Opération « Kill McGill ? »

C’est terrible. Le principal lobby anglo-québécois nous avait avisés, il y a 18 mois, de l’opération caquiste « d’éradication » de la communauté anglophone. Accélérant la cadence, le gouvernement vient de déployer, écrivent les éditorialistes de l’auguste Montreal Gazette, une stratégie « punitive, destructrice, politique et paroissiale, visant à démolir les institutions de la communauté anglophone ». Un des chroniqueurs du journal a surenchéri : c’est « Kill McGill ». De grands noms du commentariat torontois parlent de « vandalisme » et de « tyrannie ». S’inspirant d’un sketch de Monty Python, le plus imagé a présenté la CAQ comme « pétant dans la direction générale du Canada » ; il appelle Ottawa à une réaction fiscale punitive.

Un genre de déni (intégral)

C’est fou le nombre de gens qui ont tenu à nous rassurer, depuis une dizaine de jours, sur l’inexistence de quelque problème que ce soit dans l’enseignement de la théorie du genre à l’école. Dans Le Devoir, une universitaire écrit que “la théorie du genre ne nie pas l’existence des sexes biologiques. Ce serait ridicule, bien sûr, mais ce n’est pas vrai, et il est inadmissible qu’on laisse tenir ce genre de propos dans nos médias”. C’est clair ! Dans La Presse, un chroniqueur d’ordinaire plus circonspect accuse tous ceux qui soulèvent des doutes de “bêtise” et de “délire”. À Radio-Canada, une psychologue arrive à convaincre Patrice Roy que la question du changement de genre n’est jamais abordée au primaire. Circulez, il n’y a rien à voir !

Le sexe de nos anges (version maxi-intégrale)

Image distribuée aux enseignants par la CSQ.

L’éducation sexuelle a fait son retour en force dans nos écoles. Bravo.

Mais elle est accompagnée de la promotion désinhibée de la théorie du genre.


Dans un service de garde de Montréal, un jour de mars, une dizaine d’enfants de cinq ans, surtout des filles, accueillent une invitée spéciale. L’intervenante, sexologue d’une organisation spécialisée dans le domaine, vient leur parler de genre. Comment sait-on qu’on est une fille ou un garçon ? demande-t-elle d’emblée. Les parents sont invités. Une mère enregistre.

Toute la vérité, rien que la vérité, sur la paternité

Mon dernier, vu par Ygreck

En 2006, j’avais écrit pour L’actualité un texte sur les joies d’être père. J’avais alors deux enfants. Ils sont maintenant cinq. Lisez donc ce texte, que j’offre pour la fête des pères, et multipliez-le par deux et demi !


J’ai 1001 raisons d’avoir des enfants à partager avec vous.