Une équipe formidable

Ce lundi, c’est avec une énorme fierté que j’ai présenté mon équipe de campagne, une équipe qui reflète l’énergie, la vitalité et la diversité que je souhaite imprimer autant à ma campagne qu’au Parti Québécois.

Cette équipe est entre autres formée des personnes suivantes :

Geneviève Marsan, directrice de campagne;
(entrepreneure en communications, responsable des communications de Madame Pauline Marois à la course à la chefferie de 2005 et directrice des événements spéciaux lors de l’élection générale de 2007)

Neko Likongo et Jean Sébastien Marchand, directeurs-adjoints;
(Neko Likongo, conseiller en affaires internationales, candidat du Parti Québécois en 2014 dans la circonscription de Jean-Talon, ex-directeur de cabinet de la ministre déléguée aux Affaires autochtones; Jean-Sébastien Marchand, conseiller, Doctorant à l’École nationale d’administration publique et conseiller spécial pour plusieurs associations étudiantes de 2007 à 2013)

Robert Loiselle, conseiller à l’organisation;
(responsable national du Jour du vote pour le Comité du OUI lors du référendum de 1980, responsable de l’organisation locale et régionale pour la candidature de monsieur Jacques Parizeau à la direction du Parti Québécois, délégué du/de la candidat(e) auprès de la directrice du scrutin et responsable des affaires juridiques lors des cinq dernières campagnes électorales dans Rosemont)

Marc Gagnon, représentant financier;
(entrepreneur et gestionnaire, agent officiel des campagnes 2012 et 2014 dans Rosemont)

François Sauvé, conseiller à la communication stratégique;
(président et directeur de la création de RED l’agence, idéateur de la publicité de la campagne du OUI en 1995)

Valérie Gobeil et Marc-Étienne Dagesse, responsables des liens avec les jeunes;
(Valérie Gobeil, étudiante au baccalauréat en Économie et politiques à l’Université de Montréal; Marc-Étienne Dagesse, étudiant en Sciences politiques à l’UQAM et vice-président jeune à l’Exécutif de Montréal-Centre du Parti Québécois)

Jean-François Daoust et Erick Frappier, responsables web et médias sociaux;
(Jean-François Daoust, étudiant au doctorat en Sciences politiques à l’Université de Montréal; Érick Frappier, développeur et designer web)
Evelyne Abitbol, responsable des liens avec la diversité québécoise;
(consultante en communications et affaires publiques, candidate du Parti Québécois en 2014 dans Acadie)

France Laurendeau, responsable des liens avec les milieux syndicaux;
(formatrice syndicale)

Jean Régnier, responsable des liens avec les milieux culturels.
(comédien, auteur et chargé de cours à l’UQAM en Animation et recherche culturelles depuis 2003)

D’autres membres de l’équipe s’ajouteront sous peu.

Questions:

21 avis sur « Une équipe formidable »

  1. Amateur d’histoire et de science politique, je me suis toujours surpris, depuis Adolphe Thiers et l’instauration du suffrage universel, qu’une proportion importante de l’électorat économiquement fragile vote (à droite ou) pour des candidats qui incarnent des intérêts contraires aux leurs…
    C’est ce que j’appelle le syndrome du « de la cours d’école ». Les électeurs les plus vulnérables tendent à voter pour le candidat ou l’organisation qui semblent le plus fort et ce pour des raisons analogues à celles qui leur font appuyer le CH (avoir l’illusoire impression de faire partie des « gagnants »)..
    Au Québec, à mon grand dam, l’organisation politique qui semble la mieux rodée est le PLQ. Mais, à tort ou à raison, PKP, comme avant lui L. Bouchard, pourrait incarner le « tough de la cours de récré » pour faire contre poids au PLQ aux yeux de plusieurs… Je crains qu’il va me falloir « faire avec » pour arriver à renverser Couillard (le fossoyeur de l’État québécois) avant qu’il n’achève son œuvre de destruction.
    Si j’avais l’impression qu’une majorité de gens votait selon les même sensibilités que moi, je vous aurais appuyé.

  2. M. Lisee , vous vivez dans des rêves , jamais le Quebec ne sera indépendant.
    Il me semble que vous n’avez encore rien compris , malgré toutes vos défaites
    Continuez de rêver , c’est gratuit !.

