Deux entrevues de 2012

Pour ceux qui les ont manquées, voici deux entrevues données en 2012 qui résument bien ma pensée.

En français, aux Francs-Tireurs, avec Pat Lagacé:

http://www.youtube.com/watch?v=NWaspR90qIM&sns=em

En anglais, avec Jamie Orchard de Global

 

Ce contenu a été publié dans Lisée – TV par Jean-François Lisée. Mettez-le en favori avec son permalien.

À propos de Jean-François Lisée

Il avait 14 ans, dans sa ville natale de Thetford Mines, quand Jean-François Lisée est devenu membre du Parti québécois, puis qu’il est devenu – écoutez-bien – adjoint à l’attaché de presse de l’exécutif du PQ du comté de Frontenac ! Son père était entrepreneur et il possédait une voiture Buick. Le détail est important car cela lui a valu de conduire les conférenciers fédéralistes à Thetford et dans la région lors du référendum de 1980. S’il mettait la radio locale dans la voiture, ses passagers pouvaient entendre la mère de Jean-François faire des publicités pour « les femmes de Thetford Mines pour le Oui » ! Il y avait une bonne ambiance dans la famille. Thetford mines est aussi un haut lieu du syndicalisme et, à cause de l’amiante, des luttes pour la santé des travailleurs. Ce que Jean-François a pu constater lorsque, un été, sa tâche était de balayer de la poussière d’amiante dans l’usine. La passion de Jean-François pour l’indépendance du Québec et pour la justice sociale ont pris racine là, dans son adolescence thetfordoise. Elle s’est déployée ensuite dans son travail de journalisme, puis de conseiller de Jacques Parizeau et de Lucien Bouchard, de ministre de la métropole et dans ses écrits pour une gauche efficace et contre une droite qu’il veut mettre KO. Élu député de Rosemont en 2012, il s'est battu pour les dossiers de l’Est de Montréal en transport, en santé, en habitation. Dans son rôle de critique de l’opposition, il a donné une voix aux Québécois les plus vulnérables, aux handicapés, aux itinérants, il a défendu les fugueuses, les familles d’accueil, tout le réseau communautaire. Il fut chef du Parti Québécois de l'automne 2016 à l'automne 2018. Il est à nouveau citoyen engagé, favorable à l'indépendance, à l'écologie, au français, à l'égalité des chances et à la bonne humeur !

4 avis sur « Deux entrevues de 2012 »

  1. bonjour,

    M. Drainville veut déposer un projet de loi concernant les démissionnaire ou les transfuges.
    Moi, je dis que je vote pour un député d’un parti, il ne peut transfuger! car j’ai voté pour un parti et il est inadmissible qu’un député modifie cela. Je crois qu’on doit reconnaître la priorité du parti sur l’individu-député. S’il veut partir qu’il soit remplacer par un député qu’on pourrait appeler substitut dans sa circonscription.
    J’ai voté pour un parti pas pour un siège indépendant ou un autre parti politique selon la bonne volonté du député!!

    Ce député devient antidémocratique !

    pas pour

  2. Ce que je trouve impayable dans cette entrevue, c’est outre le fait qu’il porte quasi-exclusivement sur la langue, c’est que pendant que tout le monde au Québec s’inquiète du sort du français au Québec, lui le journaliste émérite (je parle bien sûr de l’interviewer) se tourmente sur l’avenir de l’anglais au Québec, à Montréal et dans nos institutions. Priceless. Déjà que JF Lisée ne peut s’empêcher de lui dire à un moment donné: ben décroche! …

  3. Voici encore un excellent portrait de vous pour remplacer celui de l’entête de votre blog.

  4. Bravo pour votre entrevue en Anglais monsieur Lisée. Je suis souverainiste dont la langue maternelle est le français et ma conjointe est d’une famille anglophone et je suis donc très sensibilisé aux craintes et aux statut des anglophones minoritaires au Québec. Tanné d’entendre les vieux arguments de haine et de peur non justifiée des deux côtés. J’essaie d’avoir ce genre discourt rassembleur et de compréhension mutuelle de nos réalités depuis des années et je croyais être le seul à ne pas voir de contradiction entre le discourt souverainiste et la préservation de la réalité culturelle anglophone au Québec. Il faudrait des gestes concrets pour la préservation de cette culture aussi hors Montréal. Je suis en Gaspésie et je dois vous dire qu’il y a plein de petits villages anglophones et des communautés qui craignent beaucoup pour leur avenir et avec raison. En tant que francophone amoureux de l’histoire du Québec je crois que ce serait une perte gigantesque de perdre ces communautés et leur patrimoine culturel, lingustique, bâti et musical. Merci de porter ce genre de discourt qui, selon moi, ne peut être bénéfique pour les citoyens Québécois peut importe leur langue maternelle français ou anglais.

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