Rions un peu avec Jean Lapierre

J’étais heureux de constater ce jeudi que l’opinion que Jean Lapierre a de moi s’améliore. En effet, sur les ondes radiophoniques et télévisuelles, il m’a qualifié de « cheap, petit, mesquin, pas de classe ».

J’insiste: c’est une amélioration! Au printemps, il préférait le terme « chien sale » pour me décrire en ondes.

Éloge de la langue de bois

Avouez que le métier de politicien est périlleux. D’une part il y a la population qui réclame de l’authenticité. Les chroniqueurs relaient le message avec force en dénonçant la langue de bois et en reprochant aux élus de « sortir la cassette ». Ah si seulement ils livraient le fond de leur pensée ! Ah, si seulement ils n’étaient pas prisonniers de la ligne de parti ! Ah, si seulement ils faisaient de la politique autrement !

Les trous de mémoire de Jean Lapierre

CKAC_90_s_Jean_Lapierre-150x150Il m’est arrivé de prendre la défense de Jean Lapierre, l’ex-libéral-bloquiste-commentateur-libéral, maintenant commentateur. Mais j’ai rarement été plus estomaqué que lorsque je l’ai entendu, un soir de 2004, lors de sa réentrée en politique fédérale, en entrevue télé. Paul Arcand, qui l’interviewait, a demandé à la nouvelle vedette libérale fédérale quel avait été son vote lors du référendum de 1995.

Lapierre a répondu (cramponnez-vous) qu’il ne s’en souvenait pas !!!