    • Tous les grands projets ont d’abord été revé avant de devenir réalité…
      `

  3. Non ,madame Paradis, je ne suis pas de Québec Solidaire. Et quand j’écris à Thomas Mulcair et à Élizabeth May de former un seul parti, il leur est plus facile de m’accuser d’être de l’AUTRE parti que de tenter l’alliance. De même quand j’émets des opinions sur le Proche-Orient où on me taxe successivement d’être pro-israélien ou pro-Palestinien. Par ailleurs, je reconnais que ma suggestion de nommer Amir Khadir au ministère de la Santé ne s’appliquait pas en 2012, où le PQ pouvait compter sur le docteur Réjean Hébert, nommé à bon droit.

  4. Je me demande depuis un certain temps si le parti québécois est un parti séparatiste… serait-il un parti ignorant qui ne cherche pas à défendre notre cause? serait-il un parti infiltré par les fédéralistes? contrôlé, inféodé?
    J’en suis venu à cette conclusion parce que le parti:
    – ne réplique pas aux mensonges, par exemple, de Maxime Bernier portant sur la péréquation…
    – ses députés ne parlent jamais de séparation ou de souveraineté, n’écrivent jamais sur ses modalités de réussite… dans une réunion, mon député n’en aurait pas parlé si je n’avais apporté le sujet sur la table…
    – les péquistes élisent des riches dont le souci de souveraineté est loin de leur préoccupation..
    – se taisent sur la situation réelle du Québec enclavé par un pays voisin; je n’ai pas nommé les USA, mais le Canada!
    En effet, le Québec est déjà souverain et le parti québécois ne l’a jamais annoncé depuis plus de trente ans, même les personnes qui se présentent comme chef du parti…
    Mme Wynne, première ministre de l’Ontario a dit récemment:
    … « le fruit n’était pas mûr pour une reprise des pourparlers visant à réintégrer le Québec dans le giron constitutionnel dont il est exclu depuis 1982 ».
    Que faut-il de plus? J’en étais arrivé à cette conclusion depuis longtemps quand cet entrefilet m’a convaincu de la justesse de mon analyse. Je ne suis plus seul à le constater. M. Couillard prétendait signer la constitution, donc il accepte automatiquement l’idée que le Québec est hors Canada.
    Quand on n’a pas signé un contrat, on ne peut pas être soumis aux clauses de ce contrat. LE QUÉBEC EST SOUVERAIN!
    Les référendums? un mythe! S’il doit y avoir un prochain référendum, il devra être mis sur pied par les fédéralistes.
    Les francophones sont entrés dans la Confédération en 1867 par un vote des députés en assemblée. Les « Pères de la Confédération » ne sont pas responsables directement de cette aberration, ils n’ont été que des « penseurs » qui ont étalé des idées et des démarches pour arriver à un consensus.
    Le vote des 49 députés francophones a été de 27 pour contre 22 contre,
    i.e. que seulement 5 personnes ont fait pencher la balance. Dans les députés et dans les Pères, il y avait plusieurs activistes qui avaient des intérêts personnels dans la construction du transcontinental.
    LE QUÉBEC EST SOUVERAIN et ce qu’il reste à faire, c’est de rapatrier nos pouvoirs et nos impôts chez nous!
    Et vous M. Lisée, qu’en pensez-vous?

  5. Le PQ doit s se déclarer nettement pour l’indépendance.
    S’il est élu il doit procéder en deux temps.
    1:Tout d’abord, il doit poser des gestes biens concrets qui mèneront vers l’indépendance, qui démontreront au peuple que, non seulement, le PQ sait parler mais il sait aussi agir. Des exemples:
    -Lors de l’assermentation, ne prêter serment qu’au seul peuple et non à la reine
    -L’impôt sur le revenu, selon la constitution, appartient aux provinces. Décréter que tous les impôts seront prélevés par Québec
    -La loi 101 s’appliquera dans son intégrité. nonobstant les arrêts de la Cour Suprême
    -Le fleuve St-Laurent nous appartient. Exiger un droit de passage de tout navire l’empruntant
    Il y a plusieurs autres gestes que le Québec pourrait poser.
    2: Dans un premier mandat, avec la participation active de la population, le gouvernement du PQ élaborera une constitution républicaine qui établit une nette distinction entre les trois pouvoirs: législatif, exécutif et judiciaire.
    Cette constitution pourra alors être soumise à l’approbation de la population soit par un référendum ou soit par une élection référendaire.
    Si cette constitution républicaine est adoptée, la reine vient par le fait même de perdre ses sujets.

