On a vu ces derniers jours sur ce blogue comment les plumes qui insistent pour « Mettre le Québec dans le rouge » utilisent des chiffres et des comparatifs erronés.
Mais au-delà du débat sans cesse recommencé sur le diagnostic québécois, la question essentielle demeure: que faire pour que le Québec soit encore plus riche, encore plus fort ?
Le rapport du Centre sur la productivité et la prospérité des HEC est assez bref sur les solutions à apporter, mais on y lit ce constat: