En direct: l’auto-destruction de Philippe Couillard

Franchement, on pensait que la journée de M. Couillard avait mal commencé avec la révélation-choc de son compte en banque dans un paradis fiscal.

Mais il aura accompli l’impossible: nous faire oublier le paradis fiscal en descendant dans l’enfer linguistique. En plus de nier qu’il y ait quelque problème que ce soit avec la langue à Montréal, il a affirmé avec une grande sincérité qu’il estimait que les employés d’usine, dans les chaînes de montage, doivent savoir l’anglais. Pourquoi ? Au cas où un acheteur anglophone voulait se faire expliquer un problème par un salarié.