Faites faire vos messages par un avatar…

Vous souhaitez laisser un message sur une boîte téléphonique sans qu’on sache que cela vient de vous ? Si vous contournez le problème d’afficheur, il ne vous reste qu’à taper votre texte — court — dans le logiciel que vous trouverez ici, dans la langue de votre choix, et le tour est joué.

Vous pouvez choisir la voix — masculine ou féminine — l’accent — français, européen ou québécois — la tonalité — voix ferme, rapide ou sensuelle…

avatar

 

 

 

 

 

 

 

Vous trouverez enfin votre voix…

Le Centre de recherche linguistique de Xérox, à Grenoble, a développé cette technologie, en partenariat avec l’Istitut Stendhal.

Mais ce que je voudrais savoir de vous, chers internautes, est l’utilisation que vous feriez (ou n’oseriez pas faire) de cette technologie…

(Merci à l’alertinternaute, et parrain, Daniel C. pour ce signalement.)

Ce contenu a été publié dans La vidéo de 10h10 par Jean-François Lisée. Mettez-le en favori avec son permalien.

À propos de Jean-François Lisée

Il avait 14 ans, dans sa ville natale de Thetford Mines, quand Jean-François Lisée est devenu membre du Parti québécois, puis qu’il est devenu – écoutez-bien – adjoint à l’attaché de presse de l’exécutif du PQ du comté de Frontenac ! Son père était entrepreneur et il possédait une voiture Buick. Le détail est important car cela lui a valu de conduire les conférenciers fédéralistes à Thetford et dans la région lors du référendum de 1980. S’il mettait la radio locale dans la voiture, ses passagers pouvaient entendre la mère de Jean-François faire des publicités pour « les femmes de Thetford Mines pour le Oui » ! Il y avait une bonne ambiance dans la famille. Thetford mines est aussi un haut lieu du syndicalisme et, à cause de l’amiante, des luttes pour la santé des travailleurs. Ce que Jean-François a pu constater lorsque, un été, sa tâche était de balayer de la poussière d’amiante dans l’usine. La passion de Jean-François pour l’indépendance du Québec et pour la justice sociale ont pris racine là, dans son adolescence thetfordoise. Elle s’est déployée ensuite dans son travail de journalisme, puis de conseiller de Jacques Parizeau et de Lucien Bouchard, de ministre de la métropole et dans ses écrits pour une gauche efficace et contre une droite qu’il veut mettre KO. Élu député de Rosemont en 2012, il s'est battu pour les dossiers de l’Est de Montréal en transport, en santé, en habitation. Dans son rôle de critique de l’opposition, il a donné une voix aux Québécois les plus vulnérables, aux handicapés, aux itinérants, il a défendu les fugueuses, les familles d’accueil, tout le réseau communautaire. Il fut chef du Parti Québécois de l'automne 2016 à l'automne 2018. Il est à nouveau citoyen engagé, favorable à l'indépendance, à l'écologie, au français, à l'égalité des chances et à la bonne humeur !