(Ce texte est publié ce matin dans Le Devoir, en réplique à un article de Pierre Dubuc et de Marc Laviolette.)
J’ai toujours été irrité par l’expression voulant que les péquistes pressés d’arriver à la souveraineté soient des « caribous ». Le mot renvoie à la tragique noyade de 10 000 caribous tentant de traverser en septembre 1984 une rivière Caniapiscau malheureusement gonflée d’un débit meurtrier.