Femmes en lumiĂšre! đŸ’«

Femmes en lumiĂšre!đŸ’«
 
En ce 8 mars, célébrons les femmes, ces réelles forces de changement qui nous inspirent et façonnent le monde, un geste à la fois.
 
Je souligne aujourd’hui le travail remarquable de deux #FemmesEnLumiĂšre qui amĂ©liorent concrĂštement la vie des gens dans Rosemont et dans tout MontrĂ©al. Chaque jour, elles redonnent dignitĂ© et estime de soi, et comblent des besoins essentiels que sont le travail et le logement:

Agnes Beaulieu

Directrice gĂ©nĂ©rale d’Insertech
Angus
DiplĂŽmĂ©e en sciences de l’éducation, Agnes Beaulieu possĂšde plus de 25 ans d’expĂ©rience en dĂ©veloppement Ă©conomique et social Ă  MontrĂ©al. De 1992 Ă  1998, elle a travaillĂ© Ă  la CDEC Rosemont—Petite-Patrie et Ă  la SociĂ©tĂ© de dĂ©veloppement Angus. En collaboration avec les partenaires du ComitĂ© de relance Angus, elle a crĂ©Ă© en 1998 Insertech Angus, qu’elle dirige depuis. Insertech est une entreprise d’insertion dans le rĂ©emploi Ă©cologique des appareils informatiques qui aide les jeunes Ă  raccrocher. Elle est active au sein de plusieurs regroupements en Ă©conomie sociale et en dĂ©veloppement durable, aide des jeunes Ă  raccrocher.

Édith Cyr
Directrice générale de Bùtir son quartier

Édith Cyr est reconnue pour ses 35 ans d’engagement exceptionnel dans les domaines de l’habitation communautaire, de l’Ă©conomie sociale, du dĂ©veloppement Ă©conomique et social des quartiers, notamment dans Rosemont. Elle travaille Ă  BĂątir son quartier depuis 1994. Cette incroyable organisation est une entreprise d’économie sociale qui coordonne la rĂ©alisation de projets d’habitation et d’immobilier communautaire afin de crĂ©er des milieux de vie solidaires pour les mĂ©nages Ă  faible et moyen revenu. Depuis le dĂ©but de ses interventions, en 1976, BĂątir son quartier a complĂ©tĂ© plus de 400 projets coopĂ©ratifs ou Ă  but non lucratif totalisant plus de 11 500 logements sur le territoire montrĂ©alais, en plus de nombreux projets de centres de la petite enfance, de centres communautaires et d’installations pour des entreprises d’économie sociale.

 

Chaque femme possÚde la capacité de faire de grandes avancées dans tous les domaines de la société.

À votre tour, maintenant de partager et d’identifier une femme qui vous inspire, que ce soit une femme que vous cĂŽtoyez, une femme que vous ne connaissez pas mais qui est un modĂšle, ou une femme que vous admirez en secret.

C’est le temps de le dire!

C’est parti! #FemmesEnLumiùre 

8 avis sur « Femmes en lumiĂšre! đŸ’« »

  1. Lorsqu’on entend un mĂ©decin dire Ă  un malade devant le poste de contrĂŽle mĂ©dical de l’HĂŽpital Le Gardeur:
    « J’ai fait 10 ans d’Ă©tudes pour devenir mĂ©decin, j’ai d’autres patients Ă  traiter tu ne viendras pas m’importuner davantage, apprend Ă  contrĂŽler ton diabĂšte…. » Ces paroles ont Ă©tĂ©. prononcĂ©es au dĂ©but de fĂ©vrier Ă  un patient contraint Ă  la dyalise et qui subissait Ă  la bouche une infection grave. Le mĂ©decin n’avait mĂȘme pas consultĂ© le dossier du patient et ne savait pas qu’il .Ă©tait suivi en dyalise depuis septembre 2017.
    Cette attitude, comparĂ©e Ă  celle de la docteur Boulay femme mĂ©decin qui supervise les traitements de mon fils en dit long sur l’amĂ©lioration et l’humanisation des services mĂ©dicaux depuis que les femme y exercent la profession.

    De matcho à écoute attentive sensibilité accrue.

    Florian Jutras Terrebonne

  2. Camille Robert pour son Prix du livre politique de la Fondation Jean-Charles-Bonenfant qu’elle a mĂ©ritĂ© pour son ouvrage Toutes les femmes sont d’abord mĂ©nagĂšres : Histoire d’un combat fĂ©ministe pour la reconnaissance du travail mĂ©nager, 2017.

    https://jeanneemard.wordpress.com/2017/12/18/toutes-les-femmes-sont-dabord-menageres/

    Pour plusieurs photos, Google, Camille Robert

    Elle m’a fait dĂ©couvrir Du travail et de l’amour : Les dessous de la production domestique de Louise Vandelac, Diane BĂ©lisle, Anne Gauthier et Yolande Pinard, 1985. C’est plein d’informations sur lesquelles fonder notre rĂ©gĂ©nĂ©ration. J’y ai trouvĂ© en prime ma vĂ©ritable identitĂ© : aide-mĂ©nagĂšre plus que pourvoyeur.