  6. Chaque membre de l’équipe vient donc d’exprimer les raisons de leur soutien au candidat Lisée. En tant que membre des « mille », je publie ici les miennes. Libre à vous de vous en inspirer lors de vos prochaines communications. (Que j’espère nombreuses!!!)

    En bref, les raisons de mon appui: Les idées qu’avancent Lisée sont non seulement rigoureuses et claires, elles sont aussi prolifiques. Il prend position sur tous les enjeux, n’a donc rien à cacher, ce qui témoigne de son intégrité viscérale, passionnée, qualité que toute la société québécoise s’est entendue pour rechercher en priorité chez ses politiciens. Nous avons ici un candidat intelligent, à la vision cohérente: il n’a pas besoin de consulter qui que ce soit ni quelconque sondage avant de se prononcer, et, toujours, ses promptes suggestions se démarquent par leur pertinence et leur étaiement, gage de faisabilité. L’addition – et non le compromis – du réalisme et de l’audace. Voici les qualités d’un chef en qui le Québec pourra placer sa confiance, s’autorisant alors une dignité renouvelée aujourd’hui plus que nécessaire.

    Bons débats à tous!

    Vincent Delorme

  7. Je vous appuie à 100%. Et si je demeurais à Montréal je travaillerais bénévolement à votre campagne afin que vous soyez le prochain chef du Parti Québécois. Il faut que ce parti revienne au premier rang et je suis certaine que vous êtes la bonne personne à relever ce défi.
    Esther Bissonnette

  8. LISÉE: L’OUVERTURE?
    Une opinion de Pierre Jasmin (prof à l’Uqam) 4 novembre
    Autour de moi, j’entends partout « jamais je ne voterai pour Lisée, ce prétentieux ». Ce commentaire qui ânonne un refrain populaire n’affecte nullement mon jugement car on trouve prétentieux au Québec quiconque s’exprime avec clarté et intelligence, dans un français impeccable. Dans le passé, des hommes politiques tels Jean-Noël Tremblay, Jean Lesage, Pierre Elliott Trudeau et Claude Ryan (non sans raisons par ailleurs), mais aussi Jacques-Yvan Morin, Clément Richard, Denis de Belleval et Jacques Parizeau ont subi le même verdict de la part d’ignorants. Lisée saura défendre le français, ayant signé avec le Tricheur un livre dont peu ont su reconnaître le style vraiment extraordinaire (ceci dit sans partager sa sévérité impertinente envers Robert Bourassa).
    Avec quel critère, Lisée retiendra-t-il son entourage souhaité de mille personnes? Ceux qui appuieront sa candidature ou ceux qui le veulent réellement pour chef? S’il suffit d’exprimer un appui à plusieurs de ses idées, je serais honoré d’être parmi les mille, au moins pour une heure (le temps que m’aura pris la rédaction de cet article). Car nul doute que le Québec serait autrement plus fort, aujourd’hui, si Pauline Marois avait pris en compte son opposition aux débordements racistes de la Charte et accepté ses propositions démocrates en septembre 2012 de nommer Jacques Duchesneau ministre de l’Intégrité et Françoise David ministre des Affaires Sociales (et pourquoi pas le docteur Amir Khadir comme ministre de la Santé?). C’était, de sa part, un vrai signe d’humilité, qui reconnaissait à 31% les appuis déclarés au PQ minoritaire, alors que nombre de ses collègues ont préféré s’illusionner et s’étourdir des richesses et limousines du pouvoir.
    Restent pas mal de questions : comme chef, fera-t-il en sorte que son parti cesse d’ostraciser le SPQ Libre et reconnaisse que l’identité québécoise passe par le pacifisme et non par une armée de Casques Bleus et Blancs (d’accord) au service (pas d’accord du tout) de l’OTAN armée de bombes nucléaires et du NORAD?!? L’identité québécoise d’avant-garde passe aussi par l’écologisme hérité de Pierre Dansereau et de Frédéric Back, avec une opposition aux projets pétroliers à Cacouna, Sorel-Tracy, Bécancour et Anticosti ainsi qu’aux mines d’uranium et à la centrale nucléaire Gentilly 2. Or, contrairement à Martine Ouellet, Sylvain Gaudreault, Daniel Breton, Scott Mackay, Q. S., O. N., le Bloc, le NPD et Stéphane Dion, on n’a jamais vu Lisée défendre la nature et ses bélugas. D’autre part, hier à RDI, il se glorifiait d’avoir conseillé Lucien Bouchard pour l’équité salariale! Se souvient-il que Françoise David a fondé Québec Solidaire à cause du camouflet des 10¢ accordés par un premier ministre pingre au salaire minimum des femmes, suite à la grande Marche du pain et des roses? Or, l’identité québécoise s’affirmera et s’affirme déjà grâce à des femmes comme Michèle Rouleau, Élaine Audet, Margie Gillis, Chloé Sainte-Marie, Ginette Noiseux, Karen Young, Louise Vandelac, Corinne Gendron, Lucie Sauvé, Luce Des Aulniers, Donna Mergler, Guylaine Maroist, Isabelle Miron, Anaïs Barbeau-Lavalette, Laure Waridel, Léa Clermont-Dion, Coral Egan, Louise Warren, Évelyne et Véronik de la Chenelière et j’en passe…

