Montréal, 2 octobre 2016 – Entouré de plusieurs membres du mouvement souverainiste venus témoigner publiquement leur appui à sa candidature, Jean-François Lisée, député de Rosemont et candidat à la direction du Parti Québécois a présenté, en compagnie de la députée de Hochelaga-Maisonneuve, Carole Poirier, ses engagements en habitation, francisation, éducation, économie, transport collectif et en santé pour la Métropole, sans oublier le Stade olympique.
« Deux constats s’imposent. D’abord, la Métropole québécoise est sortie de l’une de ses plus grandes crises politiques, notamment grâce à l’action vigoureuse du gouvernement Marois pour assainir les contrats publics, appuyer l’UPAC dans ses enquêtes et ses arrestations, réformer le financement électoral municipal, puis accompagner Montréal et Laval dans des temps difficiles, maintenant révolus. Le second constat est que la relance de la Métropole est freinée par de mauvaises décisions du gouvernement Couillard, dont l’incurie en matière d’éducation, d’habitation, de santé et d’économie ont des conséquences néfastes sur la Métropole, notamment sur l’Est de l’île. La relance de Montréal sera une priorité si je deviens chef du Parti Québécois », a déclaré Jean-François Lisée.
En habitation, Jean-François Lisée propose d’accélérer les programmes de rénovation et de construction de logements sociaux, les libéraux les ayant réduits de moitié (de 1150 à 550). Un gouvernement Lisée augmenterait les nouvelles unités de 1 500 par année sur cinq ans, lancerait un programme de rénovation écologique permanent et ferait en sorte que les propriétaires délinquants sur le plan de la salubrité et de la perte d’énergie ne puissent augmenter les loyers tant que la situation ne sera pas rétablie.
Il mettrait en œuvre les recommandations du rapport Montréal=Familles, visant à retenir les familles sur l’île de Montréal en assurant une offre plus abondante et plus abordable de logements familiaux sur l’île.
En francisation, le Fonds de développement et de reconnaissance des compétences de la main-d’oeuvre, dédié à l’aide à la francisation, est passé de 8,5 millions de dollars en 2013-2014 à 4 millions de dollars pour 2015-2016 et 2016-2017. Un gouvernement Lisée rétablirait ce fonds et étendrait graduellement la loi 101 aux entreprises de 25 à 50 employés de même qu’aux entreprises sous juridiction fédérale très nombreuses dans la métropole.
En éducation, un gouvernement Lisée doterait les écoles des milieux défavorisés de plus de moyens que les autres pour assurer la réussite de leurs élèves, en assurant à chaque enfant en difficulté d’une place en CPE et en accélérant les investissements en infrastructures pour renouveler le parc des écoles aujourd’hui vétustes de Montréal.
En économie, un gouvernement Lisée redonnerait du financement et des outils pour le développement local et social, développerait une stratégie de rétention des sièges sociaux, soulagerait les PME du poids de la réglementation nationale et municipale. Il créerait un cadre réglementaire allégé pour les cinq premières années des nouvelles entreprises, rétablirait la Politique nationale de recherche et d’innovation essentielle pour l’essor des universités et pôles industriels de pointe au Québec. Il généraliserait dans les grappes industrielles le programme aérospatial MACH qui rehausse graduellement la qualité des produits des fournisseurs pour leur ouvrir les portes des marchés étrangers, entre autres choses.
En transport collectif, un gouvernement Lisée augmenterait l’offre de transport collectif et accélérerait la conversion des flottes institutionnelles à l’électricité, favoriserait vigoureusement le covoiturage et l’auto-partage dans l’objectif de rendre superflu pour une plus grande proportion de Montréalais l’achat d’une voiture, et pour une plus grande part de résidents de Montréal et de la couronne le maintien d’une seconde voiture.
En matière de santé, un gouvernement Lisée rétablirait les sommes coupées à la Santé publique et entamera un virage important et rapide vers davantage de prévention et de promotion des saines habitudes de vie. La priorité sera remise sur la dispensation de soins à domicile, véritable clé de la réduction des coûts de logement en CHSLD et des hospitalisations, et gage de qualité de vie pour des dizaines de milliers d’aînés. Il réaliserait la modernisation de l’Hôpital Maisonneuve-Rosemont, un projet essentiel pour les 670 000 citoyens desservis par cet établissement construit dans les années 1950.
