À Voir: Le moment perdu de l’égalité raciale

Je savais qu’il y avait un trou dans ma culture historique américaine. Lincoln, oui, je connaissait. La guerre civile. La proclamation d’émancipation des noirs.

J’avais repris le fil avec Martin Luther King, Selma, les grandes lois réparatrices des années 1960.

Mais entre les deux ? Au tournant du 19e et 20e siècle je savais qu’il y avait le progressiste Théodore Roosevelt et l’invention de l’État moderne. Ensuite son neveu Franklin allait sortir le pays de la crise de 1929 et créer l’État providence.

Décodage: la face noire de Trudeau et la république québécoise du bon sens

Justin Trudeau, Redface, BlackfaceUne tuile politique qui s’abat sur un chef pendant une campagne électorale est comme un oignon. Au centre du légume, on trouve le problème réel. Puis viennent s’ajouter plusieurs couches de pelure qui, comme des parasites, donnent beaucoup plus de volume à l’oignon qu’il ne devrait en avoir.


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Lire: Éclairant/Épeurant voyage chez les Guerriers de la justice sociale

Les contraires s’attirent. Ou du moins ils m’attirent. D’où cet aveu:

C’est parce que j’ai lu et fait la recension du dernier livre de Mathieu Bock-Côté (L’Empire du politiquement correct) la semaine dernière que j’ai décidé de lire et de rendre compte du livre qui en est son exact opposé, et qui aurait pu s’appeler « Apologie du politiquement correct », par Judith Lussier.