Je suis au regret de vous informer, chers lecteurs, qu’il faut commencer à vous préparer intellectuellement, et émotivement, à la réelle possibilité que nos voisins du Sud élisent Donald Trump le 5 novembre prochain. Il y a un scénario où il pourrait gagner en trichant. Si le calcul d’une majorité de grands électeurs repose sur la Géorgie, ses sbires se sont organisés pour pouvoir refuser de certifier l’élection dans cet État, et donc forcer le Congrès à constater qu’il n’y a pas de gagnant. Dans ce cas, la Constitution a prévu un plan B : le président est élu à la majorité des États représentés à la Chambre des représentants, ce qui donnera la victoire à Trump — même si la majorité des sièges est occupée par des démocrates. C’est que l’on compte par État, pas par siège.
Je tiens à ce que vous intégriez aussi la possibilité, réelle, que Trump gagne sans tricher. Qu’il obtienne suffisamment de votes dans les États pivots pour être déclaré vainqueur le soir même de l’élection. J’ai jugé que vous auriez besoin d’un préavis raisonnable. C’est dans 38 jours.
On ne peut évidemment pas tout prévoir, mais les engagements pris par le candidat Trump pourraient avoir des conséquences importantes et immédiates, donc avant même qu’il soit assermenté, en janvier prochain.
Un grand afflux de demandeurs d’asile. Trump s’est engagé à répétition à procéder au « plus grand programme d’expulsion de l’histoire du pays ». Il parle surtout des immigrants illégaux. Officiellement, on en comptabilise environ 12 millions, installés cumulativement depuis des décennies. Ils ont pour la plupart des emplois et des enfants.
Combien veut-il en expulser ? Il parle de « centaines de milliers » et vise aussi des immigrés qui sont légalement accueillis aux États-Unis selon une procédure d’urgence, ce qui touche près d’un demi-million d’Haïtiens, notamment les 15 000 de Springfield, en Ohio, que Trump promet d’expulser en priorité. (Incertain sur leur provenance exacte, il a menacé de les envoyer au Venezuela.)
La mise en oeuvre de ce programme prendra beaucoup de temps et sera contestée devant les tribunaux. Mais on peut s’attendre à ce que des dizaines de milliers de ces migrants n’attendent pas sagement la rafle des agents de l’immigration et fassent leurs valises dès après l’élection de Trump. Leur destination la plus logique est évidemment le Canada et, pour les quelque 500 000 Haïtiens, le Québec.
La chute de la valeur du dollar canadien. Puisque Trump a promis d’imposer un tarif douanier de 20 % à la totalité des importations, y compris canadiennes, les marchés n’attendront pas l’adoption de la mesure avant de réagir. Ils appellent ça « escompter ». Donc « il est clair qu’au départ, la valeur du dollar canadien, m’a confié l’économiste Pierre Fortin en utilisant un terme un peu technique, prendrait une méchante débarque ». Les marchés escompteraient que cette surtaxe sur nos exportations va nuire à la totalité de notre économie, donc à la valeur de notre dollar.
Cette chute de la devise aurait plusieurs effets. Si la chute était de 20 %, elle rétablirait la compétitivité de nos produits, taxés de 20 %. Cependant, toutes nos importations de produits américains nous coûteraient 20 % plus cher, ce qui relancerait significativement l’inflation chez nous. Notre banque centrale voudrait resserrer le crédit, et on pourrait dire adieu à la baisse des taux d’intérêt hypothécaires. Les touristes américains pourront venir nous visiter à prix d’aubaine, mais nos Snowbirds devront se serrer la ceinture.
Évidemment, la classe d’affaires américaine est opposée à cette proposition de tarifs, qui provoquerait une guerre commerciale. Il est hasardeux de tabler sur un changement de position de Trump. Il continue de penser que les tarifs sont payés par les producteurs étrangers, ce qui est faux, plutôt que par les consommateurs américains, ce qui est vrai.


Une camisole de force fiscale. Notre capacité d’adopter un taux d’imposition raisonnable à nos entreprises (et à nos millionnaires) est tributaire des taux imposés par notre voisin du Sud. Lorsqu’on combine l’impôt fédéral et celui des États — et des provinces —, le taux global actuel sur les profits des entreprises chez eux et chez nous est équivalent. Mais Trump s’est engagé à réduire de 21 à 15 % son taux fédéral. Ce qui obligera Ottawa et les provinces à faire de même. Et à se priver de revenus.
À quelque chose malheur est bon. Des politiques de Trump nous feront aussi faire de jolies économies.
Moins d’argent pour Northvolt. Les sommes promises par Ottawa et Québec à Northvolt et aux autres producteurs de batteries sont directement — et contractuellement — liées à la générosité dont a fait preuve le gouvernement Biden. Trump a juré de mettre un terme à tout le programme d’aide américain aux énergies vertes. Ce sera une aubaine pour nos finances.
