À la défense de Greta, héroïne tragique d’une cause perdue

Je suis renversé par la hargne que suscite la jeune Greta Thunberg chez un nombre impressionnant de commentateurs. Je ne parle pas que de Maxime Bernier, mais du philosophe Michel Onfray qui dénonce sa « parole belliqueuse », de l’écrivain Pascal Brukner, qui parle de « dangereuse propagande de l’infantilisme climatique », du philosophe Luc Ferry et de beaucoup d’autres. Ils l’accusent d’exagérer, d’annoncer d’apocalypse, de susciter de l’anxiété chez nos enfants.