Depuis le référendum de 1995: les progrès du Québec

La campagne de promotion de l’indépendance #PaysQc se poursuit, encore cette semaine sur le thème de la prospérité d’un Québec souverain et des gains économiques accomplis depuis le référendum de 1995..

Je faisais état dans un billet précédent du document complet présenté par Marcel Leblanc, ancien sous-ministre adjoint des Finances, lors du dernier conseil national du Parti québécois, démontrant ces progrès.

Le PQ poursuit son résumé de l’étude en diapos. Les voici, pour consommation et diffusion:

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Je vous rappelle que cette campagne vise à faire la promotion de la souveraineté en illustrant et en comparant les forces du Québec et qu’une discussion se poursuit sur les réseaux sociaux avec le mot-clic #PaysQc.

Ce contenu a été publié dans #PaysQc par Jean-François Lisée. Mettez-le en favori avec son permalien.

À propos de Jean-François Lisée

Il avait 14 ans, dans sa ville natale de Thetford Mines, quand Jean-François Lisée est devenu membre du Parti québécois, puis qu’il est devenu – écoutez-bien – adjoint à l’attaché de presse de l’exécutif du PQ du comté de Frontenac ! Son père était entrepreneur et il possédait une voiture Buick. Le détail est important car cela lui a valu de conduire les conférenciers fédéralistes à Thetford et dans la région lors du référendum de 1980. S’il mettait la radio locale dans la voiture, ses passagers pouvaient entendre la mère de Jean-François faire des publicités pour « les femmes de Thetford Mines pour le Oui » ! Il y avait une bonne ambiance dans la famille. Thetford mines est aussi un haut lieu du syndicalisme et, à cause de l’amiante, des luttes pour la santé des travailleurs. Ce que Jean-François a pu constater lorsque, un été, sa tâche était de balayer de la poussière d’amiante dans l’usine. La passion de Jean-François pour l’indépendance du Québec et pour la justice sociale ont pris racine là, dans son adolescence thetfordoise. Elle s’est déployée ensuite dans son travail de journalisme, puis de conseiller de Jacques Parizeau et de Lucien Bouchard, de ministre de la métropole et dans ses écrits pour une gauche efficace et contre une droite qu’il veut mettre KO. Élu député de Rosemont en 2012, il s'est battu pour les dossiers de l’Est de Montréal en transport, en santé, en habitation. Dans son rôle de critique de l’opposition, il a donné une voix aux Québécois les plus vulnérables, aux handicapés, aux itinérants, il a défendu les fugueuses, les familles d’accueil, tout le réseau communautaire. Il fut chef du Parti Québécois de l'automne 2016 à l'automne 2018. Il est à nouveau citoyen engagé, favorable à l'indépendance, à l'écologie, au français, à l'égalité des chances et à la bonne humeur !

4 avis sur « Depuis le référendum de 1995: les progrès du Québec »

  1. On dirait qu’il y a cause à effet entre la scolarisation et les autres chiffres que vous nous montrez.

  2. Excellent exposé. Ce que je retiens de tout ceci, c’est que la gouvernance Charest a fait un très bon boulot. J’ai hâte de voir la gouvernance Marois pour les 10 prochaines années….

  3. Au contraire monsieur Simard, comme l’a très bien expliqué monsieur Lisée voilà 2 ans;

    L’accélérateur de la capacité de voter « oui » à la souveraineté se trouve du côté du sentiment auto-identitaire québécois. L’identité québécoise.

    Le frein à cette capacité de voter « oui », est la peur viscérale; caractérisée dans le présent sujet par la peur économique ( « tout va imploser ET exploser si le Québec fait l’erreur ULTIME de se séparer du magnifique Canada, joyaux suprême de l’humanité »).

    Le Canada s’affaire donc depuis toujours à casser le sentiment identitaire québécois ( « les nationalistes québécois..tous des racistes ») et
    donner la peur viscérale…par la peur économique: « le Québec n’est pas viable économiquement dû à »….1) 2) 3)… 175)…

    Conséquemment:

    1) Le sentiment identitaire doit donc être stabilisé et raffermi.
    2) La peur économique doit être visitée et détruite par la raison.

    Dont le présent billet.

  4. Ces statistiques peuvent autant signifier l’effet du résultat du référendum de 95. Je crois que ces statistiques sont parties à la baisse depuis que le parti Québécois est au pouvoir.D’un autre côté , il est absurde de croire que le québécois pensera a l’indépendance parce que ses finances vont mieux. Je comprends que vous cherchez des motivations a la cause, mais je ne crois pas que cette vision économique en soit une.

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