Les manifestants d’Occupy Wall Street n’auront jamais pu faire autant, pour illustrer la goinfrerie des richissimes plutocrates américains, que le candidat républicain Mitt Romney.
Poussé à rendre public ses rapports d’impôts, il a fait ce mardi une démonstration d’une grande clarté: lui, le multimillionnaire, bénéficie d’un taux d’imposition inférieur à celui des américains ordinaires. Avec un taux de 13% sur les 20 millions qu’il a empoché pour chacune des deux dernières années, il est moins imposé que sa secrétaire.