Vidéos de la fin de semaine : Sauvez les traders !

Pot-pourri : une pub interdite,  un peu d’humour sur le dos de la haute finance, la bande-annonce de la suite d’Avatar, en passant par la petite entreprise appelée Google.

D’abord, les choses sérieuses : cette pub fut, dit-on, interdite d’antenne. Je n’ai pas l’impression qu’elle aurait fait vendre beaucoup de voitures, cela dit.

Et ici, on voit où votre courtier fait sa recherche, par les temps qui courent :

Il faudrait bien donner un coup de pouce aux spéculateurs :

Google est devenu, sous nos yeux, une gigantesque transnationale. Ce vidéo fait une habile synthèse de ce que la compagnie est en train de devenir. (À sa décharge, elle a cessé de censurer les recherches de ses internautes chinois, donc de participer à cette censure, qui continuera sans lui, bien entendu.)

Maintenant, on s’amuse un peu (surtout les garçons). Et voyez comment la fin explique le début :

Maintenant, un peu de parodie. Dans le prochain Planète Terre, Daniel Weinstock et moi avouons écouter la série « 24 », avec Jack Baeur. La 8e saison, en cours en ce moment en anglais, est d’ailleurs une des très bonnes. Ces étudiants ont tenté de savoir ce que serait le travail de notre ami Jack s’il oeuvrait en 1994, donc à l’aube d’Internet et avant la généralisation des téléphones cellulaires. Ça vaut le détour…

(Nota bene : il y avait tout de même des cellulaires en 1994 et on peut penser que CTU devait avoir les moyens d’avoir une ligne dédiée pour Internet. Mais cela nous rappelle des tas de souvenirs.)

Finalement, le cinéma. Chacun sait que James Cameron fut critiqué pour avoir basé son Avatar sur des scénarios bien connus — notamment Dances With Wolves. Il a promis un second — puis un troisième — épisode, où l’originalité sera le maître mot. Voici d’ailleurs la bande annonce de Avatar II :

Ce contenu a été publié dans La vidéo de 10h10 par Jean-François Lisée. Mettez-le en favori avec son permalien.

À propos de Jean-François Lisée

Il avait 14 ans, dans sa ville natale de Thetford Mines, quand Jean-François Lisée est devenu membre du Parti québécois, puis qu’il est devenu – écoutez-bien – adjoint à l’attaché de presse de l’exécutif du PQ du comté de Frontenac ! Son père était entrepreneur et il possédait une voiture Buick. Le détail est important car cela lui a valu de conduire les conférenciers fédéralistes à Thetford et dans la région lors du référendum de 1980. S’il mettait la radio locale dans la voiture, ses passagers pouvaient entendre la mère de Jean-François faire des publicités pour « les femmes de Thetford Mines pour le Oui » ! Il y avait une bonne ambiance dans la famille. Thetford mines est aussi un haut lieu du syndicalisme et, à cause de l’amiante, des luttes pour la santé des travailleurs. Ce que Jean-François a pu constater lorsque, un été, sa tâche était de balayer de la poussière d’amiante dans l’usine. La passion de Jean-François pour l’indépendance du Québec et pour la justice sociale ont pris racine là, dans son adolescence thetfordoise. Elle s’est déployée ensuite dans son travail de journalisme, puis de conseiller de Jacques Parizeau et de Lucien Bouchard, de ministre de la métropole et dans ses écrits pour une gauche efficace et contre une droite qu’il veut mettre KO. Élu député de Rosemont en 2012, il s'est battu pour les dossiers de l’Est de Montréal en transport, en santé, en habitation. Dans son rôle de critique de l’opposition, il a donné une voix aux Québécois les plus vulnérables, aux handicapés, aux itinérants, il a défendu les fugueuses, les familles d’accueil, tout le réseau communautaire. Il fut chef du Parti Québécois de l'automne 2016 à l'automne 2018. Il est à nouveau citoyen engagé, favorable à l'indépendance, à l'écologie, au français, à l'égalité des chances et à la bonne humeur !