Suggestion de lecture à Justin T.

Il y a quand même du progrès.

Récemment, Justin Trudeau prétendait que c’était un « mythe » de dire que le Québec n’avait pas signé la constitution de son père.

Ce mercredi, le nouveau chef libéral admet que cette signature n’a pas eu lieu. Bravo. Il prétend cependant que c’est la faute du gouvernement souverainiste québécois de l’époque.

Justin T: Monsieur 66%

Le grand intellectuel Justin Trudeau a bien voulu nous éclairer cette semaine, sur l’ampleur de sa réflexion démocratique. Devant des étudiants Montréalais, il a fixé la barre que devraient franchir les Québécois pour accéder à la souveraineté:

« Si on est pour changer la Constitution canadienne et l’état de notre pays de façon aussi profonde, on devrait au moins exiger le même seuil que celui qui est nécessaire pour changer la constitution du parti néo-démocrate, qui est des deux tiers. »

« Monsieur », les Anglos et moi

La version de Garnotte, du Devoir

Notre débat vu par Garnotte, du Devoir

Rien de ce que M. Jacques Parizeau ne pourra dire à mon sujet n’entamera l’énorme respect que j’ai pour l’homme et sa remarquable contribution à l’histoire du Québec. Je lui dois aussi d’avoir accepté de faire de moi son conseiller spécial (et non son bras droit, qui était Jean Royer) pendant qu’il était Premier ministre. Je lui en serai toujours reconnaissant.Nos relations ont connu des hauts et des bas, lui et moi, depuis la fin de notre lien d’emploi. Je préfère les hauts: c’est à lui que j’ai dédié mon ouvrage « Pour une gauche efficace », et il était présent au lancement, car j’ai tenté de m’imprégner de son progressisme pragmatique.

Notre Home: joies et périls du bilinguisme

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Votre blogueur croqué par Guy Perkins, de QMI

Jeudi soir à Westmount, j’ai eu trois questions — plutôt, trois fois la même — sur le bilinguisme, de la part d’Anglo-Québécois. Vendredi, sur les radio, j’ai eu plusieurs questions de francophones — plusieurs fois la même — sur le même sujet. J’ai donc traversé le miroir linguistique.

Ces questions sont intéressantes et il vaut la peine de s’y attarder.

Radio X, plus tatillons que l’OQLF