Moins d’argent pour l’Ukraine. Depuis l’invasion russe en Ukraine, le Canada a déboursé, ou s’est engagé à débourser, 4,5 milliards de dollars. Puisque Trump jure de « régler le conflit en 24 heures » et avant même d’être intronisé président, Ottawa pourra fermer le robinet. On pense évidemment que Trump proposera que Poutine garde le territoire ukrainien qu’il a déjà conquis. Le président ukrainien Zelensky aura beau protester, l’arrêt du soutien militaire américain, indispensable à la poursuite de la guerre, l’obligera à hisser le drapeau blanc. Les Européens ne pouvant compenser le retrait de l’aide américaine, chacun pourra respirer, en attendant de savoir quel pays Poutine envahira ensuite. (Je parie sur les pays baltes.)
Moins d’argent pour l’environnement. Puisque Trump se retirera (encore !) de l’Accord de Paris, et annulera la quasi-totalité des budgets environnementaux américains, cela aura un effet d’entraînement sur d’autres États pollueurs. Un futur premier ministre Poilievre se verra totalement justifié d’en faire aussi peu que Trump, au nom de la compétitivité canadienne. Bon, la planète se réchauffera plus rapidement encore, mais on commence à s’y habituer, non ?
(Ce texte a d’abord été publié dans Le Devoir.)
« Kamala Harris a commis des erreurs ? Dites-moi quelque chose que je ne sais pas. Mais entre une candidate imparfaite qui souhaite réduire la pauvreté et protéger les droits des femmes et un Narcisse autoritaire qui rêve de faire copain-copain avec les dictateurs d’une planète en feu, mon choix est fait. Vous me direz, c’était écrit dans le ciel. »
« Narcisse » ?
« planète en feu » ?
Très fine analyse, à nouveau, c’week-end, ayant trait au r’avènement Trump, e.g. en faisant remarquer que 3% de différence entre, n’est-ce quand même pas énorme, pour qqn à l’endroit de qui la plupart du monde, eh oui, la plupart du monde eût souhaité qu’il reçoive son 4%. Définitif.
Néanmoins, moi, est-ce avec votre toute dernière phrase, en conclusion, que ne suis-je pas d’accord. Car…, croyez-le ou non, en étais-je venu, aux derniers jours, à la souhaiter cette victoire de… Trump, pour… défaite d’Harris.
« Planète en feu » ? Bien, justement. Justement, pour cela : pour éteindre le feu.
À cet égard, comme l’ai-je argué ici, il y a un mois, Trump fera mieux.* Incommensurablement.
Et ce n‘est pas rien. Car, comme l’arguai-je alors et comme l’argué-je encore, c’est CELA L’Enjeu de l’heure, sur Terre, en ce moment. Ce qu’il se passe à Gaza. Et qu’«on» n’a pas l’coeur d’arrêter. ‘Est au pouvoir, l’Harris, là? Bien, elle n’l’arrête pas ni n’l’a arrêté – le feu. Nonobstant requête expresse en ce sens de Jill : «Stop it!».
* C’est là la Question du jour, presque, in Le Point. On y demande en sondage* si Trump pourrait entrer rapidement en négo à propos d’Ukraine; et pas moins de quatre fois plus de oui que de non sont donnés en guise de réponses.
* « Donald Trump pourrait-il engager rapidement une négociation avec la Russie à propos de l’Ukraine ? »
‘Avez lu, en votre journal, c’week-end, les deux belles pages pleines à propos des femmes de Gaza?
HOR RI BLE. Et on laisse faire. On n’en finit plus d’laisser faire.
« Narcisse » ?
Eh bien, il est là l’Problème. Féminin… L’Problème de nos belles qui n’pensent qu’à elles.
Harris, au sud; Joly, chez nous.
Harris n’pense qu’à son AUNE BÂDI!*** ainsi qu’à celui de ses proches; ignorant les massacrées, plus loin, qui le sont, en plus, en raison de son Inaction;
Joly, même chose, n’pense qu’à elle, elle seule, et aux «siennes», d’ici seulement, elle aussi; s’fichant, s’foutant complètement des massacrées de là-bas, où n’est-elle allée qu’au voisinage de, plus tôt cette année.
Elle s’disait donc fière! d’avoir milité pour la pilule gratuite pour Canadiennes; or, c’est qui qui en auraient besoin d’cette pilule gratuite en c’moment!, sinon, justement, ces Gazaouïes, qu’faudrait pas qu’elles « tombent » enceintes?
J’ai évoqué, au post précédent, l’éminente Deutsch, à propos de la « défaite » que la femme attendrait avec une joyeuse excitation.
En ce même document, elle décrit ce que serait le tronc commun de la féminité, qu’elle appelle «the feminine core».
Les « three essential traits of femininity » seraient «narcissism, passivity, and masochism».
