Coops: Une job steady pis un bon boss!

OnCoop_Co-opsWork_2009-01-e1327251225210C’est Yvon Deschamps qui résumait ainsi, dans les années 1970, le rêve de tout bon Québécois.

C’était avant qu’on s’habitue à ce qu’ils disparaissent, ces jobs steady, que les emplois quittent l’Amérique pour la Chine et l’Inde, avant que des génies de Wall Street inventent des produits acides qui font des trous dans les fonds de retraite et que des pays flirtent avec la faillite.

Concours d’élégance: Journal de Montréal 1 / La Presse 0

Quand on lance dans la mare un pavé, on s’attend à se faire éclabousser. Surtout par le crocodile qui le reçoit entre les deux yeux. C’est donc en parfaite connaissance de cause que j’attendais les contre-punches que me vaudrait la publication de Comment mettre la droite K.-O. en 15 arguments. Quelques textes assez raides, du domaine de l’opinion, ont été publiés. Normal. Mais je me donne le droit de répliquer quand on déforme les faits ou qu’on s’attaque à mon honnêteté intellectuelle. C’est ce qui s’est produit, à mon humble avis, dans des textes publiés par Alain Dubuc dans La Presse de vendredi et par Richard Martineau dans Le Journal de Montréal de samedi.

Economie sociale : le temps de l’ambition

En quoi l’économie sociale et solidaire est-elle un rempart contre la prochaine crise économique ? En quoi est-elle même un ingrédient essentiel dans la transformation du capitalisme ?

C’est ce que j’ai tenté d’expliquer, en juin dernier, devant l’assemblée générale de la Corporation de développement économique de Rosemont-La-Petite-Patrie. Ils l’ont mis en ligne. La voici, en deux parties:

Première partie de deux:

Deuxième partie de deux:

Pour des dividendes à visage humain !

images4-150x150Voici ma citation du jour (en fait, qui date de quelques jours).

Encore un bolchévique qui tonne contre le caractère injuste du capitalisme:

« Que des actionnaires gagnent de l’argent, tant mieux ! Que des entreprises gagnent de l’argent, tant mieux ! Mais je ne peux pas accepter que pour les entreprises du CAC 40 [les 40 plus grandes entreprises françaises], on ait pu distribuer plus de 80 milliards d’euros de dividendes pour les actionnaires et que, en même temps, on explique qu’il n’y a pas d’argent pour les salaires. »