    • Votre jupon QS dépasse un peu trop : on reconnaît son détestable ton prêchi-prêcha. J’ajouterai en terminant que le Projet de loi 60, communément appelé la Charte, n’était pas raciste : seulement un peu trop rigoriste, ce qui aurait été corrigé lors du processus de discussion précédant son adoption.

  9. Après avoir entendu et vu la présentation de votre équipe de campagne et vous avoir vu et entendu répondre aux journalistes, je me suis convaincu d’embarquer avec vous et de vous soutenir. J’ai l’intention de poser un premier geste en mettant sur mon Facebook le lien de cette présentation de votre équipe. Un petit peu à la fois, ça va peut-être faire une différence.

  10. Félicitation M. Lisée

    Je vous appuie. Je pense même prendre une carte du PQ pour cela. question de pouvoir voter pour vous.

    Je vous appuie « tout simplement » parce que vous êtes capable d’écrire. Ca peut sembler bête, mais non, il faut avoir une certaine envergure intellectuelle pour écrire a ce point. Sans vouloir dénigrer les autres candidats, vous êtes peut-être le seul capable de réellement défendre l’indépendance face a vos adversaires, avec des arguments solides.

    j’en ai assez que les indépendantistes se fassent prendre pour des cons parce qu’ils ne sont pas capable de défendre leur option et que les arguments fédéralistes sont passés dans le discours populaires (on est pauvre, dépendants de la péréquation, du pétrole albertain, qu’on a pas les moyens, que c’est une idée de « pelleteux de nuages » etc.. )

    Il nous faut quelqu’un de solide, intelligent, cohérent et pédagogue. je pense et j’espère que c’est vous !

  11. M. Lisée, en quoi ce que vous nous proposez est-il si différent de la même politique de « niaisage » ou « tataouinage » depuis la défaite référendaire de 1995 ? Vous nous dites que si le contexte est bon, nous en profiterons pour demander aux québécois le mandat pour la souveraineté, sinon nous attendrons à une prochaine élection. Bref toujours la même politique de la « statégite « de la « sondagite ou des conditions gagnantes. Si vos stratégies ont pu avoir connu quelques succès dans le passé à l’époque où vous étiez conseiller de Parizeau et Bouchard, il me semble qu’aujourd’hui vous ne « Lisez » plus correctement. Nous vivons dans un contexte tout à fait différent. Les québécois en général et surtout les plus jeunes n’en peuvent plus de vous entendre dire « on verra ». Terminé ce temps là ! Je croyais que vous aviez déjà compris mais il est évident que ce n’est pas le cas. Peut-être espérez-vous recréer les mêmes conditions gagnantes à l’époque ou Bourassa aurait pu très bien déclencher un référendum et le gagner mais cette occasion ratée ne se représentera sûrement pas une deuxième fois.