    Et je dirais comme Madeleine Boucher qu’il y en a tellement ! Alors, j’ajoute Martha C. Nussbaum. Elle a fĂ©minisĂ© l’approche des capabilitĂ©s de Amartya Sen, « sans doute la plus novatrice et la plus prometteuse des contribution de la philosophie politique Ă  la question de la justice sociale ».

  3. Rappelons nous en cĂ©lĂ©brant aujourd’hui les femmes que la profession mĂ©dicale s’est beaucoup fĂ©minisĂ©e ces derniĂšres annĂ©es. Elle s’est en consĂ©quence beaucoup humanisĂ©e et a pris heureusement en compte l’équilibre famille-travail : fini l’image du mĂ©decin travaillant 70 heures semaine avec « bonbonne » à la maison prenant soin des petits!

    Cette fĂ©minisation de la profession mĂ©dicale n’expliquerait-elle pas grandement la non augmentation de la productivitĂ© des mĂ©decins ces derniĂšres annĂ©es?

    QuĂ©bĂ©coises et quĂ©bĂ©cois, cessons de nous « blaster » les uns les autres pour les problĂšmes essentiellement de manque de ressources. Au contraire, nous devrions ĂȘtre FIERS de notre systĂšme de SantĂ© du QuĂ©bec, 2 FOIS PLUS PRODUCTIF que le systĂšme de SantĂ© amĂ©ricain et de SON PERSONNEL TRÈS MAJORITAIREMENT FÉMININ qui le fait fonctionner avec UN DES PLUS HAUT STANDARD DE QUALITÉ en AmĂ©rique.
    CHIFFRES À L’APPUIS
    Il s’est dĂ©pensĂ© en santĂ© publique et privĂ©e, 11400$ par personne aux États-Unis en 2015, soit le DOUBLE du QuĂ©bec oĂč ce chiffre atteint 5660$.

    Deux fois plus productif comparĂ© aux USA qui eux ont des rĂ©sultats franchement mĂ©diocres: -taux d’obĂ©sitĂ© 30% (15% pour le QuĂ©bec),-l’espĂ©rance de vie en santĂ© des amĂ©ricains est une des pires de l’OCDE tandis que nous avons la meilleure au Canada qui lui se classe parmi les premiers de l’OCDE, -62% des faillites personnelles aux États-Unis sont dues Ă  des factures de santĂ©, -PIRE, «  La crise des opiacĂ©s, qui, en 2017, a tuĂ© plus d’AmĂ©ricains de moins de 50 ans que les armes Ă  feu ou les accidents de voiture » sur-ordonnance d’antidouleurs pendant des annĂ©es, TRÈS LUCRATIVE, a rendu des dizaines de milliers de patients dĂ©pendants des opioĂŻdes » (Marc-Nicolas Kobrynsky de l’ActualitĂ©). On pourrait en rajouter beaucoup Ă  propos des contreperformances de ce systĂšme qu’Obama voulait rĂ©former… Mais revenons Ă  la « non croissance de la productivitĂ© de nos mĂ©decins majoritairement fĂ©minins » et des infirmiĂšres peut-ĂȘtre?
    LA CAUSE NE SERAIT-ELLE PAS QUE NOTRE PERSONNEL QUÉBÉCOIS DE LA SANTÉ EST AU BOUT DES EFFORTS DE PRODUCTIVITÉ DEMANDÉS DEPUIS DES ANNÉES ET QUE QUE LE MODE DE FINANCEMENT ACTUEL (fonds consolidĂ© de tous les programmes) qui croĂźt autour de 2% par annĂ©e, ne permet tout simplement pas de satisfaire des besoins qui eux croissent Ă  un rythme de plus de 4%, soit le double! Nous croyons que c’est pour cette raison que le systĂšme va « de crises en crises » comme le dĂ©plore M. Claude Castonguay. Nous vous reviendrons avec des propositions de solutions qui touchent, vous vous en doutez, le mode de financement…

    Nicole Janvier retraitĂ©e du secteur public quĂ©bĂ©cois. [email protected]

    • De QuĂ©bec : Avec tout mon respect, je ne suis pas d’accord avec vous. On ne doit pas se comparer, on doit faire mieux pour notre monde ici au QuĂ©bec !

    • De QuĂ©bec : Je m’excuse, je suis d’accord avec vous sur presque tous les points que vous apportez. Cependant on ne doit pas trop se comparer avec d’autres pays, on doit se comparer avec nous-mĂȘme afin de faire mieux et revoir tout le systĂšme de santĂ© qui est bien mal en point. C’est vrai que nous ne sommes plus en 1900 tranquille et qu’il faut s’adapter avec ce qui se passe en 2018.

  4. Félicitations à ces femmes dévouées qui travaillent pour donner une meilleure qualiitÚ de vie å ceux qui en ont grandement besoin je leur souhaite que le gouvernement voit leur travail et leur aide

  5. De QuĂ©bec : FĂ©licitations Ă  toutes ces femmes ! Mais il y en a tellement Ă  remercier dans le monde entier qu’on ne peut pas toutes les nommer. Je ne peut que dire merci et continuer vos bonnes actions !

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