Lorsqu’étais-je tout jeune, au secondaire, un enseignant (religieux) avait scandalisé pas mal toute la classe (de gars seulement), en répondant à un étudiant que, non, la femme n’est pas plus dévouée/généreuse que l’homme; qu’au contraire, elle pense(rait) davantage, que lui, d’abord à elle…
Eh bien…, point d’ostination ici, Trump, en sus d’être FOUrbe et FOU, GROtesque et GROssier
est d’un narcissisme incommensurable.
Ce qui n’empêche pas la véréalité de ce qu’exposé-je ici, i.e. que les Joly et Harris n’en manquent guère d’c’la, elles non plus.
Alors, donc, mon point est qu’ai-je éminemment plus confiance que les sales guerres en cours ont bien plus de chance d’être stoppées avec/par Trump qu’avec/par Harris.
Ensuite, pour ce qui est d’aptitude, d’ensemble, plus générale, à gouverner les ‘États’, hum!…
Comme avait dit Pratte, suite au résultat du référendum 95 : p’t’être qu’« on l’a échappé belle ! »
Il avait voté « pour », Pratte, à c’moment.
Bon, bien, moi, pour une autre raison, en fait pour d’autres raisons, opiné-je qu’eu égard au 5 novembre dernier, on l’a p’t’être échappé belle, en échappant à l’élection d’Harris.
P’t’être qu’on n’eût pas été fiers, pantoute, d’avoir aussi peu bien… élevée cette Harris, lors de ses apprentissages académiques secondaires et de ses vécus sociaux et socio-politiques (époque PÉQUISTE).
Quand on pense que Rafael même (Jacob) n’a pu ne pas voir et faire voir qu’Harris n’avait répondu à… AUCUNE question, lors du grand débat du 10 septembre.
Une cheffe d’État, « ‘ça’ » ? !…
Moi n’crois pas.
Aussi loin qu’outre-Atlantique a-t-on pu lire ou ouïr des commentaires sérieux de gens sérieux
découragés de la « platitude » d’énoncés harissiens, de leur vide et de phrases creuses interminables ou interminées.
Enfin, pis après!?, dirais-je. Qu’est-ce qui dit qu’c’ira pas mieux, sous peu, avec le Fou ?
Il a déjà nommé une directrice de cabinet ex em plai re, qui n’s’en laissera pas imposer, pas r’montrer, et n’s’laissera pas démonter; toute première directrice (femme) de cabinet présidentiel américain, par ailleurs – (féministe, Trump?… 😉
Puis, ‘y a ce principe, psy, de ma mère…, stipulant qu’l’mieux, le plus souvent, c’est d’laisser la folie aller au bout de la ou de sa folie. Ainsi en guérirait-on à la fois mieux, plus complètement et plus durablement.
Qui plus est, ‘avez r’marqué qu’déjà… c’est la paix; alors qu’eût-ce été l’chaos, si l’fou malade n’l’avait remporté ?
Comme… nous…, 1995 : SI l’OUI l’avait remporté, par la peau des fesses; quid des suites?
Lors d’une Décision comme ça, s’il n’y en a qu’une couple de plus voulant c’Changement Éminent
mieux vaut qu’ç’achoppe, suivant mon intuition de la chose.
Maintenant, côté filles, côté femmes, censément moins guerrières qu’hommes?, ou meilleures (ré)conciliatrices politiques?; ‘pas sûr, ça non plus.
Un jour, il y a quelques décennies, une Madeleine Gagnon, revenant de son tour du monde, nous avait appris c’qu’y avait-elle elle-même appris; savoir que maintes et maintes mères ne dédaigneraient pas que leur fils soit « un vaillant guerrier ».
Puis, depuis an passé, après lecture de son « Les femmes et la guerre », inclinerais-je à croire qu’effectivement, pourrait-il n’y avoir guère de différence, advenant majorité de femmes au plus haut du pouvoir, côté guerres.
Ce sans compter les petites escarmouches à la féminine, n’est-ce pas. Du genre de celles advenues semaine passée au Salon bleu-rouge, entre deux des trois plus éminentes parlementaires y siégeant. Très « filles » !…
L’une d’elles avait d’ailleurs dit à l’autre, semblablement, en Chambre aussi, il y a quelques années, qu’était-il étonnant qu’n’ait-elle à côté d’elle M. X untel, considérant qu’avait-elle « « l’habitude « d’tjrs l’traîner » avec elle… » » !
Filleries, femmeries, comme on les connaît, quoi. Comme hommes ont leurs hommeries-types.
Ce sans compter non plus l’apport féminin… « vrai! »… i.e. au féminin, à la féminine. **
Lorsqu’une femme imprimexprime plus, éminemment plus, de masculin que de féminin en son apport, en sa manière d’être; qu’est-elle plus — (‘comme un’) — homme que (comme une) femme; en quoi / comment les femmes «ordinaires» pourront-elles se reconnaître, s’identifier, s’en trouver inspirées, puis aspirer, à partir de cela, à l’imiter, à faire comme elle ?
