L’image de 15h15: Solution travail/famille

La compagnie Medela, qui vend des pompes, a trouvé la solution idéale pour la conciliation travail/famille.

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Aucun trucage !

La dame est clairement habillée pour le bureau, dans un environnement de travail. Elle a l’ordinateur devant elle (une autre photo de cette série la montre tapant à l’ordi.) Cependant, j’ai eu beau chercher dans le catalogue, on ne la voit pas ainsi harnachée dans une réunion de Conseil d’administration.

À mon avis, si Charlie Chaplin revenait aujourd’hui pour tourner Les temps modernes, il incluerait une séquence inspirée de cette image.

L’alertinternaute Atim Léon suggère, sur le même thème:

Une exagération ? Oui, mais à peine : moins de 5% des femmes américaines ont droit à un congé de maternité rémunéré. Et seules les salariés américaines travaillant dans des grandes entreprises ont la garantie de retrouver leur emploi à leur retour de congé non-rémunéré. Obama a promis de remédier à cette situation moyenâgeuse.

Ce contenu a été publié dans Femmes et féminisme, La vidéo de 10h10 par Jean-François Lisée. Mettez-le en favori avec son permalien.

À propos de Jean-François Lisée

Il avait 14 ans, dans sa ville natale de Thetford Mines, quand Jean-François Lisée est devenu membre du Parti québécois, puis qu’il est devenu – écoutez-bien – adjoint à l’attaché de presse de l’exécutif du PQ du comté de Frontenac ! Son père était entrepreneur et il possédait une voiture Buick. Le détail est important car cela lui a valu de conduire les conférenciers fédéralistes à Thetford et dans la région lors du référendum de 1980. S’il mettait la radio locale dans la voiture, ses passagers pouvaient entendre la mère de Jean-François faire des publicités pour « les femmes de Thetford Mines pour le Oui » ! Il y avait une bonne ambiance dans la famille. Thetford mines est aussi un haut lieu du syndicalisme et, à cause de l’amiante, des luttes pour la santé des travailleurs. Ce que Jean-François a pu constater lorsque, un été, sa tâche était de balayer de la poussière d’amiante dans l’usine. La passion de Jean-François pour l’indépendance du Québec et pour la justice sociale ont pris racine là, dans son adolescence thetfordoise. Elle s’est déployée ensuite dans son travail de journalisme, puis de conseiller de Jacques Parizeau et de Lucien Bouchard, de ministre de la métropole et dans ses écrits pour une gauche efficace et contre une droite qu’il veut mettre KO. Élu député de Rosemont en 2012, il s'est battu pour les dossiers de l’Est de Montréal en transport, en santé, en habitation. Dans son rôle de critique de l’opposition, il a donné une voix aux Québécois les plus vulnérables, aux handicapés, aux itinérants, il a défendu les fugueuses, les familles d’accueil, tout le réseau communautaire. Il fut chef du Parti Québécois de l'automne 2016 à l'automne 2018. Il est à nouveau citoyen engagé, favorable à l'indépendance, à l'écologie, au français, à l'égalité des chances et à la bonne humeur !