Comment rater la réconciliation

« Aucune bonne action ne restera impunie. » Le fantôme d’Oscar Wilde devait se bidonner ferme, ces jours derniers, en observant la valse à contretemps entre leaders blancs et autochtones du Québec et du Canada.

Pas à cause du concours de gaffes qui s’est déployé le jour de la réconciliation : Trudeau-en-vacances, Legault-le-productiviste et Coderre-remettons-Macdonald-sur-piédestal. Concours suivi d’un second, avec les mêmes participants : celui de la contrition. Je vous laisse choisir le gagnant.

(Ce texte a d’abord été publié dans Le Devoir.)

Lire: Le ministre péquiste de la langue, celui de la démocratie, celui des autochtones

Cette semaine, mon opinion sur des ouvrages portant sur trois ministres clés de l’histoire péquiste, Camille Laurin et Robert Burns pour la période Lévesque, Guy Chevrette pour la période Parizeau-Bouchard.

Une recommandation ferme

9782764602614Je dois dire que je n’ai lu que l’an dernier l’excellent ouvrage consacré en 2003 au père de la loi 101, Camille Laurin, par Jean-Claude Picard.