La féminité, c’existe, vous savez. **
Ça, l’ai-je [r’]appris, pas plus tard qu’cette année même, en m’intéressant à Brigitte (BB).
Cette fille, là, affirme n’avoir jamais concédé un millilitre ou milligramme de sa féminité à… « d’l’émancipation », d’la «‘libération’» féminine. Elle a tjrs abhorré le… féminisme.
Féminine, donc, s’il en fut!, c’fille-là; mais pas féministe pour un sou; ni… prude non plus :
recevoir d’p’tites tapes sus ‘les fesses, n’en a-t-elle jamais fait d’« cas », elle.
Pas libre, fémininement, donc? Aliénée??… « ‘Arriérée’ » ?…
Justement, pas.
Libérée. Toute. Libérale progressiste… conservatrice. (On connaît, hein, à ‘ttawa?).
En connais-je une couple d’autres, comme ça, hommes; (e.g. Proulx [G.] et moi).
Tous deux fous des filles, des femmes; mais pouvant avoir l’air sexistes.
‘Souv’nez d’comment il parlait de la gent féminine, c’gars-là ?
Pourtant, n’y en a-t-il pas l’ayant plus aimée et estimée.
Exemple. Pour Brigitte.
Comme quoi n’l’était/est-elle pas dans les ténèbres, fémininement, voire féministement.
Excédée par féminisme [« viril »]… ;-). Mais farouchement défenderesse de choses féminines.
Tel l’avortement. « Je suis pour ! » : « ‘Faut pas qu’une femme ne voulant pas d’enfant en ait un contre sa volonté!».
En a-t-elle eu un quand même, la pauvre, contre sa volonté.
Après, a-t-elle dit qu’eût-elle préféré avoir eu « un petit chien »…
(‘Y en a pas [eu] deux comme ça – sur notre planète Terre).
Par contre…, à c’sujet également, qui n’était pas qu’peu présent en la campagne américaine
l’avortement
là, n’suis-je pas sûr d’partager l’enthousiasme de cette si attachante Brigitte.
*** L’AUNE BÂDI, en effet, de la femme, s’épand-il jusqu’à ce corps, autre, foetal
jusqu’à cette vie, autre, pouvant en être extirpé.e ?
Étrange, mais, philosophiquement, ai-je bien bien de la misère à appréhender c’la comme ça.
Bref, autant rationnellement qu’intuitivement, ai-je le sentiment qu’était-ce la meilleure des choses qu’Harris perde; pcq, faible en autorité comme est-elle — (pour n’nommer qu’c’t’aspect-là de sa personnalité) —; en quoi eût-ce fait progresser l’image et le statut de la femme, de la femme noire, si, régnant (?), aurait-ce été désastre et catastrophe ?
Parfois, c’en prend d’l’autorité pour faire bouger les choses (en pire ou en mieux…).
« Mad Doc Barrette » en a eu « d’ça », lui.
Sérieusement, n’vois-je pas comment Harris eût été capable d’faire qqch susceptible d’r’unifier tant soit peu son pays.
Côté étranger, ç’aussi, on l’sait fou, mais on en a peur… aussi, pour vrai.
Il en a, lui, d’l’autorité. Sans doute plus pour le pire qu’pour le meilleur, mais…
L’monde, tel qu’est-il rendu là, avec des Poutine et Bibi, et, et, et; ça va en prendre une main d’fer dans un bras d’fer, pour faire faire qqch de mieux que ce qu’il est laissé faire en ce moment.
LÂ CHE MENT.
Et imbécilement****, va sans dire.
** C’existe ou ç’a existé en politique aussi. Sanna Marin e.g. Mais quelle fille!
Or, voyez comment ça s’est passé; et r’gardez comment ça s’est achevé.
À s’demander s’il n’avait raison le super grand philosophe du XIXe siècle
d’énoncer à propos d’guerre et d’femme que :
« Der Mann soll zum Kriege erzogen werden und das Weib zur Erholung des Kriegers: alles Andre ist Thorheit » ?
**** Qu’en dit le sniper Max Lacroix (p. 49 in Journal d’c’week-end) ?
Que les grands/puissants de ce monde, organisations mondiales et gouvernements n’agissent point une solution viable – (i.e. raisonnable et sensée) – par guerre.
Et, surtout, qu’en disait l’Éminent Tolstoï — (dont, ado, ai-je lu frénétiquement ses Guerre et paix & Anna Karénine, tout en leur préférant Les possédés et Karamazov de son ‘concurrent’ Dostoïevski) —? Constatez vous- même :
https://blogs.mediapart.fr/amadouba19gmailcom/blog/041223/leon-tolstoi-humaniste-pacifique-amadou-bal-ba
P. S. / N. B. : À l’endos de la dernière page du compte rendu sur « Les femmes de Gaza »
figure « L’actu résumée » pour les petits de 8 à 12 ans.
