La sexologue la plus connue au Québec, Jocelyne Robert, n’a embrassé cette passion qu’au début de la trentaine. Qu’a-t-elle fait avant ? C’est ce qu’elle révèle dans deux romans autobiographiques, sous le voile transparent de son héoïne, Gwendoline Dernière.
Le premier tome, Mensonges d’enfance (2015), trace le portrait de l’éveil d’une enfant montréalaise catholique d’un milieu populaire des années 1950. On est dans la découverte de la vie, de ses secrets, de ses travers.