J’ai pris un gros risque. J’ai écouté d’abord la version française-de-France, donc d’origine, de 10% (ou « Appelez mon agent »). Puis j’ai écouté la version québécoise, « Les invisibles ».
Risqué parce que je pouvais m’attendre à des redites, à une version édulcorée ou mal adaptée ou simplement à l’ennui de voir l’original puis la copie.
Eh bien non. Ce fut un délice. Comme lorsqu’on reprend du dessert et que le deuxième est plus savoureux que le premier, parce que la comparaison en soi, le cumul, ravit vos papilles gustatives.