Mon mandat

Un mandat passionnant. Merci Mme Marois !

Ouf. Je l’avoue, je ne l’avais pas vu venir. Quand Mme Marois m’a expliqué les responsabilités qu’elle comptait me confier, j’étais un peu sonné.

Puis, plus j’y ai pensé, plus j’ai réalisé qu’elle voyait juste. Elle tablait sur des forces — les affaires internationales, qui sont dans ma « zone de confort » — et voulait me pousser à en développer de nouvelles, en me confiant le dossier de la métropole, sur lequel j’avais travaillé pendant la campagne en comité restreint avec mes collègues candidats.

Comme pour chaque nomination, elle fait un pari, bien sûr. Mais elle envoie également un signal facile à décoder. Chacun sait la force du lien de confiance qui nous lie, elle et moi. Chacun doit donc savoir, à l’étranger comme à Montréal, que la Première ministre et moi ne parlons que d’une seule voix. C’est précieux.

Voici le mandat que la Première ministre m’a confié:

Nous formons une société ouverte sur le monde, autant en matière de commerce que de culture ou de coopération internationale.

Pour élargir cette ouverture, à titre de ministre des Relations internationales et du Commerce extérieur, de ministre responsable de la région métropolitaine, j’ai choisi, Jean-François Lisée.