Ce mauvais virus sera-t-il bon pour le climat ? Pas sûr.

Alors que le virus fait les ravages sanitaires que l’on sait, chacun constate combien le nuage de pollution qui entoure la planète est en train de se dissiper. Le ciel de Shanghai comme celui de New York ou de Paris est plus clair que jamais.

Les lagunes de Venise reprennent une couleur et une transparence que Marco Polo n’avait sans doute pas lui-même constatées.