Non à la cyberintimidation et à la diffamation

La lettre publiée ce vendredi dans La Presse par les artisans du documentaire et des capsules vidéo Briser le code soulève plusieurs questions importantes qui méritent débat. Réglons d’abord les plus désagréables. J’ai critiqué le fait que les capsules portant sur le racisme systémique et le privilège blanc (j’aurais pu ajouter celles sur l’appropriation culturelle et les micro-agressions) soient recommandées aux professeurs du secondaire par la section pédagogique de Télé-Québec. Le diffuseur a acquis au fil des ans une crédibilité considérable dans le domaine de l’éducation. L’imprimatur qu’il donne ainsi à ces vidéos militantes et à leur utilisation en classe est pour le moins troublante.

Ma lutte contre l’intimidation – pardon ! – contre la diffamation

Vous m’avez massivement, chers internautes, conseillé de poursuivre Christine Saint-Pierre pour les propos mensongers qu’elle a tenus sur moi, en impliquant ma vie familiale.

Je l’ai fait ce mardi, à Québec, en compagnie de ma conjointe Sandrine et de Stéphane Bédard, chef intérimaire du parti.

Voici la vidéo:


 

Voici la transcription du point de presse:

Christine Saint-Pierre et la pratique de la diffamation

Dois-je poursuivre Christine Saint-Pierre en diffamation ?

C’est la question qui s’impose, après m’être tapé l’écoute des deux entrevues qu’elle a choisi de donner ce vendredi, à LCN et à Radio X Montréal.

D’abord qu’est-ce que la diffamation, en droit québécois ?