À voir (ou pas): Deux navets, un bijou, un sourire

Vous me savez bon public. Lorsque je cherche un divertissement pur qui ne me fera ni pleurer, ni réfléchir, on peut généralement compter sur les super-productions américaines. Il y en a d’excellentes. Il y en a des passables. Mais compte tenu des équipes de scénaristes et de dialoguistes, des effets spéciaux maintenant complètement maîtrisés, de la qualité du montage puis des projections devant des groupes tests suivis souvent de modifications importantes, il est rare qu’on se retrouve devant quelque chose de complètement indigeste.

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J’ai failli. Après les deux premiers épisodes de la dernière saison, la déception était palpable.

Cette série remarquablement écrite sombrait, dans ces épisodes, dans les clichés et les longueurs. Où étaient la richesse du scénario, des dialogues ? Quelqu’un avait d’ailleurs fermé les lumières pendant tout un épisode et l’Amérique entière a joué sur son voyant « luminosité » pour essayer de distinguer quelque chose. Un désastre.