Voir: La politique américaine sur votre écran

Donald Trump, drapeau américainLa campagne présidentielle qui s’amorce va être fascinante. Sur ce blogue, je vais régulièrement attirer votre attention sur les éléments qui me semblent les plus importants.

Pour s’y préparer, voici ce que les écrans nous offrent en ce moment:

 

Comment le Texas conservateur a failli élire un sénateur démocrate

Beto O’Rourke est un de la vingtaine de candidats à l’investiture démocrate. Il est apparu sur l’écran radar national lors des élections de mi-mandat, en 2018. Il a failli devenir sénateur du Texas, un État qu’on croyait jusqu’alors solidement républicain. Il faisait campagne contre le sénateur et ex-candidat à l’investiture présidentielle Ted Cruz.

Le documentaire Running with Beto suit le candidat à la trace pendant plus d’un an. Rien de révolutionnaire dans ce document et on aurait aimé voir un peu mieux ce qui se passait du côté de Ted Cruz. Mais c’est bien mené et donne le ton de ce qui est en train de se passer aux États-Unis.

Sur HBO

La génération de femme démocrates

Alexandria Ocasio-Cortez est devenu en deux ans une des figures les plus connues,et les plus suivies, en Amérique. On la désigne désormais par ses initiales AOC ! Le documentaire qui lui est consacré sur NETFLIX porte sur la génération de nouvelles candidates spécifiquement recrutées en 2018 pour bousculer le parti démocrate de l’intérieur.

On suit Ocasio-Cortez de son emploi dans un restaurant jusqu’à son élection au Congrès. Elle n’est pas candidate à l’investiture démocrate cette année, mais sa voix compte.

Sur Netflix

Comment Trump a pris le contrôle de son parti

Versant Républicain, l’élément déterminant pour la campagne à venir est le contrôle total que détient désormais Donald Trump sur un parti. Un tour de force, puisque l’establishment du parti a tout fait pour l’empêcher de devenir leur candidat en 2016.

L’excellente émission Frontline, de PBS, fait le récit de son ‘Takeover’ du parti dans ce documentaire disponible en ligne.

En ligne ici


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Extrait:

E

 

3 avis sur « Voir: La politique américaine sur votre écran »

  1. pour ne pas placer le juridique, la santé publique et la religion au-dessus de tout, il devrait y avoir une charte de la neutralité démocratique.

  2. voici une liste des effets secondaires de la politique actuelle
    1. richissophobe
    2. asocial
    3. compétensophobe
    4. déséquilibrer
    5. anti coeur
    6. anti progrès
    7. anti émergence
    8. mentoraphobe
    9. anti ressources
    10. processusophobe

  3. Au début je n’aimais vraiment pas Donald Trump, plus j’ai lu sur lui, plus on rentre en profondeur plus ont se rend compte qu’il est un détestable personnage, qui ne s’excuse pas, qu’il est grossier, qui ne se soucie pas de blessé ou pas des gens, qui n’a rien a gagner de plus que ce qu’il a déjà (Normalement on dit rien a perdre, mais lui il n’a rien a gagner d’être Président des États-Unis, bien au contraire il a beaucoup a perdre) et tout ces défauts peuvent s’avéré être une arme redoutable voir même ultime pour le patriotisme Américain. Il est probablement la dernière chance des Américains, arrivé de nulle part, d’une capsule spatio temporelle, d’une autre planète peut-être mais cet homme était plus qu’attendu aux États-Unis.
    Les accusation de racisme ne tiennent sur rien, il a déjà eu une femme noire, il est super populaire chez les Afro-Américians, il a descendu le taux de chomage de la communauté noire d’une facon incroyable. Il renvoi immigrants illégaux pas parcequ’ils sont bruns ou noir ou jaune avec des pitons rouges, il les retourne car ils entrent illégalement et la première classe à être touché par les afflux d’immigration massive c’est les pauvres et malheureusement les communauté populaires afro américaines. Soit dit en passant Obama a déporté beaucoup plus de gens en un mandat que Trump mais les gens n’en parle pas…
    Les accusations de viol sont un classique dans l’histoire de la politique moderne pour faire tomber des hommes.
    Les accusations de mysogénie et de sexisme ne tiennent que sur des propos  »macho » d’une autre époque qu’il a fait justement à une autre époque. Il a donner des postes clé a des femmes, il est un bon représentant de l’école de pensé méritocratique. Oui il est un vieux macho et non un mysogyne, pas un violeur, pas un sexiste, ces mots sont utilisés a outrance malheureusement par des gens qui veulent le voir tomber.
    Trump = Guerre
    Rien de plus faux, il a été le premier et un des seuls a dire que la guerre en irak avais été un gros mensonge, il est un des président Américain les moins interventioniste de l’histoire, il veux un retrait des troupes Américaines.  »Let’s bring the boys back home » Il impose la supériorité économique Américaine pour négocier et met de coté les options militaires (les mêmes options tant utilisés par Obama qui a recu un prix nobel de la paix quelque mois avant d’envoyer des troupes en Syrie et en Libye)
    Bref je ne suis pas d’accord avec tout les facon de faire de President Trump, mais je doit admettre que seul ce type de personalité peux ammener les résultats spectaculaires qu’il a réussi a ammener et ce malgré une chasse aux sorcières interminable des démocrates avec leur histoire de colusion et tout leurs tentatives de le ridiculiser.
    Trump aimes surement autant les États-Unis que vous pouvez aimer le Québec Monsieur Jean-François Lisée et avec tout le respect que j’ai pour vous, je suis déçu de voir que vous préférez faire la promotion de Alexandra Occasio Cortez, une jeune femme de 28 ans qui à été barmaid, qui n’est pas née dans la pauvreté comme elle aime le dire, qui a beaucoup plus de cran et de courage que d’intelligence. Cette même femme qui prétends que les états-unis ont des camps de concentration à la frontière mexicaine, et qui prétends que  »America was never great anyway » en réponse au fameux slogan de Ronald Regan Make America Great Again.
    Je sais que les démocrates utilisent beaucoup d’idée similaires au PQ, Bernie Sanders s’en es d’ailleur inspiré, mais de démoniser constament un coté et de glorifier l’autre je commence à en avoir ma claque.

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