Le premier ministre du Québec a les deux mains sur le volant. C’est indéniable. Cependant son goût du risque s’approche du zéro absolu. La rencontre économique qu’il vient de réunir a évité de poser les questions qui dérangent ou d’apporter des réponses qui étonnent. A force d’avoir peur de l’échec et de la controverse, on ne récolte que des banalités.
Bref, Jean Charest ce n’est plus « les bretelles et la ceinture », mais « les bretelles, la ceinture, la ceinture et la ceinture ».
Source: carioca.ro