Au G20, Harper a gagné. Il a réussi à intégrer dans le communiqué conjoint l’engagement d’une réduction de moitié des déficits des pays riches d’ici 2013 puis de leur endettement global à compter de 2016.
Son alliée dans la pièce était Angela Merkel, la chancelière allemande, qui impose à ses compatriotes un remède de cheval pour réduire son déficit.