L’indépendance : Pour un pays branché, vert et prospère

Cette semaine, la campagne #PaysQc se poursuit dans la thématique de la prospérité et nous vous présentons un Québec fort de ses ambitions d’électrification, de recherche et de développement.

Je vous rappelle que cette campagne vise à faire la promotion de la souveraineté en illustrant et en comparant les forces du Québec et qu’une discussion se poursuit sur les réseaux sociaux avec le mot-clic #PaysQc.

11 avis sur « L’indépendance : Pour un pays branché, vert et prospère »

  1. Bonjour,
    Juste un petit rappel pour Pauline :

    Je veux que le Québec devienne mon pays mais pas à n’importe quel prix.
    Je veux que le PQ soit majoritaire aux prochaines élections mais je ne voterai pas pour vous si vous embarquez avec Enbridge ,pour le fameux pipeline et/ou l’exploitation et l’exploration sur l’Île d’Anticosti et/ou en Gaspésie(Gaspé) et/ou le gaz de schiste ! C’est assez clair !
    Si on embarque la-dedans, c’est sûr et certain qu’il y aura un désastre(regardez les statistiques et surtout ce qu’on nous cache…) ! Déjà la planète(enfin, nous, les
    êtres humains) est en grand danger, on est à l’heure du nettoyage et de l’innovation, à mettre en branle de nouvelles technologies non-polluantes et ça presse !
    Bravo encore pour avoir fermer notre centrale nucléaire et pour les véhicules électriques ! C’est ça qui faut faire, poursuivre sans relâche dans cette ligne-là.
    Ils(les riches, les investisseurs) vont faire de l’argent pareil !
    J’espère, Pauline, que ce message se rendra jusqu’à toi et sans censure, avant les élections.
    Merci.

  2. À mon avis, ce qui a nui à notre indépendance fut longtemps le fait de ne pas savoir qu’elle prix et sacrifices faudrait payés pour ce faire. Mais maintenant grâce à vos blogues que vous nous envoyez ainsi que vos exemples et comparaisons nous font mieux comprendre nos forces et possibilité. J’ai confiance aussi à notre jeunesse je les trouve tellement éveillés et brillants. Merci Monsieur Lisée je continu à me tenir au courant grâce à vous et votre transparence. ( Fière d’être grand-maman )

  3. Je pense qu’il faut aussi redire encore et encore que le Québec d’aujourd’hui a été construit par les gens du Québec, les Québécois-es et les nombreux nouveaux arrivants s’étant intégrés à elles-eux puisque les banques anglaises refusaient de prêter aux Canadiens-français, incitant alors Alphonse Desjardins à créer la coopérative des Caisses Desjardins afin de soutenir le développement et l’économie de chez-nous, puisque René Lévesque et Jacques Parizeau munis d’un plan d’affaire sans faille, se sont fait dire ‘NO’ par les banques anglaises concernant la nationalisation de l’électricité au Québec, cela après un publiciste favorable et pire, cela après de nombreux prêts consentis à l’Ontario plusieurs décennies antérieures concernant la nationalisation de l’électricité dans cette autre province.

    Le Québec d’aujourd’hui ne doit rien au ROC qui n’a eu de cesse de dénigrer, exploiter et défavoriser le Québec afin d’annihiler tout espoir en nous maintenant dans les difficultés. Pensons entre autres à la voie maritime des Grands-Lacs ayant vidée Montréal de ses industries lourdes et ayant créé un chômage chronique étendu parmi le prolétariat, une voie navigable ayant servi à contourner le Québec aux grands avantages de l’Ontario, une voie navigable ayant été payé pour 25% de ses coûts par le Québec sans oublier les 55 années consécutives de déficit d’exploitation défrayée encore par le Québec, cela constituant une subvention annuelle fait par le Québec au profit de l’Ontario.

    Ce sont les Québécois qui ont défriché et développé les terres, coupé le bois en forêt, travaillé à la production dans les mines et dans les usines, conduit les trains, bateaux, avions et camions, construit les routes, les ponts, les écoles, les maisons et toutes les autres structures et bâtiments et c’est une grande part de la population qui a remis aux ‘Cadna-dian Banks’ les intérêts des hypothèques servant à payer à prix d’or « des p’tites maisons pour vivre ».

    Le Québec d’aujourd’hui est prospère grâce en particulier à René Lévesque par la nationalisation de l’électricité et le développement des ressources hydrauliques du nord québécois, grâce à Paul Gérin-Lajoie et à l’élaboration du système d’éducation permettant aux enfants d’après 2ème grande guerre de s’instruire et ainsi d’établir les assises de l’Élite de gestionnaires du Québec Inc actuel.

    Et on voudrait nous faire payer encore pour un pont dont la plus grande partie des coûts correspond à passer par-dessus la voie maritime des Grands-Lacs ? Et on voudrait nous faire payer pour des jets militaires à prix d’or servant à protéger les investissements dans l’exploitation des sables bitumineux ?

    Le ROC n’a pas aidé le Québec, c’est sûr et certain, là !

    Le Québec n’a vraiment rien à foutre de le Cadna-da, une Nation étrangère aux intérêts divergents imposant défavorablement son pouvoir sur nous, le Peuple Québécois.

    À la Souveraineté et à la Prospérité « la tête haute », le plus tôt possible !