    Le seul choix qui vous reste vraiment c’est de nous dire clairement qu’advenant que vous soyez élu au prochain scrutin , vous déclencherez dans les mois qui suivent un référendum demandant aux québécois s’ils veulent encore une province ou un pays. PAYS X PROVINCE X Si vous attendez que les sondages soient favorables à votre cause ou à savoir si les québécois veuillent ou pas un autre référendum , il est évident qu’ils diront toujours non peut-être même avec un pourcentage assez élevé. Vous pourrez toujours attendre au quatrième millénaire ! Vous qui êtes fin stratège , vos devriez savoir que les québécois n’aiment pas beaucoup le changement mais si on les force à faire un choix important, ils réfléchiront et analyseront beaucoup plus. Malgré tous les sondages défavorables qu’on voudra, je doute très fort que les québécois disent non une troisième fois. Rappelez-vous des sondages plusieurs mois avant la consultation de 1995, c’était loin d’être encourageant et pourtant nous sommes passés à un fil.

    Alors le seul prétendant à la chefferie qui s’engage pour la souveraineté si ce parti est élu au prochain scrutin mérite qu’on lui donne tout notre appui. Il n’y a pas d’autre alternative, car il prouvera par là qu’il délaisse totalement l’électoralisme ou le pouvoir , cette fameuse « bonne gouvernance » qu’on nous fait subir depuis 1995. Je suis certain que les québécois et surtout beaucoup les jeunes apprécieront l’assurance et la franchise de cet homme qui se montrera tout à fait désintéressé et qui essayera d’accomplir ce dont pourquoi ce parti existe…

    • Tellement irréaliste, monsieur Grégoire. Vous devez être de ON. Peu importe si 60- 65% de la population ne veulent rien savoir d’un référendum, on leur en lance un quand même et ils ne diront pas non. Ouf! Et seulement quelques mois après l’élection de surcroît! Re-ouf! On ne force pas les électeurs, ce sont eux qui décident. Et s’ils ont dit non dans un sondage, ils diront non lors du vote. Prendre ses rêves pour des réalités ne mène nulle part. Chose certaine, le ou la candidate qui promettra un référendum dans un premier mandat mènera le PQ directement dans l’Opposition, peut-être même la deuxième opposition. Toujours garder à l’esprit que le premier pas vers l’indépendance est d’accéder au pouvoir.

  12. Diversité? Quatre femmes sur treize, on est presqu’à un tiers non? … Après l’aventure péquiste de la charte des discriminations québécoises, j’aurais trouvé rassurant de voir plus de diversité ethnoculturelle, à l’image du Québec d’aujourd’hui et de demain. Ou «rebâtir les ponts» avec les confiances ébranlées vous paraît-il trop «mou»?

    L’un des buts est-il réellement de changer le parti de l’intérieur vers une renaissance plus intelligente [les dogmes du tout au marché -austérité et pollution- ont fait leur temps même à l’échelle des sommets internationaux], plus progressiste (l’ethnicisation des problèmes sociaux -incluant les problèmes d’identité- comme méthode de manipulation des «de souche» pour gagner des votes immédiats et pourrir la démocratie à long terme: bof.) et plus en phase avec la configuration sociale et environnementale actuelle (on atteint des points limite de bêtise (néo) libérale dans les deux cas)? Si ces objectifs sont pris au sérieux, alors dans ce cas, Bonne chance à vous et à votre équipe! Et bon courage! Sincèrement.

    Sinon, essayez juste de ne pas précipiter davantage le Québec dans un gouffre de de dépossession de ses richesses (naturelles et démocratiques) et de ne pas le plonger encore plus loin dans la bêtise idéologique libérale et anti-démocratique, et ça sera déjà beaucoup.

  13. J’ai lu un de vos livres où vous suggérez quantité de bonnes idées pour renouveler la gauche.
    J’ai hâte qu’elles soient réalisées par vous ou par quelqu’un d’autre au PQ.
    Bonne chance.

  14. J’appuie pour l’heure votre candidature et accepte de faire une heure ou deux de bénévolat tel que demandé hier à la tv. Suis-je au bon endroit pour m’inscrire: je n’ai pas d’adresse Facebook.

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