Remerciements de fin d’année

Avant de quitter 2009, je tiens à remercier tous les internautes qui ont fait vivre ce blogue depuis son lancement fin octobre. En deux mois, vous avez été un peu plus de 40 000 à venir plus de 100 000 fois lire plus de 200 000 pages du blogue, laissant derrière vous plus de 2000 commentaires. Vous êtes plus de 1600 sur la liste d’envoi des billets importants et un nombre inconnu sur le fil RSS. Nous n’en attendions pas tant.

Je tiens à remercier en particulier ceux d’entre vous qui me signalez très rapidement les fautes d’orthographes, omissions de mots, coquilles, mauvaise transcription de noms propres (un de mes nombreux défauts), ce qui me permet de corriger rapidement pour le mieux-lire des internautes suivants. (Mais je fus très déçu que vous preniez deux jours à me signaler une faute d’accord dans un texte portant… sur le français. Un peu plus de vigilance, que diable !)

Les responsables du site de L’actualité n’y sont pour rien, car ils ont eu la faiblesse de me laisser publier directement, sans relecture. Je les remercie de leur inestimable soutien, la rédactrice en chef du site Crystelle Crépeau et son collègue Mathieu Charlebois. Merci surtout à la rédac’chef de L’actualité, Carole Beaulieu, de m’avoir ouvert les portes du cyberespace du magazine.

Donc, on se  retrouve de l’autre côté du calendrier.

Ce contenu a été publié dans Sur le Blogue par Jean-François Lisée, et étiqueté avec . Mettez-le en favori avec son permalien.

À propos de Jean-François Lisée

Il avait 14 ans, dans sa ville natale de Thetford Mines, quand Jean-François Lisée est devenu membre du Parti québécois, puis qu’il est devenu – écoutez-bien – adjoint à l’attaché de presse de l’exécutif du PQ du comté de Frontenac ! Son père était entrepreneur et il possédait une voiture Buick. Le détail est important car cela lui a valu de conduire les conférenciers fédéralistes à Thetford et dans la région lors du référendum de 1980. S’il mettait la radio locale dans la voiture, ses passagers pouvaient entendre la mère de Jean-François faire des publicités pour « les femmes de Thetford Mines pour le Oui » ! Il y avait une bonne ambiance dans la famille. Thetford mines est aussi un haut lieu du syndicalisme et, à cause de l’amiante, des luttes pour la santé des travailleurs. Ce que Jean-François a pu constater lorsque, un été, sa tâche était de balayer de la poussière d’amiante dans l’usine. La passion de Jean-François pour l’indépendance du Québec et pour la justice sociale ont pris racine là, dans son adolescence thetfordoise. Elle s’est déployée ensuite dans son travail de journalisme, puis de conseiller de Jacques Parizeau et de Lucien Bouchard, de ministre de la métropole et dans ses écrits pour une gauche efficace et contre une droite qu’il veut mettre KO. Élu député de Rosemont en 2012, il s'est battu pour les dossiers de l’Est de Montréal en transport, en santé, en habitation. Dans son rôle de critique de l’opposition, il a donné une voix aux Québécois les plus vulnérables, aux handicapés, aux itinérants, il a défendu les fugueuses, les familles d’accueil, tout le réseau communautaire. Il fut chef du Parti Québécois de l'automne 2016 à l'automne 2018. Il est à nouveau citoyen engagé, favorable à l'indépendance, à l'écologie, au français, à l'égalité des chances et à la bonne humeur !