Le Stade olympique. Un gouvernement Lisée autoriserait le lancement d’appels d’offres pour la construction d’un toit fixe, viserait l’autofinancement de l’investissement grâce à une utilisation plus intensive du stade ainsi recouvert et refuserait d’appuyer toute construction d’un nouveau stade de baseball à Montréal tant que le stade olympique n’aura pas atteint un niveau d’autofinancement suffisant pour que cette hypothèse puisse être envisagée.
« Faire de Montréal et ses quartiers un endroit où chacun a sa place, où le vivre ensemble nous permet de partager entre voisins, et réussir cette mixité économique et sociale pour nos familles, nos artistes et tous ceux et celles qui souhaitent y développer leurs projets d’affaires », a déclaré la députée de Hochelaga-Maisonneuve, Carole Poirier, au sujet des engagements de Jean-François Lisée pour la Métropole.
« Au-delà du fait que j’ai été ministre de la Métropole sous le gouvernement de Pauline Marois, ce qui semble encore plus important, c’est que je vis à Montréal. J’y habite depuis plus de 30 ans, y ai fait mes études universitaires, et y ai travaillé. Si je suis élu chef du Parti Québécois, et ensuite chef du gouvernement, ce sera la première fois, en plus de 20 ans, qu’un premier ministre du Québec sera député d’une circonscription montréalaise. Cela mérite d’être souligné », a poursuivi Jean-François Lisée.
Appuis de membres influents de divers milieux Montréalais et du mouvement souverainiste
Monsieur Lisée était accompagné de plusieurs membres influents de divers milieux Montréalais et du mouvement souverainiste venus témoigner publiquement de leur appui « Nous sommes convaincus que le plan proposé par Jean-François pour chasser les Libéraux et réaliser l’indépendance est le projet le plus susceptible de ramener le Parti Québécois sur le chemin des victoires » ont déclaré plusieurs d’entre eux :
Personnalités montréalaises de divers horizons (certains d’entre eux n’étaient pas présents mais ont accepté que leur appui soit communiqué publiquement) :
Evelyne Abitbol, ex candidate du Parti Québécois dans Acadie
Rachid Bandou, ex candidat du Parti Québécois dans Saint-Laurent, chimiste
Éric Bédard, historien et auteur
Djemila Benhabib, ex-candidate du Parti Québécois dans Trois-Rivières, écrivaine et essayiste;
Paul Beneteau, conseiller membre de l’exécutif dans Verdun
Laurent Blanchard, ex maire par intérim de Montréal
Robert Comeau, écrivain et auteur
Jennifer Drouin, membre de l’exécutif de Mercier, professeure agrégée de littérature anglaise
Jérémie Dunn, représentant jeune de l’exécutif du PQ dans Lafontaine
Pierre Graveline, écrivain et auteur
Ruben Dario Jimenez, coordinateur de l’entreprise d’insertion sociale Service d’entretien Pro-Prêt, membre du conseil d’administration de la chambre de commerce dominicaine de Montréal et fondateur de deux institutions à but non lucratif à Montréal, dont Unidos por nuestro país
Richard Langlais, ex candidat du Parti Québécois dans Verdun et conseiller membre de l’exécutif
Carmen Sabag Vaillancourt, ex présidente du comité des relations ethnoculturelles du Parti Québécois et ex conseillère à l’exécutif national du Parti ; nommée Patriote de l’année par la Société Saint- Jean- Baptiste « J’appuie Jean-François Lisée car il a montré à travers ses positions une compréhension des choses et des gens, en particulier ceux et celles venus d’ailleurs. Il nous a montré tout au long de son parcours qu’il possède tous les attributs pour devenir notre chef et le prochain premier ministre du Québec. Je vous convie donc à voter pour Jean-François Lisée, et vous laisse sur une citation d’un grand homme d’état, Salvador Allende, qui un jour a dit : » L`histoire nous appartient, et ce sont les peuples qui la font ». Alors faisons-là. » a déclaré madame Sabag Vaillancourt.
Président(e )s d’exécutifs de circonscription montréalaises :
Mireille Arvisais présidente de l’exécutif de la circonscription de Rosemont
Élaine Bissonnette, présidente de l’exécutif dans Bourassa-Sauvé
Martin-Guy Cormier, président de l’exécutif dans Mont-Royal
André Daoust, président de l’exécutif dans D’Arcy-McGee
Allain Mathieu, président de l’exécutif dans Saint-Henri-Sainte-Anne
Daniel-Jean Primeau, vice-président de l’exécutif dans Sainte-Marie-Saint-Jacques
Marie-Louise Séguin, présidente de l’exécutif de Soulanges.