Il nous a quittés il y a quatre ans. Il habite encore notre détermination à faire du Québec un pays.
En rappel, l’hommage que je lui ai rendu à l’assemblée nationale au lendemain de son décès.
De René Lévesque, Camille Laurin écrivait ceci : «[Il] me paraît comprendre et ressentir dans [ses chairs] ces contradictions de l’homme québécois qui tout à la fois lui imposent de se libérer et l’empêchent d’y parvenir. C’est pourquoi [Lévesque] oscille lui-même entre la nuit et la lumière… Il est pour chacun un signe de contradiction. »