Voir: La dernière série Star Trek/Une prodigieuse amie à l’écran

Pour voir cette semaine, deux séries aux antipodes.

La nouvelle série de l’univers Star Trek, Discovery, vient de terminer sa deuxième saison dans une explosion d’effets spéciaux, de déchirements émotifs et de dénouements narratifs. Je dois admettre que je suis un trekkie satisfait.

La série se situe, dans le temps, avant la série d’origine du capitaine Kirk. Elle a soulevé les passions dans le fandom des fidèles des séries antérieures, plusieurs y voyant une réelle trahison de la tradition, du « canon » (la trame narrative d’origine, dont il ne faut pas déroger) et même de la façon de filmer les scènes. Discovery a fait exploser le genre, pris des risques, inventé des procédés, donné une demi-soeur et une barbe à Spock, créé un univers parallèle, joué avec le temps.

Moi, j’applaudis cette audace et j’en redemande. Pas besoin d’avoir suivi pour embarquer dans ce voyage (mais ça augmente le plaisir).

On peut le voir en reprise sur CraveTV. La première saison est disponible en Blue Ray et sur iTunes.


L’amie prodigieuse, une  plongée dans l’enfance tragique

Dans l’Italie de l’après-guerre, dans un quartier modeste de Naples, deux jeunes filles vont lier leurs destins. La série, tirée des romans à succès du même nom, est d’abord remarquable pour la qualité du jeu des jeunes actrices, simplement époustouflantes.

Des rancœurs entre familles, des choix déchirants lorsque la pauvreté soustrait une enfant talentueuse à l’éducation, la jalousie enfantine, tout cela est traité avec grâce et authenticité.

Il faut s’attendre à un rythme plutôt lent, mais qui nous fait savourer chaque étape. On attend la suite.

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Ce contenu a été publié dans Choses vues, Sci-fi par Jean-François Lisée, et étiqueté avec , . Mettez-le en favori avec son permalien.

À propos de Jean-François Lisée

Il avait 14 ans, dans sa ville natale de Thetford Mines, quand Jean-François Lisée est devenu membre du Parti québécois, puis qu’il est devenu – écoutez-bien – adjoint à l’attaché de presse de l’exécutif du PQ du comté de Frontenac ! Son père était entrepreneur et il possédait une voiture Buick. Le détail est important car cela lui a valu de conduire les conférenciers fédéralistes à Thetford et dans la région lors du référendum de 1980. S’il mettait la radio locale dans la voiture, ses passagers pouvaient entendre la mère de Jean-François faire des publicités pour « les femmes de Thetford Mines pour le Oui » ! Il y avait une bonne ambiance dans la famille. Thetford mines est aussi un haut lieu du syndicalisme et, à cause de l’amiante, des luttes pour la santé des travailleurs. Ce que Jean-François a pu constater lorsque, un été, sa tâche était de balayer de la poussière d’amiante dans l’usine. La passion de Jean-François pour l’indépendance du Québec et pour la justice sociale ont pris racine là, dans son adolescence thetfordoise. Elle s’est déployée ensuite dans son travail de journalisme, puis de conseiller de Jacques Parizeau et de Lucien Bouchard, de ministre de la métropole et dans ses écrits pour une gauche efficace et contre une droite qu’il veut mettre KO. Élu député de Rosemont en 2012, il s'est battu pour les dossiers de l’Est de Montréal en transport, en santé, en habitation. Dans son rôle de critique de l’opposition, il a donné une voix aux Québécois les plus vulnérables, aux handicapés, aux itinérants, il a défendu les fugueuses, les familles d’accueil, tout le réseau communautaire. Il fut chef du Parti Québécois de l'automne 2016 à l'automne 2018. Il est à nouveau citoyen engagé, favorable à l'indépendance, à l'écologie, au français, à l'égalité des chances et à la bonne humeur !

1 avis sur « Voir: La dernière série Star Trek/Une prodigieuse amie à l’écran »

  1. Inhabituel d’avoir une réaction sur des séries fictions.

    À part le dernier épisode, j’ai vu Discovery 1 et 2. Le dernier épisode c’est l’équivalent d’un film au cinéma puisque vu un extrait. Discovery la meilleure série pour les effets spéciaux de la franchise avec une note de 9 sur 10.

    Pour la qualité scénario et personnages, ça se gâte.

    En tant que plus de 55 ans et ayant vu Star Trek enfant d’abord avec les Kirk et Spock, avoir refusé de voir ST Génération avec le capitaine Picard.

    Je considère Discovery Star Strek avec une côte de 6.5, 7 ou 6 sur 10 dépendant des épisodes avec sa tentative sympa de retrouver partiellement la série de 1966-68 qui elle entre Kirk et McCoy est d’un niveau en moyenne de qualité de 9.5 sur 10 ou de 10 sur 10 tout dépendant d’une douzaine d’épisodes sur 79 à vie!

    Un coffret haute définition DVD HD remarquable de Star Trek 1966-1968 avec toutes les images spatiales, cosmiques refaites en infographie existe qui demande de la recherche pour le trouver à Montréal, Québec ou possiblement aux É.U (commander par le net) ou par la Grande bibliothèque nationale du Québec en location à répétition si impossible à trouver pour acheter.

    Un coffret qui a colorisé les épisodes qui a un son refait en super Dolby et qui comprend la post synchro québécoise de qualité des années 60, sous titre français excellents avec la version américaine anglaise. C’est 85$ taxes comprises, excellent prix pour une des meilleures séries américaines entre une et dix! Star Trek de Paramount.

    Pour ceux qui adorent la série comme JFL, série qui a lancé la franchise Star Trek avec les acteurs Shatner, Nimoy De Kelly inoubliables.

    On passe outre le principe fédératif de la série et franchise en prenant l’essentiel en tant que souverainiste. Star Wars serait mieux pour les souverainistes dit-on? Je ne sais pas, ne suis pas un Star War-fan.

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