Si bien qu’à la dernière de leurs questions
« Est-ce que Donald Trump va déclarer des guerres ? »
voici ce qu’une sagesse adulte a répondu :
« Donald Trump a plutôt assuré qu’il allait mettre fin à la guerre en Ukraine et à celle en Palestine […]
Les experts ne prédisent pas de guerre, rassure-toi. »
Si la vérité émane de la bouche d’enfants, c’est p’t’être qu’leur en fait-on part parfois de certaines?…
Qui sait, donc, bref, si n’aura-t-on l’cadeau d’Noël d’fin d’guerres tant en PalestIsraël qu’À l’Ukraine ? (Grâce à Trump!…)
Ne devait-ce p’arriver? Comme l’a-ce fait? Attendu qu’Harris est une femme — (censée aimer « défaite* », donc) —, et qu’a-t-elle résidé parmi nous, Q, qui sommes un peuple de… perdants et une nation féminine?
« Le Québec est une femme ». Clamé, cela, par Pol Pelletier, par Kim Thúy et par une couple d’autres (éminentes).
D’autre part, au milieu d’siècle dernier, cette autre éminente, Helen Deutsch, in The Psychology of Women, écrit qu’une *« woman wants to be conquered and awaits her * »defeat » in joyful excitation ».
Alors, le « mieux » de ce que pouvait-il advenir, all in all, as a whole, n’l’est-il pas – advenu ?
Vaincue, « ‘défaite’ », F/femme, tant collectivement (nationalement) qu’individuellement ?
Enfin, on (se) demande : «qu’est-ce que ça va prendre ! ?» pour qu’une femme puisse, enfin!, présider aux États-Unis d’Amérique ?
Q re-demandée, hier soir e.g., par l’affable C. P.-D.
Philosophe, moi en poserai(s) une autre Q : Pourquoi faudrait-il, absolument, qu’une femme préside aux États-Unis?
On en a eue, une, nous, à ‘tête, et d’C et d’Q. Et alors? Qu’a-ce donné (de plus ou d’mieux) ?
Aux ‘États’, les femmes sont « supérieures ». C’n’est pas moi qui le dis, c’l’Grand Alexis de T.
Alors, pourquoi s’…« abaisseraient » (?) -elles à aller là où s’passe rarement qqch intelligent ?
Pourquoi n’s’concentreraient-elles pas sur le plus meilleur pouvant être prodigué à l’humain
et
partant
à l’humanité toute
en instillant, aux tout tout débuts de la vie, soit in utero puis au cours des toutes premières années de vie
ce qu’il faut, à un homme, pour être et faire un homme qui « ‘vaille’ », vaille que vaille ?
N’y a-t-il pas une trâlée de pédiatres et al. suggérant que pas grand chose ou pas grand’ monde, ne saurait ‘faire mieux’ — [en qualité de vie] — pour un petit humain, e.g. notamment au cours de sa toute première année de vie, que sa propre mère (l’ayant porté), que — (la présence de) — celle-ci même ?
Je crois qu’il y aurait un Chicoine abondant en c’sens. En ai-je aussi dans ‘famille, psys, inclinant en c’sens. Enfin, lisez c’qu’a dit et écrit à c’sujet mon bon ami Richard (E. Tremblay)
ayant trait à comment pourrait-on prévenir la criminalité en oeuvrant dès le ventre maternel
(La violence des agneaux / https://www.lapresse.ca/debats/opinions/2020-01-05/extrait-de-la-violence-des-agneaux-les-anges-n-existent-pas)
« C’est dans 38 jours. » ? Eh bien, c’est dans 8 jours…
J’ai regardécouté, avec passion, les dernières grandes manifestations des deux camps ces derniers jours. Poignante allocution d’Obama (Michelle), à en tirer larmes; s’appariant bien à l’arme, positive, naturelle (ou) privilégiée d’Harris qu’est le charme ([sou]rires et JOÂ!).
Néanmoins, n’suis-je pas seul à avoir r’marqué et à déplorer le manque de substance et contenu, de profondeur en un mot, comme ils disent au hockey, de la candidate. Décevant.
Quant aux républicains et à leur dieu (ou) héros, eh bien, rien de nouveau sous le soleil.
Il fait rire, pcq risible et drôle à la fois (‘weird’, ‘paraîtrait).
Incroyable qu’un tel pays, ayant vogué si l o n g u e m e n t ‘au-dessus’ des autres, en soit rendu « là », avec « ça », en fait d’c’qu’ont-ils à offrir au monde en guise de… sagesse.
Un vieux, appelé à séniler en accéléré au cours des prochaines années (des signes le présageant).
Néanmoins (bis), comme dit Rafael, la planète n’arrêtera[it] pas d’tourner advenant sa r’élection.
