Le futur retour de Céline!

174805-celine-dion-rene-angelil-attendentChère Céline, cher René,

Nous nous connaissons à peine, mais puisque vous faites un peu partie de la famille de chaque Québécois, je m’autorise cette amicale missive.

Céline est donc de retour à Las Vegas, avec un nouveau spectacle inspiré de celui qu’elle a donné sur les Plaines d’Abraham, pour le 400e de Québec. Vous nous en voyez ravis, pour vous deux, pour tous les Québécois que vous employez dans cette entreprise, et évidemment pour la ville de Las Vegas, durement touchée par le ralentissement économique ces dernières années.

Mais comme nous savons, cher René, que vous planifiez toujours un ou deux coups d’avance, il m’a semblé pertinent de glisser une idée dans votre oreille. On le sait, Céline est un aimant pour un grand nombre de touristes américains. Ils vont à Vegas pour jouer, bien sûr, mais aussi pour l’entendre. Et pour voir, la veille ou le lendemain, un autre produit québécois: le Cirque du Soleil.

Lorsque ce retour de Céline sera terminé, pourquoi ne pas réfléchir à un autre retour : celui de Céline au Québec ? Pourquoi ne pas concevoir, pour les Américains qui l’adulent, des « Céline Montreal Week-ends » et des « Céline Quebec-city week-ends ».

On proposerait, évidemment, un spectacle de notre plus grande ambassadrice. Les touristes américains, la veille ou le lendemain, pourraient goûter un spectacle de cet autre produit québécois qu’est le Cirque du soleil. À Montréal, on les entrainerait au Casino, puisqu’ils aiment le jeu. À Québec, il y a tout le reste. (On parle même d’y construire un amphithéâtre multifonctionnel.)

Il s’agirait de forfaits clé en main. Air Transat s’y connaît. On pourrait songer à une saison à Montréal, une saison à Québec. Et à quelques week-ends prévus pour les cousins français.

Loin de moi l’idée de vouloir vous embrigader ou vous forcer la main. Mais je sens que Céline ne peut, à répétition, faire des retours à Vegas sans que cela ne perde un peu de son lustre. Faire venir Vegas au Québec, par contre, serait tout un défi. Et je sais que vous les aimez.

Bien cordialement,

Un célinophile

Jean-François