Un conflit créatif: l’Art guidant le peuple II

Les créatifs s’en donnent à cœur joie, ces derniers jours, sur la toile, en détournant des œuvres d’art au profit de la crise étudiante. Voici mon tri:

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On les sent bien seuls… (l’Absinthe de Degas, détourné par Laurence Lemieux)

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La ministre St-Pierre, mais on ne sait si la scène est prise avant ou après les excuses. (D’après Le cri, d’Edvard Munch)

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Réunion du conseil des ministres. On semble suggérer que c’est la dernière. (Cliquer pour agrandir) D’après La dernière Cène de De Vinci

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Il y a même un peu de sculpture dans le lot… (d’après le David de Michel Ange)

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Énigmatique. Détournement: Marianne Papillon (D’après le Diptyque de Melun. de Jean Fouquet,

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Là, c’est clair !

Signalez-moi le nom des auteurs de ces créations pour que je puisse leur donner le crédit qui leur revient.

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À propos de Jean-François Lisée

Il avait 14 ans, dans sa ville natale de Thetford Mines, quand Jean-François Lisée est devenu membre du Parti québécois, puis qu’il est devenu – écoutez-bien – adjoint à l’attaché de presse de l’exécutif du PQ du comté de Frontenac ! Son père était entrepreneur et il possédait une voiture Buick. Le détail est important car cela lui a valu de conduire les conférenciers fédéralistes à Thetford et dans la région lors du référendum de 1980. S’il mettait la radio locale dans la voiture, ses passagers pouvaient entendre la mère de Jean-François faire des publicités pour « les femmes de Thetford Mines pour le Oui » ! Il y avait une bonne ambiance dans la famille. Thetford mines est aussi un haut lieu du syndicalisme et, à cause de l’amiante, des luttes pour la santé des travailleurs. Ce que Jean-François a pu constater lorsque, un été, sa tâche était de balayer de la poussière d’amiante dans l’usine. La passion de Jean-François pour l’indépendance du Québec et pour la justice sociale ont pris racine là, dans son adolescence thetfordoise. Elle s’est déployée ensuite dans son travail de journalisme, puis de conseiller de Jacques Parizeau et de Lucien Bouchard, de ministre de la métropole et dans ses écrits pour une gauche efficace et contre une droite qu’il veut mettre KO. Élu député de Rosemont en 2012, il s'est battu pour les dossiers de l’Est de Montréal en transport, en santé, en habitation. Dans son rôle de critique de l’opposition, il a donné une voix aux Québécois les plus vulnérables, aux handicapés, aux itinérants, il a défendu les fugueuses, les familles d’accueil, tout le réseau communautaire. Il fut chef du Parti Québécois de l'automne 2016 à l'automne 2018. Il est à nouveau citoyen engagé, favorable à l'indépendance, à l'écologie, au français, à l'égalité des chances et à la bonne humeur !