Monsieur le premier ministre,
comme chef de l’opposition officielle, je suis pour ainsi dire payé pour m’opposer à vous. Je vous écris cependant aujourd’hui, non pour m’opposer, mais pour supplier. Arrêtez. Arrêtez de nous faire honte au sujet de Bombardier. Ne faites plus rien. Ne dites plus rien. Nous n’en pouvons plus.