Même qu’pourrait-ce aller mieux – dans l’monde, justement!…
C’est en tout cas c’qu’ai-je ‘catché’ du propos de maints et maints des discoureurs républicains d’hier soir, incluant l’thaumaturge en chef même : pus d’guerre!, monsieur. Pas beau, ça? Qu[o]i d’mander d’mieux?
Moi, si étais-je Américain, accourrais-je de ce pas aujourd’hui même voter Trump, cela étant.
Les guerres (là-bas) ne sont-elles pas l’Pire du monde actuel? Or, lui va faire arrêter tout ça en un tournemain, doigts dans l’nez, main derrière le dos. C’en sera fini d’l’Horrible horreur. De femmes éventrées au-d’sus ou en-d’sous de leurs bébés. Poutine et Bibi vont prendre leur trou ou rentrer gentiment d’bon gré dans l’rang. Et tout l’monde sera content. Moi l’premier.
Rigolé-je? Ah, p’t’être un peu. Mais pas tant qu’ça.
Ces énergumènes, là, candidats à ‘présidence et v.-p., ont beau être grotesques et parler gras — (notamment à propos de chats; l’un en attrapant par la chatte, l’autre en traitant d’folles à chats) —
rien ne dit qu’ils ne seraient, effectivement, capables d’faire cesser ça, ces guerres-là
l’aspirant v.-p., en cessant toute contribution financière à l’Ukraine; et le président en paralysant de frayeur l’Iran et ses supporteurs.
On passerait l’plus beau Noël de not’ vie (puisqu’il n’a même pas besoin d’être en fonction pour atteindre à d’tels résultats, lui [Houdini]).
‘Fait que…, sans rire, moi irai[s]-je jusqu’à vous dire que l’Ambition trumpienne, si telle est-elle, vau[drai]t plus que celle harrissienne, centrée sur femmes d’ici (e.g. avortement); pcq en arrêtant toutes guerres, serait-ce des millions de femmes autrement plus en détresse qu’Américaines qui seraient tirées de leurs misère et désarroi, de leurs assassinat ou perte des leurs, enfants, mères, maris, etc.
Rien d’comparable, monsieur, j’vous dis.
Si bien que…, ah, bien sûr, on sait, Il est fou, malade dans ‘tête, et dans l’coeur ou avec-pas…
sauf que…
comme les États-Unis sont LA Raison même pourquoi Israël tue et détruit tant, du fait que JAMAIS ne serait-il capable du quart du tiers de la moitié de leurs malfaisances sans USA
eh bien, alors, quelle « différence », états-uniennement parlant, entre faire cesser l’horrible en cours à l’égard de femmes tuées ou autrement maltraitées (euphémisme), autres qu’Américaines mais ainsi victimes en raison d’Implication américaine; et le « secours » démocrate apporté à ses seules femmes d’«Amérique», en laissant continuer à s’faire massacrer et martyriser d’innombrables femmes, autres – ailleurs, en persévérant à participer soi-même à telle hécatombe ?
Faites vous jeux, comme est-il dit. Moi, en tout cas, crois voir fort bien L’Enjeu. Qui s’avère être bien moins l’avortement de femmes pouvant difficilement se faire ‘ici’, que ce qui n’en finit pas d’avorter là-bas en raison de ‘lâcheté américaine (‘Stop it!’ qu’elle disait la madame ?…)
Après lecture….il ne me reste plus d’espoir. En vérité, après avoir lu les premiers paragraphes, j’avais éliminé la possibilité que Trump ne soit pas élu. L’option de la tricherie en jouant sur des règles établies révèle une faille immense dans le système. Une option qui ouvre les portes au pouvoir pour Donald Trump. Difficile de croire qu’il ne va pas l’utiliser.
Le droit de vote a perdu toute sa valeur même aux États-Unis. Quand la démocratie perd de sa brillance, n’importe quoi peut arriver.
Le plus intéressant du « fait Trump » n’est pas, en tout cas pas surtout, ce qu’il se passera d’ici au cinq, ni même ce cinq-là même!, mais bien tout ce qu’il y aura-t-il à en dire à partir de là…; des années durant, des décennies durant; en analyses; de ce pourquoi ç’aura tourné comme ç’a tourné; de (qu’est-ce)* qui** a le plus pesé dans ‘balance :
– immigration
– noirs, hispaniques
– évangéliques, juifs
– hommes, femmes
– femme homme *
– Elon, Swift… **
* à c’moment-ci, difficile de dire, mais… après… l’chat sortira du sac
en d’dans d’quelques semaines, mois ou années, saura-t-on tout
saura-t-on si Harris n’aura pas semblé à la hauteur
si, advenant sa réélection, Trump aura semblé plus rassurant côté autorité
si, le cas échéant également, celle-ci aura été estimée importer plus qu’empathie
Etc., etc. / on va en savoir des choses ! quant à là où en est rendue la démocratie en « Amérique »
Moment historique, ça, incontestable; que tourné-ce en un sens ou dans un autre.
