En visite en Abitibi et à Trois-Rivières Jean-François Lisée continue de récolter des appuis

Rouyn-Noranda, 24 septembre 2016 – Jean-François Lisée en visite dans la région de l’Abitibi, notamment à Val d’Or et à Rouyn-Noranda, a rencontré de nombreux militantes et militants et récolté de nouveaux appuis, dont celui des deux anciens maires de ces villes.

« Jean-François Lisée est sans aucun doute le candidat le mieux préparé pour nous permettre de chasser les Libéraux aux prochaines élections générales et pour nous faire entrer dans une nouvelle démarche indépendantiste nous menant à une victoire » a expliqué André Pelletier, député du Parti Québécois dans la circonscription d’Abitibi-Est de 1994 à 2003 et ancien maire de Val d’Or de 1980 à 1992.

Jean-Claude Beauchemin, maire de Rouyn-Noranda de 2002 à 2005, a également fait connaître son appui au candidat Lisée. « Jean-François est le candidat le mieux préparé pour devenir chef du Parti Québécois et ensuite chef du gouvernement » a-t-il expliqué.

Précédemment en visite à Trois-Rivières

La jeudi 22 septembre, Jean-François Lisée avait visité pour une seconde fois dans cette campagne la région de la Mauricie-Centre-du-Québec pour y rencontrer des dizaines de militants et militantes venus le rencontrer.

Lors de cette soirée consacrée à s’entretenir avec ces militants, plusieurs ex députés et présidents des exécutifs de comté au Parti Québécois comme au Bloc Québécois ont fait connaître leur appui au candidat, notamment,

Guy André, député du Bloc Québécois dans Berthier-Maskinongé (2004-2011),

Roger Guertin, président de l’exécutif du Bloc Québécois dans Berthier-Maskinongé,

Jean-Paul Touchette, agent officiel d’Option Nationale de 2011 à 2013, candidat du Parti Québécois dans Nicolet-Yamaska en 1976, président régional du PQ dans Mauricie-Centre-du-Québec puis dans Centre-du-Québec dans les années 1990 et 2000. « Par mon parcours, ma fidélité va avant tout à la souveraineté du Québec plutôt qu’à un parti ou à un homme. C’est ma ligne de conduite. Dans les circonstances, c’est avec Jean-François Lisée qu’on a le plus de chances d’y arriver. C’est pourquoi je me joins à son équipe. Il ne faut pas perdre l’objectif final et c’est ce qui m’intéresse », a déclaré Jean-Paul Touchette.

André Beaudoin, candidat (2012 et 2014) du Parti Québécois dans Laviolette (non présent lors de la rencontre, car à l’extérieur du pays),

Plusieurs autres ex députés s’étant déjà prononcés en faveur de la candidature de Jean-François Lisée dès le début de la campagne étaient aussi présents à la rencontre.

 

Ce contenu a été publié dans Sur le Blogue par Jean-François Lisée. Mettez-le en favori avec son permalien.

À propos de Jean-François Lisée

Il avait 14 ans, dans sa ville natale de Thetford Mines, quand Jean-François Lisée est devenu membre du Parti québécois, puis qu’il est devenu – écoutez-bien – adjoint à l’attaché de presse de l’exécutif du PQ du comté de Frontenac ! Son père était entrepreneur et il possédait une voiture Buick. Le détail est important car cela lui a valu de conduire les conférenciers fédéralistes à Thetford et dans la région lors du référendum de 1980. S’il mettait la radio locale dans la voiture, ses passagers pouvaient entendre la mère de Jean-François faire des publicités pour « les femmes de Thetford Mines pour le Oui » ! Il y avait une bonne ambiance dans la famille. Thetford mines est aussi un haut lieu du syndicalisme et, à cause de l’amiante, des luttes pour la santé des travailleurs. Ce que Jean-François a pu constater lorsque, un été, sa tâche était de balayer de la poussière d’amiante dans l’usine. La passion de Jean-François pour l’indépendance du Québec et pour la justice sociale ont pris racine là, dans son adolescence thetfordoise. Elle s’est déployée ensuite dans son travail de journalisme, puis de conseiller de Jacques Parizeau et de Lucien Bouchard, de ministre de la métropole et dans ses écrits pour une gauche efficace et contre une droite qu’il veut mettre KO. Élu député de Rosemont en 2012, il s'est battu pour les dossiers de l’Est de Montréal en transport, en santé, en habitation. Dans son rôle de critique de l’opposition, il a donné une voix aux Québécois les plus vulnérables, aux handicapés, aux itinérants, il a défendu les fugueuses, les familles d’accueil, tout le réseau communautaire. Il fut chef du Parti Québécois de l'automne 2016 à l'automne 2018. Il est à nouveau citoyen engagé, favorable à l'indépendance, à l'écologie, au français, à l'égalité des chances et à la bonne humeur !