  4. L’électricité et la matière grise nous propulseront, avec le monde, dans le vingt-et- unième siècle. C’est vrai! Évitons de contribuer à la progression du désastre écologique qui sévit dans l’Ouest. Limitons les risques de catastrophes au minimum, ne laissons pas du pétrole lourd et abrasif circuler sous pression, dans de vieux tuyaux usés à l’os. Ne laissons pas des pipelines traverser le Saint-Laurent, c’est insensé! « Nous ne défendons pas la nature, nous sommes la nature qui se défend. »

  5. C’est bien beau une politique d’électrification des transport,mais je ne vois rien pour la conversion des véhicules existant.Au lieu de donner $8000 de subvention pour acheter une voiture construite à l’étranger,pourquoi ne pas subventionner la transformation d’une voiture déjà sur la route.La subvention pourrait varier d’après la consommation d’essence ainsi évité.

  6. N’oublions pas qu’il nous faut rejoindre un majorité large de toutes tendances indépendantistes pour réaliser le pays du Québec. Ne perdons pas de temps avec les fédéralistes qui refusent obstinement de perdre leur « vache à lait » québécoise malgré leurs prétentions sur la péréquation dont on ne nous retourne que des miettes. Sinon, pourquoi s’obstineraient-ils tant à larguer cette « province récalcitrante » et aux valeurs si différentes des leurs tant par la langue, les lois, la culture et l’économie ??? Le Québec respirerait beaucup mieux sans le Caca-nada et le Canada également, croyez-moi. La LIBERTÉ de chaque nation est un gage de prospérité et de paix.
    « El respeto del derecho ajeno es la paz » (Genaro Estrada, diplomate mexicain) / Le respect du droit étranger, c’est la paix  »
    Le joyeux retraité de Mazatlán.

  7. J’abonde dans le même sens que les deux commentaires précédents. Oui, le Parti québécois ne s’adressent hélas qu’aux péquistes. Il faut faire la promotion de l’indépendance, en faire la pédagogie. Et c’est d’autant plus urgent après le règne des libéraux et le silence de beaucoup d’indépendantistes à la suite du référendum de 1995. Et de grâce, « lâchez moi » avec les pipelines et les sables bitumineux. Optons plutôt pour la décroissance… enfin, avoir la volonté politique d’aller dans cette direction. Soyons avant-gardistes.

  8. La santé économique et sociale du Québec et la prospérité viendra en donnant une meilleure instruction à nos enfants, en rehaussant et élargissant le niveau de compétence de nos travailleurs, et en investissant davantage dans la recherche et le développement. Nous seront alors plus productifs, et augmenterons notre PIB/Hab. C’est là la clef de notre survie.

    Il faudra asssi mettre un frein à une immigration incontrôlée et effrénée. Notre bonnasserie dans ce domaine commence à nous jouer de vilains tours, la moitié des immigrants s’intégrant plutôt à la minorité anglophone, et un grand nombre d’autres voulant continuer à vivre comme dans leur pays d’origine.

    Des études de démographes au Canada, aux États-Unis, et dans plusieurs pays européens montrent sans l’ombre d’un doute que l’immigration n’a qu’un impact marginal sur la structure par âge de la population de la société d’accueil. En outre, on a depuis longtemps constaté que les difficultés d’intégration économique des immigrants compromettent sérieusement la possibilité que l’immigration ait une incidence favorable sur les finances publiques.

    Malgré cela, le gouvernement prévoit garder le cap et accueillir plus ou moins 50 000 immigrants par année au Québec. Cherchez l’erreur. Qui profite de cette politique ?

    ( Voir à ce sujet le livre-choc « Le Remède imaginaire, Pourquoi l’immigration ne sauvera pas le Québec », par Benoît Dubreuil et Guillaume Marois, Boréal, 2011)

    Pour un Québec plus fort et plus riche, il faut augmenter notre productivité, augmenter la recherche et bien instruire nos enfants.

  9. Je répète ce que M. Julien Bédard vient d’écrire. Il faut démontrer avec clarté tous les avantages à ce que le Québec devienne un pays…

  10. Je voudrais bien le croire. Wow! Mais n’y a-t-il pas incohérence totale entre cela et l’importation du pétrole sale de l’ouest? On ne peut faire l’indépendance sans la droite, je veux bien l’admettre. Mais de quelle droite parlons-nous alors? Les oligarques du pétrole albertain sont dépassés! Ils vivent sur une autre planète. Je ne vais certainement pas faire l’apologie de la droite, moi qui suis adepte de la décroissance, sauce anar’. La gauche, on peut la faire dans la rue, pas besoin de QS et de son « angélisme individualiste ». Mais voilà, pour se décoloniser, faut être de toutes tendances confondues (on se chicanera une fois libres). Bon, c’est quand même pas une raison pour piocher dans la droite la plus véreuse… La droite a mieux à proposer. C’est moi qui vient de dire ça?

  11. Pourquoi ne pas utiliser TOUTES les opportunités pour dénoncer le fait que le Québec ne soit pas encore libre de décider pour lui-même à l’Assemblée nationale, dans les conférences de presse, etc? Afin que ce message puisse avoir une portée médiatique. Pour l’instant, ce que vous faites s’adressent à ceux qui suivent des députés péquistes sur les réseaux sociaux. Il faut arrêter de se parler à nous-mêmes et s’ouvrir aux autres. Vous le savez bien, vous êtes le ministre responsable des relations avec les anglophones…

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