Enfin, quid de si, au lieu d’être « serré » – le résultat -, si n’l’était-ce aucunement ?
Eh bien, moi, est-ce ce à quoi m’attends-je en fait «surprise», justement
qu’ça va débouler, plutôt significativement, d’un bord ou de l’autre.
Prêt pour le fait Trump ?
Moi opinerais-je qu’est-ce pour cela « qu’il faut commencer à [se] préparer intellectuellement, et émotivement, » ainsi que socialement et spirituellement.
C’t’un phénomène. Le type même, oui, bien sûr; mais le phénomène même, intrinsèquement considéré (en sa dynamique) aussi = est-ce lui qui aurait fait virer l’monde fou, ou est-ce la folie du monde qui aurait produit, fait croître et engendré individu pareil ?
Avant-hier soir, regardécoutant le topo LCN sur lui — (ou sur « ça ») —, n’pouvais-je m’empêcher d’rire. Une heure après, couché, riais-je encore. « Normal » ? Zéro colère. Qu’du rire. Fou rire…
Or…
Lorsqu’est question de Nétanyahou e.g., peut-on rire ainsi ?… (on rage plutôt).
Si bien que, oui (bis), c’Trump-là, c’t’un phénomène.
Qui sera à l’étude durant plusieurs décennies à venir.
Indépendamment de sa réélection ou pas dans trois semaines.
Il y a un fait de société, mondial!, Trump. Voguant haut et loin au-d’là d’p’tits quotidiens.
Là, ces temps-ci, enguirlande-t-il les juifs américains qui n’auraient pas d’tête en votant démocrate.
N’s’r’tient pas d’hurler après tout l’monde.
Vient-on d’lui faire r’marquer que des femmes ne prisent guère sa rudesse verbale?
« J’m’en fiche ! », répond-il du tac au tac. Et ça marche… (ben, « on verra »).
Pendant c’temps, Kamala, elle, fait attention, sus ‘pointe d’orteils.
Et n’sait-on trop, encore, si elle « passera ». La Montréalaise…
Aujourd’hui, au tour du Washington Post d’y aller de son titre évoquant sa québécité
en laquelle a-t-elle été « shaped », est-il écrit, au sein d’années Q « tumultuous » alors.
Et comment!
Avènement d’PQ au pouvoir, au moment de son arrivée; référendum, peu avant son départ;
et langue, entre-deux.
‘Fait que, oh que oui!, cette québécité-là n’aura pu ne pas la « ‘shape’r » et la « ‘frame’r »
ado toute, dynamique frétillante, qu’était-elle déjà alors.
Enfin, last not least, cette « petite » aura ses soixante ans dimanche prochain.
‘Lend’main? Anniversaire du diable en personne, qui, lui, en aura soixante-quinze.
Critique très lucide. Je pense que les deux dernières tornades en Floride (l’une touchant la Géorgie), pourraient conférer la victoire à Trump dans ces États. Malgré les efforts des démocrates, je pense que les gens là-bas garderont une dent contre les démocrates en dépit de leurs efforts pour aider la populace à se tirer d’affaires ; la spirale de la psychose collective alimentée par Trump et consort en lien avec l’événement peu bien nuire, mais bon…ajoutons les conflits Ukraines/Russie et Israël/Iran et compagnie, je pense que les gens veulent du changement en général. Quoi qu’il en soit, je pense que vous vous trompez peut-être avec le « futur premier ministre Poilièvre ». Nous avons l’habitude de constater des asymétries entre le Canada et les États-Unis : démocrate/conservateur ou libéral/républicain. Le tandem Obama-Trudeau-Biden est un anachronisme à mon humble avis. Les libéraux ont tout simplement à se débarrasser de Trudeau (si les démocrates l’ont fait avec Biden, il y existe donc un précédent acceptable). Si Trump est élu, il est à parier que les Canadiens voudront un rempart libéral, pas Poilèvre. Pour ce qui des provinces, c’est conservateur presque partout (ou partout ? Au moins au Québec, en Ontario, au Nouveau-Brunswick et en Alberta). Un rempart contre le fédéral. Donc, je pense que la CAQ pourrait bien demeurer au pouvoir en 2025. Misère…
Bonjour,
J’aime écoutée JFLisée au mordus de la politique,
Et je ne savais pas qu’il pouvait avoir une si belle plume,
Merci M. lisée
« Moins d’argent pour l’Ukraine » et contrainte donc à hissement de « drapeau blanc ».
Et alors?
Vous ‘souvenez où « ‘logiez’ »-vous au début de cette sale affaire? Moi m’en souviens-je:
« Allons-y ! »
J’étais d’exact même avis. Comme une couple d’autres… (On était peu nombreux à être aussi « naïfs » et… « ir res pon sa bles », surtout, n’est-ce pas?
