Niqab – le test du spaghetti

La très dynamique journaliste Michelle Ouimet, de La Presse, a vécu 48 heures en niqab à Montréal et a raconté son expérience samedi dernier dans son texte La vie en noir. Elle a fait face à un des nombreux défis que comporte la vie en Niqab : manger.

«Comment fait-on pour manger avec un niqab?

– C’est tout un art, répond [une habituée, Afifa Naz] en riant. Il faut soulever légèrement le voile pour laisser passer la fourchette. Mais ça prend une certaine expérience, sinon on répand de la nourriture partout.»

Boire représente un autre défi. «Prenez une paille», me conseille Afifa.

Un internaute me signale ce vidéo qui circule sur la toile depuis un certain temps. Je n’ai pas réussi à décider s’il s’agissait d’une expérience réelle ou d’une reconstitution.

Merci de m’éclairer.

Ce contenu a été publié dans La vidéo de 10h10, Religion par Jean-François Lisée, et étiqueté avec . Mettez-le en favori avec son permalien.

À propos de Jean-François Lisée

Il avait 14 ans, dans sa ville natale de Thetford Mines, quand Jean-François Lisée est devenu membre du Parti québécois, puis qu’il est devenu – écoutez-bien – adjoint à l’attaché de presse de l’exécutif du PQ du comté de Frontenac ! Son père était entrepreneur et il possédait une voiture Buick. Le détail est important car cela lui a valu de conduire les conférenciers fédéralistes à Thetford et dans la région lors du référendum de 1980. S’il mettait la radio locale dans la voiture, ses passagers pouvaient entendre la mère de Jean-François faire des publicités pour « les femmes de Thetford Mines pour le Oui » ! Il y avait une bonne ambiance dans la famille. Thetford mines est aussi un haut lieu du syndicalisme et, à cause de l’amiante, des luttes pour la santé des travailleurs. Ce que Jean-François a pu constater lorsque, un été, sa tâche était de balayer de la poussière d’amiante dans l’usine. La passion de Jean-François pour l’indépendance du Québec et pour la justice sociale ont pris racine là, dans son adolescence thetfordoise. Elle s’est déployée ensuite dans son travail de journalisme, puis de conseiller de Jacques Parizeau et de Lucien Bouchard, de ministre de la métropole et dans ses écrits pour une gauche efficace et contre une droite qu’il veut mettre KO. Élu député de Rosemont en 2012, il s'est battu pour les dossiers de l’Est de Montréal en transport, en santé, en habitation. Dans son rôle de critique de l’opposition, il a donné une voix aux Québécois les plus vulnérables, aux handicapés, aux itinérants, il a défendu les fugueuses, les familles d’accueil, tout le réseau communautaire. Il fut chef du Parti Québécois de l'automne 2016 à l'automne 2018. Il est à nouveau citoyen engagé, favorable à l'indépendance, à l'écologie, au français, à l'égalité des chances et à la bonne humeur !