Un débat qui a du punch !

20120126Ce billet n’a pour but que d’aider ma mère à me suivre dans mes différentes apparitions médias. (Oui, à 80 ans, elle est sur internet, entre deux expéditions de ski de fond.)

Alors maman, tu as vu ma photo en Une de Voir? Ne t’inquiète pas, le docteur a dit que la commotion cérébrale n’aurait que des séquelles mineures.

Mais oui, j’avoue, j’étais mal peigné pour mon entrevue au Canal Argent, mais c’est l’échange où j’ai pu le mieux résumer mon dernier livre, car George Pothier n’arrêtait pas de m’ouvrir grandes les portes. Il m’a presque servi chacun des 15 arguments.

canal-argent

 

 

 

 

 

 

Merci Georges !

Dans le prochain clip, maman, c’est plus amusant. Savais-tu que l’hebdo Voir avait sa propre émission de télé ? Oui, c’est sur un poste qui s’appelle « Télé Québec ». Tu sais, avant, c’était « Radio-Québec ». C’est la même chose mais maintenant ils ont ajouté des images.

Dans ce reportage, on voit comment s’est faite la prise de photos de couverture. On a attendu en vain le boxeur de droite. Il n’est pas venu.

Toute l’émission est bonne mais pour ma partie, il faut mettre le curseur juste en haut du X de Aieux.

Voir

 

 

 

 

Il fallait que je m’occupe de tout: la maquilleuse était décoiffée !

Oui maman, j’essaie de me coucher tôt et de bien dormir et de ne pas (trop) me chicaner avec mes petits camarades.

Dernier truc: ne te surprends pas si je n’ai pas de cravate à Tout le Monde en Parle, c’est mal vu d’en avoir.

Bisous
Fiston

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À propos de Jean-François Lisée

Il avait 14 ans, dans sa ville natale de Thetford Mines, quand Jean-François Lisée est devenu membre du Parti québécois, puis qu’il est devenu – écoutez-bien – adjoint à l’attaché de presse de l’exécutif du PQ du comté de Frontenac ! Son père était entrepreneur et il possédait une voiture Buick. Le détail est important car cela lui a valu de conduire les conférenciers fédéralistes à Thetford et dans la région lors du référendum de 1980. S’il mettait la radio locale dans la voiture, ses passagers pouvaient entendre la mère de Jean-François faire des publicités pour « les femmes de Thetford Mines pour le Oui » ! Il y avait une bonne ambiance dans la famille. Thetford mines est aussi un haut lieu du syndicalisme et, à cause de l’amiante, des luttes pour la santé des travailleurs. Ce que Jean-François a pu constater lorsque, un été, sa tâche était de balayer de la poussière d’amiante dans l’usine. La passion de Jean-François pour l’indépendance du Québec et pour la justice sociale ont pris racine là, dans son adolescence thetfordoise. Elle s’est déployée ensuite dans son travail de journalisme, puis de conseiller de Jacques Parizeau et de Lucien Bouchard, de ministre de la métropole et dans ses écrits pour une gauche efficace et contre une droite qu’il veut mettre KO. Élu député de Rosemont en 2012, il s'est battu pour les dossiers de l’Est de Montréal en transport, en santé, en habitation. Dans son rôle de critique de l’opposition, il a donné une voix aux Québécois les plus vulnérables, aux handicapés, aux itinérants, il a défendu les fugueuses, les familles d’accueil, tout le réseau communautaire. Il fut chef du Parti Québécois de l'automne 2016 à l'automne 2018. Il est à nouveau citoyen engagé, favorable à l'indépendance, à l'écologie, au français, à l'égalité des chances et à la bonne humeur !