Il y en avait un, ex-colonel, à Sherbrooke; un autre, ici, ex-président COGECO, qui m’avait répondu, découragé, que continuait-on « à se déshonorer »).
Alors, voilà, là, ça y est, c’est fait; l’sommes-nous – déshonorés, complètement, Canada, USA, ONU, OTAN, Amérique, Europe, Occident, humanité!…, etc. La cour est pleine. Il n’y a plus d’issue. Autre que…, p’t’être, justement, trumpiste?
Cette semaine, en effet, ai-je lu un papier de mon éminente ex-députée, pas contente mais vraiment pas qu’garroche-t-on tous ces milliard$ à/pour l’Ukraine et qu’n’en ait-on pour de pauvres sans-abri et autres itinérants.
Incidemment, cette semaine également, en marchant en forêt dans mon parc préféré, ai-je constaté, à ma stupéfaction, qu’l’un d’ceux-ci est justement en train d’s’y « ‘construire’ » hardiment (en vue de l’hiver supposé-je).
Bon. Où vais-je avec ça ? À cela : quoiqu’aimerais-je bien que Trump prenne enfin la débarque, définitive, qu’il mérite, et qu’en soit-on délivrés; et qu’Harris, nantie de 10% de montréalité(s), prenne les rennes, à notre grand honneur de Montréalais; considérant que, pour moi, L’Enjeu de cette Historique Élection est l’International, plus que quoi que ce soit d’autre; et qu’l’plus important dudit International sont-ce ces guerres en cours ainsi que celles s’préparant (à croître en nombre et intensité); eh bien, en raison de cela, n’braillerai[s]-je point si était-ce Trump qui l’emportait; car, contrairement à maints ExpertSpécialistes de la chose, ai-je le sentiment, profond, que Trump ferait mieux, côté guerres — (= côté paix?…) — qu’Harris; en qui n’ai-je pas mais absolument pas confiance eu égard à cela.
Si bien que… ah, certes, oui, sera[it]-ce Historique, rare, advenant qu’Harris gagne.
Mais non moins « ‘historique’ »… qu’c’empire, à l’International, sous sa gouverne alors.
Israël – droit de se défendre ? Présentement, c’est lui qui agresse et c’est Gaza et d’autres qui doivent — (tenter de) — se défendre. (Quand t’as LA Grande Puissance mondiale qui t’back inconditionnellement illimitément, militairement et politiquement…; pourquoi, dites, s’retiendrait-on d’détruire, d’assaillir et d’en tuer plus que moins, a fortiori lorsqu’n’agit-il qu’d’« ‘animaux’ » [sic] ? / c’est pas tout le monde qui, comme Brigitte, eût aimé mieux accoucher « d’un petit chien »…).
Si bien que (bis), pourrais-je poursuivre ainsi indéfiniment, mais… Faut bien savoir s’arrêter, n’est-ce pas, à défaut d’n’y pouvoir rien pour contribuer à c’qu’ç’arrête c’follerie-là. Car follerie est-ce. Fous (ou) malades à qui laisse-t-on faire tout tout tout ce qu’ils veulent, voire à qui — (comme le font USA) — aide-t-on à le faire (sans qu[o]i Israël en tout cas ne le pourrait).
Bref, y a-t-il là trois larrons, un de chaque côté de Bibi, qui, à eux seuls, mènent le monde (en [le] détruisant). Et faudrait applaudir? Ou ne rien dire?
Historiquement, est-ce qu’il y a déjà eu des situations similaires où les autres pays, voir le monde, allaient payer le prix d’une telle élection ???
Je rêve en couleur de « Marches pour la démocratie » un peu partout dans le monde !!!!
Et ce tableau si sombre que vous nous dressez-là se voudra probablement encore plus inquiétant si l’on considère que pour en arriver là (être élu), Trump et sa clique auront misé principalement sur des valeurs de destruction, de haine, de mensonges, de calomnie, sur la désinformation de la vérité et la désinformation, etc. Si ça ne touchait que nos voisins du sud, je dirais avec un brin de sarcasme et un peu de légèreté que le mal est moindre. Malheureusement, nous avons pu constater comment le « trumpisme » peut devenir pandémique.
Je réfléchissais à savoir pourquoi les élections américaines nous interpellaient autant pour plusieurs d’entre nous. Selon moi, la possibilité d’un autre mandat de Trump nous amène à la croisée des chemins, l’heure où nous devons soit nous lever pour réaffirmer les valeurs de la démocratie, même si elle reste imparfaite (on pourrait proposer que cela lui est propre), soit rester passif et ainsi contribuer au couronnement de cet homme au projet narcissique et complétement fou tel le Projet 2025 dont il prétend ne pas adhérer. Et quand je pense qu’un dénommé Polièvre risque fort de devenir le prochain p.m du Canada. « L’honorable » qu’ils disaient…
Au moins, quant à l’élection de Polièvre ou non, nous aurons notre mot à dire.