arrive tous les jours ! Vous avez bien raison de dire que ces gens devraient passer aux postes frontières et non cachés dans le bois ! On se doit de les accueillir mais il y a des règles à respecter; alors que ces gens les respectent. Pour ce qui est d’un éventuel débat avec M. Couillard, vous rêvez en couleurs. Il n’acceptera jamais, il a bien trop peur de la vérité.

    • Il faudrait surtout rappeler à M. Couillard que mes ancêtres, nos ancêtres, n’étaient pas cdes immigrants mais des colonisateurs , des fondateurs de pays.

    • De Québec, tout à fait d’accord avec vous M. Ricard, mais nous vivons au 21e. siècle pas au 17e. . Mais je vous comprends car j’avais un oncle généalogiste. Merci.

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